Michel Leboucher, ministre de l'Education du gouvernement Flosse
PAPEETE, mercredi 9 octobre 2013 - (Communiqué du Ministre de l’Education, de la Jeunesse et des Sports en charge de la Vie associative et de la Politique de la ville) : "Monsieur Michel Leboucher adresse ses plus sincères condoléances à la famille de la petite Keala Raufea et compatit à leur douleur.
Pour le Ministre, un tel événement ne doit absolument plus se reproduire. Perdre un enfant de 11 ans dans de telles circonstances est inadmissible. Malgré le fait que les deux récents accidents se soient déroulés en dehors du cadre du ramassage scolaire, il s’engage à travailler avec ses services et toutes les autorités concernées afin de renforcer la sécurité du transport des élèves. En effet, la question de la sécurité du transport des élèves à l’heure de la sortie des classes est soulevée par la famille. Dans chaque bus en charge du transport scolaire, la présence d’un deuxième convoyeur est obligatoire afin de veiller à la sécurité des élèves dans le bus. Le jour de l’accident, un 2ème convoyeur était bien présent comme exigé par la réglementation en vigueur.
Le Ministre comprend les interrogations et la souffrance de la famille et par-delà l’intense émotion qui accompagne une telle tragédie. Il tient à affirmer sa volonté de cibler les causes effectives de cet accident afin que chaque autorité concernée puisse mettre en place les moyens humains et matériels nécessaires pour qu’un tel drame ne se reproduise plus. Le Ministre tient également à rappeler que les élèves qui bénéficient du transport scolaire terrestre sont sous la responsabilité des instances du Pays en charge de l’éducation dès la sortie de l’école pour rejoindre le bus et jusqu’au moment où l’élève descend du transport. Une fois quitté le transport, l’enfant retombe sous la responsabilité de ses parents. Il appelle donc les automobilistes à redoubler de vigilance aux heures de sorties des écoles et lorsque des bus scolaires sont à l’arrêt, car la vie de nos enfants dépend également d’eux.
Sur toutes ces questions, un travail sera réalisé dans le cadre d’un comité interministériel avec le Ministère de l’Equipement et des Transports, mais aussi l’Etat et les communes sur la partie plus spécifique du transport scolaire."
Pour le Ministre, un tel événement ne doit absolument plus se reproduire. Perdre un enfant de 11 ans dans de telles circonstances est inadmissible. Malgré le fait que les deux récents accidents se soient déroulés en dehors du cadre du ramassage scolaire, il s’engage à travailler avec ses services et toutes les autorités concernées afin de renforcer la sécurité du transport des élèves. En effet, la question de la sécurité du transport des élèves à l’heure de la sortie des classes est soulevée par la famille. Dans chaque bus en charge du transport scolaire, la présence d’un deuxième convoyeur est obligatoire afin de veiller à la sécurité des élèves dans le bus. Le jour de l’accident, un 2ème convoyeur était bien présent comme exigé par la réglementation en vigueur.
Le Ministre comprend les interrogations et la souffrance de la famille et par-delà l’intense émotion qui accompagne une telle tragédie. Il tient à affirmer sa volonté de cibler les causes effectives de cet accident afin que chaque autorité concernée puisse mettre en place les moyens humains et matériels nécessaires pour qu’un tel drame ne se reproduise plus. Le Ministre tient également à rappeler que les élèves qui bénéficient du transport scolaire terrestre sont sous la responsabilité des instances du Pays en charge de l’éducation dès la sortie de l’école pour rejoindre le bus et jusqu’au moment où l’élève descend du transport. Une fois quitté le transport, l’enfant retombe sous la responsabilité de ses parents. Il appelle donc les automobilistes à redoubler de vigilance aux heures de sorties des écoles et lorsque des bus scolaires sont à l’arrêt, car la vie de nos enfants dépend également d’eux.
Sur toutes ces questions, un travail sera réalisé dans le cadre d’un comité interministériel avec le Ministère de l’Equipement et des Transports, mais aussi l’Etat et les communes sur la partie plus spécifique du transport scolaire."