CHRISTCHURCH, lundi 20 juin 2011 (Flash d'Océanie) – Plus de cinq mille deux cent bâtiment à Christchurch et dans sa région sont désormais considérés comme instables et comportant un haut risque d’effondrement, après la vague de séismes qui a frappé cette ville le 4 septembre 2010 (aucune victime), le 11 février 2011 (plus de cent quatre vingt morts) et, tout dernièrement, le 13 juin.
Ces bâtiments, édifices et ouvrages comprennent, selon la municipalité de Christchurch, des bâtiments publics y compris hôpitaux (275), des établissements scolaires ou communautaires (480), des pont et chaussées (11), le reste étant classé dans la catégorie « bâtiments commerciaux » (4.500).
Ces bâtiments, fragilisés par la succession de séismes, pourraient désormais s’effondrer sous l’effet de nouvelles secousses, même modérées.
Le dernier séisme, de magnitude 6, a entraîné la mort indirecte d’une personne, victime d’une attaque cardiaque et blessé une cinquantaine d’autres, légèrement.
Depuis cette vague d’activité sismique particulièrement soutenue, les services locaux de santé publique ont signalé une recrudescence significative du syndrome dit « des zones de guerre » qui se manifeste par une anxiété et un stress quasi-continus.
Selon le centre d’accueil des femmes en détresse de la ville, le nombre de cas, depuis février 2011, aurait augmenté de pas moins de trente pour cent.
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Ces bâtiments, édifices et ouvrages comprennent, selon la municipalité de Christchurch, des bâtiments publics y compris hôpitaux (275), des établissements scolaires ou communautaires (480), des pont et chaussées (11), le reste étant classé dans la catégorie « bâtiments commerciaux » (4.500).
Ces bâtiments, fragilisés par la succession de séismes, pourraient désormais s’effondrer sous l’effet de nouvelles secousses, même modérées.
Le dernier séisme, de magnitude 6, a entraîné la mort indirecte d’une personne, victime d’une attaque cardiaque et blessé une cinquantaine d’autres, légèrement.
Depuis cette vague d’activité sismique particulièrement soutenue, les services locaux de santé publique ont signalé une recrudescence significative du syndrome dit « des zones de guerre » qui se manifeste par une anxiété et un stress quasi-continus.
Selon le centre d’accueil des femmes en détresse de la ville, le nombre de cas, depuis février 2011, aurait augmenté de pas moins de trente pour cent.
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