La 9ème édition du Hura Tapairu est un véritable tremplin pour les petits groupes de danses connus et moins connus.
Du 28 novembre au 7 décembre prochaîn, Te Fare Tauhiti Nui organise un autre évènement majeur, après le Heiva i Tahiti, à savoir le Hura Tapairu. Des spectacles exceptionnels sont attendus. Heremoana Maamaatuaiahutapu a promis passion, professionnalisme, énergie et surtout créativité. Les troupes gagnantes se produiront ensuite au Radisson.
Le Hura Tapairu est, sans conteste, le second plus grand moment pour les troupes de danses qui n’ont pas pu participer au Heiva. Ce concours permet depuis 2004, aux petites formations (maximum 30 personnes) de se produire sur scène. Attention cependant à ne pas qualifier cet évènement de « petit Heiva », comme l’a précisé Vaiana Giraud responsable de la communication à la maison de la culture. Ici, « on laisse aux groupes une totale liberté artistique. Aucun pas imposé, mais il faudra respecter le timing et la limite des participants. », nous a expliqué Heremoana Maamaatuaiahutapu, le directeur de l’établissement culturel.
Différentes catégories
Le Hura Tapairu est un ensemble de catégories de concours incluant le ‘Ote’a et ‘Aparima, mais également le Mehura ( qui est l’équivalent du Hula hawaiien ) et le ‘Ori tahito (traduit par ancienne danse), rappelant Tahiti des années 30 à 50. La prestation s’effectue en solo homme et femme. Pour créer leurs chorégraphies, les groupes ont dû effectuer des recherches sur cette époque qui a livré à la Polynésie les pionniers du renouveau de la danse polynésienne, tels que Gilles Hollande, Madeleine Mou’a ou encore Germaine de Bora Bora.
Cette année, les organisateurs ont voulu tenir les spectateurs en haleine jusqu’au dernier soir. A l’issue de la soirée du vendredi, l’huissier fera connaître le nom des vainqueurs en catégorie Mehura, ‘Ori tahito et prix spéciaux pour le ‘Ote’a et le ‘Aparima. Le dossier de presse du Fare Tauhiti Nui a ajouté que : « Ceux qui gagneront dans l’un ou l’autre de ces dernières catégories se retrouveront le lendemain en concours pour le prix i[Hura Tapairu, tandisque les 6 meilleurs Mehura s’affronteront dans une finale avec 4 prix à la clé.]i »
Les prix seront à la hauteur des prestations puisqu’il est prévu une enveloppe de 2 500 000 FCP réparties entre 17 prix différents.
L’évènement est soutenu par Air France, Magic City, L’Eau Royale, le Magazine Matareva, le GIE Tahiti Tourisme et le Service de l’Artisanat polynésien. D’ailleurs ce dernier enverra une petite délégation d’artisans parmi lesquels on retrouvera deux fabriquants d’instruments traditionnels. Le conservatoire, de son côté, organisera un stage International de ‘Ori Tahiti du lundi 2 au vendredi 6 décembre prochain. Et pour finir « en beauté », le Radisson de Arue recevra les vainqueurs les vendredi 12 et samedi 13 décembre pour deux soirées uniques sur le thème de « Te Veravera o te Hura Tapairu » .
TP
Télécharger le programme
Le Hura Tapairu est, sans conteste, le second plus grand moment pour les troupes de danses qui n’ont pas pu participer au Heiva. Ce concours permet depuis 2004, aux petites formations (maximum 30 personnes) de se produire sur scène. Attention cependant à ne pas qualifier cet évènement de « petit Heiva », comme l’a précisé Vaiana Giraud responsable de la communication à la maison de la culture. Ici, « on laisse aux groupes une totale liberté artistique. Aucun pas imposé, mais il faudra respecter le timing et la limite des participants. », nous a expliqué Heremoana Maamaatuaiahutapu, le directeur de l’établissement culturel.
Différentes catégories
Le Hura Tapairu est un ensemble de catégories de concours incluant le ‘Ote’a et ‘Aparima, mais également le Mehura ( qui est l’équivalent du Hula hawaiien ) et le ‘Ori tahito (traduit par ancienne danse), rappelant Tahiti des années 30 à 50. La prestation s’effectue en solo homme et femme. Pour créer leurs chorégraphies, les groupes ont dû effectuer des recherches sur cette époque qui a livré à la Polynésie les pionniers du renouveau de la danse polynésienne, tels que Gilles Hollande, Madeleine Mou’a ou encore Germaine de Bora Bora.
Cette année, les organisateurs ont voulu tenir les spectateurs en haleine jusqu’au dernier soir. A l’issue de la soirée du vendredi, l’huissier fera connaître le nom des vainqueurs en catégorie Mehura, ‘Ori tahito et prix spéciaux pour le ‘Ote’a et le ‘Aparima. Le dossier de presse du Fare Tauhiti Nui a ajouté que : « Ceux qui gagneront dans l’un ou l’autre de ces dernières catégories se retrouveront le lendemain en concours pour le prix i[Hura Tapairu, tandisque les 6 meilleurs Mehura s’affronteront dans une finale avec 4 prix à la clé.]i »
Les prix seront à la hauteur des prestations puisqu’il est prévu une enveloppe de 2 500 000 FCP réparties entre 17 prix différents.
L’évènement est soutenu par Air France, Magic City, L’Eau Royale, le Magazine Matareva, le GIE Tahiti Tourisme et le Service de l’Artisanat polynésien. D’ailleurs ce dernier enverra une petite délégation d’artisans parmi lesquels on retrouvera deux fabriquants d’instruments traditionnels. Le conservatoire, de son côté, organisera un stage International de ‘Ori Tahiti du lundi 2 au vendredi 6 décembre prochain. Et pour finir « en beauté », le Radisson de Arue recevra les vainqueurs les vendredi 12 et samedi 13 décembre pour deux soirées uniques sur le thème de « Te Veravera o te Hura Tapairu » .
TP
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