C'est seulement la neuvième défaite de la saison pour l'Espagnol qui restait sur une victoire, sa septième cette année, dimanche à Tokyo.
C'est surtout la première fois depuis Roland-Garros 2009 qu'il s'arrête aussi tôt dans un tournoi. Depuis il avait au moins atteint les quarts de finale des 21 tournois qu'il a joués, hors Masters disputé selon un système de poules.
Il a été dominé à la régulière par un excellent Melzer, 12e mondial, qui a pris tous les risques pour prendre sa revanche du dernier Roland-Garros où il s'était révélé avant de s'arrêter face à Nadal en demi-finales.
En trois rencontres, Melzer n'avait jusque-là encore jamais pris un set à Nadal mais cette fois il a pris le N.1 mondial de vitesse pour aller à la rencontre de Juan Monaco en quarts de finale.
"J'ai joué le meilleur tennis de ma vie. Je suis très fier de la manière avec laquelle j'ai gagné ce match sur la fin", a expliqué Melzer qui a frappé 14 aces et surmonté le fait de s'être fait "voler" une victoire plus rapide sur une faute d'arbitrage lors de sa première balle de match à 5-2.
Pour Nadal, c'est un deuxième coup d'arrêt depuis sa victoire à l'US Open après sa défaite contre Guillermo Garcia-Lopez en demi-finale à Bangkok.
"C'est vrai qu'il a joué de façon très agressive mais ce n'était pas difficile aujourd'hui contre moi. Je me sentais lent sur le court et j'ai fait plus de fautes que d'habitude. Je suis fatigué physiquement et mentalement", a expliqué le Majorquin qui a beaucoup donné ces derniers mois avec trois victoires en Masters 1000 et trois titres du Grand Chelem.
Nadal a été le seul grand favori à rater la marche jeudi puisque Roger Federer, Novak Djokovic et Andy Murray ont tous facilement gardé la main face respectivement à Andreas Seppi (6-3, 6-4), Richard Gasquet (6-1, 6-1,) et Jérémy Chardy (6-3, 6-4).
Pour eux les choses sérieuses commenceront vendredi, notamment pour Federer qui retrouve Robin Soderling lors du choc des quarts de finale. Djokovic affrontera lui l'Espagnol Guillermo Garcia-Lopez qui s'est hissé pour la première fois à ce stade dans un Masters 1000 après avoir créé la surprise face à Tomas Berdych (7-6, 6-3).
jk/bd
C'est surtout la première fois depuis Roland-Garros 2009 qu'il s'arrête aussi tôt dans un tournoi. Depuis il avait au moins atteint les quarts de finale des 21 tournois qu'il a joués, hors Masters disputé selon un système de poules.
Il a été dominé à la régulière par un excellent Melzer, 12e mondial, qui a pris tous les risques pour prendre sa revanche du dernier Roland-Garros où il s'était révélé avant de s'arrêter face à Nadal en demi-finales.
En trois rencontres, Melzer n'avait jusque-là encore jamais pris un set à Nadal mais cette fois il a pris le N.1 mondial de vitesse pour aller à la rencontre de Juan Monaco en quarts de finale.
"J'ai joué le meilleur tennis de ma vie. Je suis très fier de la manière avec laquelle j'ai gagné ce match sur la fin", a expliqué Melzer qui a frappé 14 aces et surmonté le fait de s'être fait "voler" une victoire plus rapide sur une faute d'arbitrage lors de sa première balle de match à 5-2.
Pour Nadal, c'est un deuxième coup d'arrêt depuis sa victoire à l'US Open après sa défaite contre Guillermo Garcia-Lopez en demi-finale à Bangkok.
"C'est vrai qu'il a joué de façon très agressive mais ce n'était pas difficile aujourd'hui contre moi. Je me sentais lent sur le court et j'ai fait plus de fautes que d'habitude. Je suis fatigué physiquement et mentalement", a expliqué le Majorquin qui a beaucoup donné ces derniers mois avec trois victoires en Masters 1000 et trois titres du Grand Chelem.
Nadal a été le seul grand favori à rater la marche jeudi puisque Roger Federer, Novak Djokovic et Andy Murray ont tous facilement gardé la main face respectivement à Andreas Seppi (6-3, 6-4), Richard Gasquet (6-1, 6-1,) et Jérémy Chardy (6-3, 6-4).
Pour eux les choses sérieuses commenceront vendredi, notamment pour Federer qui retrouve Robin Soderling lors du choc des quarts de finale. Djokovic affrontera lui l'Espagnol Guillermo Garcia-Lopez qui s'est hissé pour la première fois à ce stade dans un Masters 1000 après avoir créé la surprise face à Tomas Berdych (7-6, 6-3).
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