Le jeune homme affirme maintenant s'être tourné vers la Bible.
PAPEETE, le 8 août 2016 - Le jeune détenu suspecté de radicalisation était à nouveau jugé ce jeudi pour un coup de poing porté au visage d'un surveillant de prison lundi dernier.
Il a laissé une meilleure impression que lors de son premier passage en comparution immédiate, le 1er septembre dernier. Le jeune détenu de 26 ans surveillé pour ses propos islamisant a néanmoins écopé ce jeudi de 6 mois de prison supplémentaires pour avoir asséné un coup de poing à un maton lors d'une fouille au corps.
L'incident s'était produit lundi dernier, quatre jours seulement après sa condamnation à 2 ans de prison ferme pour, déjà, toute une série d'agressions et de menaces sur fond de références islamistes, commises courant août à l'encontre d'une dizaine de personnels de l'administration pénitentiaire.
Cette fois, c'est affublé d'un tricot floqué du nom de Jésus que le détenu s'est présenté à la barre entre quatre gendarmes du GIGN. Selon son avocate, il aurait compris qu'il "s'engageait dans une voie dangereuse pour lui avec l'islamisme" et se serait donc retourné vers la Bible. L'avocat de l'administration pénitentiaire a de son côté indiqué au tribunal qu'il ne croyait pas du tout dans cette soudaine "résilience", destinée "à endormir notre méfiance à son sujet".
Il a laissé une meilleure impression que lors de son premier passage en comparution immédiate, le 1er septembre dernier. Le jeune détenu de 26 ans surveillé pour ses propos islamisant a néanmoins écopé ce jeudi de 6 mois de prison supplémentaires pour avoir asséné un coup de poing à un maton lors d'une fouille au corps.
L'incident s'était produit lundi dernier, quatre jours seulement après sa condamnation à 2 ans de prison ferme pour, déjà, toute une série d'agressions et de menaces sur fond de références islamistes, commises courant août à l'encontre d'une dizaine de personnels de l'administration pénitentiaire.
Cette fois, c'est affublé d'un tricot floqué du nom de Jésus que le détenu s'est présenté à la barre entre quatre gendarmes du GIGN. Selon son avocate, il aurait compris qu'il "s'engageait dans une voie dangereuse pour lui avec l'islamisme" et se serait donc retourné vers la Bible. L'avocat de l'administration pénitentiaire a de son côté indiqué au tribunal qu'il ne croyait pas du tout dans cette soudaine "résilience", destinée "à endormir notre méfiance à son sujet".