Monaco, Principauté de Monaco | AFP | mardi 11/08/2020 - Des dauphins qui bondissent, une gigantesque raie manta ondulant doucement, des bébés tortues qui se faufilent entre vos jambes: bienvenue au Musée océanographique de Monaco, pour une saisissante plongée à la découverte des coraux australiens.
Dans la salle de la "baleine", un immense squelette de ce cétacé suspendu au plafond accueille les visiteurs, immergés dans les eaux de la Grande Barrière de corail grâce à des animations projetées sur les murs et le sol.
Dans une vidéo une guide de ce joyau australien classé au Patrimoine mondial informe le spectateur sur ces 2.300 km de récifs construits par les coraux, ces organismes vivants dont il existe 850 espèces.
Des projecteurs permettent de s’immerger et de découvrir, baigné dans une ambiance sonore relaxante, les espèces emblématiques de la mer de Corail, comme la baleine à bosse, le poisson clown ou encore le mérou patate.
Sous un plafond qui culmine à 9 mètres de hauteur, l’espace offre ainsi quelque 650 mètres carrés de projection pour une expérience qui peut durer jusqu’à une demi-heure, avec un scénario qui retrace une journée dans la Grande Barrière et évolue en fonction de l’attitude des visiteurs.
"Toutes les images apparaissent réelles au public et pourtant elles ont été conçues par ordinateur, et c’est cette conception qui permet justement de créer une interactivité: la salle n’est jamais la même, les réactions des animaux dépendent de l'attitude des visiteurs sur place", explique Robert Calcagno, le directeur général de l’Institut océanographique de Monaco.
"Le but de cette exposition, c’est aussi de montrer la fragilité de ces récifs et d’aider le public à mieux comprendre les problèmes des océans et la nécessité de les protéger dans leur vie quotidienne", ajoute-il.
Au cours de l'été austral qui vient de s'achever, la Grande Barrière de corail a en effet vécu son plus grave épisode de blanchissement de coraux, un phénomène dû au réchauffement climatique qui menace sa survie.
La Principauté monégasque assure aujourd’hui la coprésidence, avec l’Australie et l'Indonésie, de l'Initiative internationale pour les récifs coralliens, un programme de protection des récifs et de leurs écosystèmes dans le monde.
Le musée océanographique de Monaco a été le premier au monde à réussir à conserver des coraux vivants dans ses aquariums que les visiteurs du musée, après leur plongée virtuelle, peuvent admirer pour de vrai.
L'exposition est visible jusqu’en décembre 2021.
Dans la salle de la "baleine", un immense squelette de ce cétacé suspendu au plafond accueille les visiteurs, immergés dans les eaux de la Grande Barrière de corail grâce à des animations projetées sur les murs et le sol.
Dans une vidéo une guide de ce joyau australien classé au Patrimoine mondial informe le spectateur sur ces 2.300 km de récifs construits par les coraux, ces organismes vivants dont il existe 850 espèces.
Des projecteurs permettent de s’immerger et de découvrir, baigné dans une ambiance sonore relaxante, les espèces emblématiques de la mer de Corail, comme la baleine à bosse, le poisson clown ou encore le mérou patate.
Sous un plafond qui culmine à 9 mètres de hauteur, l’espace offre ainsi quelque 650 mètres carrés de projection pour une expérience qui peut durer jusqu’à une demi-heure, avec un scénario qui retrace une journée dans la Grande Barrière et évolue en fonction de l’attitude des visiteurs.
"Toutes les images apparaissent réelles au public et pourtant elles ont été conçues par ordinateur, et c’est cette conception qui permet justement de créer une interactivité: la salle n’est jamais la même, les réactions des animaux dépendent de l'attitude des visiteurs sur place", explique Robert Calcagno, le directeur général de l’Institut océanographique de Monaco.
"Le but de cette exposition, c’est aussi de montrer la fragilité de ces récifs et d’aider le public à mieux comprendre les problèmes des océans et la nécessité de les protéger dans leur vie quotidienne", ajoute-il.
Au cours de l'été austral qui vient de s'achever, la Grande Barrière de corail a en effet vécu son plus grave épisode de blanchissement de coraux, un phénomène dû au réchauffement climatique qui menace sa survie.
La Principauté monégasque assure aujourd’hui la coprésidence, avec l’Australie et l'Indonésie, de l'Initiative internationale pour les récifs coralliens, un programme de protection des récifs et de leurs écosystèmes dans le monde.
Le musée océanographique de Monaco a été le premier au monde à réussir à conserver des coraux vivants dans ses aquariums que les visiteurs du musée, après leur plongée virtuelle, peuvent admirer pour de vrai.
L'exposition est visible jusqu’en décembre 2021.