Cette agression, qui suivait un vol, a eu lieu dans le village de Mangamuka (île du Nord de la Nouvelle-Zélande, dans le district de Far North) dans un site touristique naturel réputé pour ses randonnées.
Les trois touristes français se déplaçaient dans un camping-car de location.
Peu après leur arrivée, vendredi très tôt dans la matinée (GMT+12), un premier individu a attiré l’attention du conducteur pour lui demander de l’argent, ce qu’il a alors obtenu.
Pendant ce temps-là, un second homme s’attaquait à la partie arrière du camping-car, où se trouvaient les deux autres Français.
Il a alors pénétré par effraction, en brisant les vitres avant de s’introduire et de repartir avec quelques valeurs, non sans avoir agressé au préalable les deux occupants français.
Wayne Brown, maire de la localité du district de Far North, a voulu, dès ce week-end présenter publiquement ses excuses aux victimes de cette agression.
Le premier magistrat de cette localité s’est aussi vivement inquiété des répercussions de cette affaire et de la publicité négative à l’étranger, pour la destination Nouvelle-Zélande dans son ensemble, rapporte la radio nationale.
Il a par ailleurs déploré que les agresseurs appartiennent à la communauté Maori, dont la plupart des membres, par ailleurs, fournissent un véritable travail pour promouvoir l’image et la qualité de l’accueil dans cette région.
Les principaux suspects, dans cette affaire, ont été identifiés comme étant de jeunes adultes Maori.
pad
Les trois touristes français se déplaçaient dans un camping-car de location.
Peu après leur arrivée, vendredi très tôt dans la matinée (GMT+12), un premier individu a attiré l’attention du conducteur pour lui demander de l’argent, ce qu’il a alors obtenu.
Pendant ce temps-là, un second homme s’attaquait à la partie arrière du camping-car, où se trouvaient les deux autres Français.
Il a alors pénétré par effraction, en brisant les vitres avant de s’introduire et de repartir avec quelques valeurs, non sans avoir agressé au préalable les deux occupants français.
Wayne Brown, maire de la localité du district de Far North, a voulu, dès ce week-end présenter publiquement ses excuses aux victimes de cette agression.
Le premier magistrat de cette localité s’est aussi vivement inquiété des répercussions de cette affaire et de la publicité négative à l’étranger, pour la destination Nouvelle-Zélande dans son ensemble, rapporte la radio nationale.
Il a par ailleurs déploré que les agresseurs appartiennent à la communauté Maori, dont la plupart des membres, par ailleurs, fournissent un véritable travail pour promouvoir l’image et la qualité de l’accueil dans cette région.
Les principaux suspects, dans cette affaire, ont été identifiés comme étant de jeunes adultes Maori.
pad
