Dans un communiqué, la confédération A Tia I Mua indique qu'elle s’oppose aux projets de taxations supplémentaires prévus au budget 2012, notamment les projets de taxation des produits européens. "Ces taxes ne feront qu’augmenter encore les prix déjà trop élevés dans notre pays et encore une fois ce seront les plus démunis qui subiront, au travers de ces taxes indirectes, la majorité du poids de l’impôt" affirme le syndicat.
A Tia I Mua redoute également les conséquences que ces hausses de prix auront sur l'activité touristique "qui n’avait pas forcément besoin de ça pour continuer à s’enfoncer".
Pour le syndicat, le Pays a déjà atteint "un niveau confiscatoire de prélèvement de la richesse et la majorité de ces prélèvements pèse sur les petits salaires ce qui est inacceptable".
A Tia I Mua suggère donc au gouvernement d'aller chercher de l'argent ailleurs : impôts fonciers, TVA, impôt sur les sociétés, CST des non-salariés, etc…
"NON A DE NOUVELLES TAXES" conclut le communiqué.
A Tia I Mua redoute également les conséquences que ces hausses de prix auront sur l'activité touristique "qui n’avait pas forcément besoin de ça pour continuer à s’enfoncer".
Pour le syndicat, le Pays a déjà atteint "un niveau confiscatoire de prélèvement de la richesse et la majorité de ces prélèvements pèse sur les petits salaires ce qui est inacceptable".
A Tia I Mua suggère donc au gouvernement d'aller chercher de l'argent ailleurs : impôts fonciers, TVA, impôt sur les sociétés, CST des non-salariés, etc…
"NON A DE NOUVELLES TAXES" conclut le communiqué.