Crédit Martin BUREAU / AFP
Paris, France | AFP | mardi 27/06/2023 - Après "L'amour est dans le pré", M6 revient dans les campagnes avec "Aidons nos fermes", une émission pour aider des agriculteurs en difficulté à diversifier leurs revenus.
Adaptée d'un format britannique, elle est diffusée mercredi soir et animée par Marie Portolano, en partance pour France Télévisions, et Patrice Cougoureux, un agriculteur tarnais.
Avec ce programme, la chaîne entend mettre "toute une profession en lumière, dans ses difficultés mais aussi dans ses réussites", a assuré son directeur général des programmes, Guillaume Charles, lors d'une conférence de presse.
On y suit, en Normandie, Stéphane Havé (53 ans) et son fils Dorian (18 ans), qui se battent pour ne pas perdre la ferme familiale, spécialisée dans l'élevage bovin et la polyculture, tandis qu'en Moselle, Anthony (28 ans) et Mylène Lang (30 ans) survivent avec des revenus allant de 300 à 1.000 euros par mois malgré leur activité de maraîchage et d'élevage bovin et porcin.
Patrice Cougoureux, parvenu à redresser et diversifier l'exploitation familiale qu'il a reprise en 2010 à Padiès (Tarn), intervient en tant qu'expert et entend donc mettre son expérience au profit des Havé et des Lang.
"Le problème en agriculture, c'est qu'on sème un certain mois et on récolte l'année d'après si tout va bien", résume l'agriculteur, qui a notamment proposé aux deux familles d'organiser des visites de leur ferme pour qu'elles puissent justement toucher des revenus "immédiats".
Résultat: au bout d'un an, elles ont vu leurs revenus augmenter de 1.000 à 1.500 euros mensuels, selon la production.
En cas de succès d'audience, l'émission pourrait revenir au mieux l'année prochaine, mais sans son animatrice, sur le départ pour France Télévisions où elle co-animera Télématin à la rentrée.
Adaptée d'un format britannique, elle est diffusée mercredi soir et animée par Marie Portolano, en partance pour France Télévisions, et Patrice Cougoureux, un agriculteur tarnais.
Avec ce programme, la chaîne entend mettre "toute une profession en lumière, dans ses difficultés mais aussi dans ses réussites", a assuré son directeur général des programmes, Guillaume Charles, lors d'une conférence de presse.
On y suit, en Normandie, Stéphane Havé (53 ans) et son fils Dorian (18 ans), qui se battent pour ne pas perdre la ferme familiale, spécialisée dans l'élevage bovin et la polyculture, tandis qu'en Moselle, Anthony (28 ans) et Mylène Lang (30 ans) survivent avec des revenus allant de 300 à 1.000 euros par mois malgré leur activité de maraîchage et d'élevage bovin et porcin.
Patrice Cougoureux, parvenu à redresser et diversifier l'exploitation familiale qu'il a reprise en 2010 à Padiès (Tarn), intervient en tant qu'expert et entend donc mettre son expérience au profit des Havé et des Lang.
"Le problème en agriculture, c'est qu'on sème un certain mois et on récolte l'année d'après si tout va bien", résume l'agriculteur, qui a notamment proposé aux deux familles d'organiser des visites de leur ferme pour qu'elles puissent justement toucher des revenus "immédiats".
Résultat: au bout d'un an, elles ont vu leurs revenus augmenter de 1.000 à 1.500 euros mensuels, selon la production.
En cas de succès d'audience, l'émission pourrait revenir au mieux l'année prochaine, mais sans son animatrice, sur le départ pour France Télévisions où elle co-animera Télématin à la rentrée.