RENNES, 14 février 2011 (AFP) - Pour Germaine et Louis Cellier, 98 et 102 ans, la Saint-Valentin dure depuis 78 ans - depuis 1932 exactement, année de leur mariage - le "plus beau souvenir" de Germaine, a-t-elle raconté à l'AFP.
Ce 31 décembre, à Paris, "il faisait un temps superbe, on était en petites vestes", confie Germaine Cellier, en se remémorant "un magnifique souvenir". Même si, au départ, les parents de Germaine "étaient réticents : ils trouvaient Louis trop petit" et pensaient "qu'il n'avait pas une assez bonne situation", à la SNCF.
Les époux, qui se sont rencontrés un soir de bal à Paris et qui partagent aujourd'hui une chambre dans une résidence pour personnes âgées à Lanvollon (Côtes d'Armor), se sont "toujours très bien entendus", selon les dires de Germaine.
La clé de la longévité du couple? "Tout allait bien, les enfants travaillaient bien à l'école", a expliqué Germaine. Le couple a deux enfants, deux petits-enfants, six arrière petits-enfants et trois arrière arrière petits-enfants.
"On était toujours à peu près d'accord. Louis est un peu passif, moi je suis peut-être un peu plus nerveuse, faut que ça aille vite, faut pas que ça traîne", a poursuivi Mme Cellier.
Le couple n'a rien prévu de spécial pour la Saint-Valentin, car "à nos âges, vous savez...", confie Mme Cellier, que Louis continue cependant d'appeler "ma petite maman". "C'est dit sur un ton affectueux et tellement gentil", a expliqué une de leurs amies, Odette.
Le couple n'a été séparé qu'une seule fois lors de ses 78 années de vie conjugale : "3 mois pendant la guerre. Louis a été appelé, moi je suis partie à la campagne avec une amie et mon fils", raconte Germaine Cellier.
cor-am/sd
Ce 31 décembre, à Paris, "il faisait un temps superbe, on était en petites vestes", confie Germaine Cellier, en se remémorant "un magnifique souvenir". Même si, au départ, les parents de Germaine "étaient réticents : ils trouvaient Louis trop petit" et pensaient "qu'il n'avait pas une assez bonne situation", à la SNCF.
Les époux, qui se sont rencontrés un soir de bal à Paris et qui partagent aujourd'hui une chambre dans une résidence pour personnes âgées à Lanvollon (Côtes d'Armor), se sont "toujours très bien entendus", selon les dires de Germaine.
La clé de la longévité du couple? "Tout allait bien, les enfants travaillaient bien à l'école", a expliqué Germaine. Le couple a deux enfants, deux petits-enfants, six arrière petits-enfants et trois arrière arrière petits-enfants.
"On était toujours à peu près d'accord. Louis est un peu passif, moi je suis peut-être un peu plus nerveuse, faut que ça aille vite, faut pas que ça traîne", a poursuivi Mme Cellier.
Le couple n'a rien prévu de spécial pour la Saint-Valentin, car "à nos âges, vous savez...", confie Mme Cellier, que Louis continue cependant d'appeler "ma petite maman". "C'est dit sur un ton affectueux et tellement gentil", a expliqué une de leurs amies, Odette.
Le couple n'a été séparé qu'une seule fois lors de ses 78 années de vie conjugale : "3 mois pendant la guerre. Louis a été appelé, moi je suis partie à la campagne avec une amie et mon fils", raconte Germaine Cellier.
cor-am/sd