(photo d'illustration)
PAPEETE, le 29 juillet 2015 - Dans un document que la douane polynésienne a présenté aux entreprises début juillet, une information importante est révélée : un grand plan de modernisation informatique à 300 millions Fcfp.
>>> Les douanes jouent la transparence avec les entreprises
Il était temps de changer la solution informatique de la douane polynésienne, qui fonctionne encore sur une solution vieille de 15 ans et pourtant très onéreuse. Après une année de travail, appel d'offre, consultations et autres, c'est la solution "Ibiscus" de la société française Bull qui a été choisie.
Elle est déjà la référence pour des pays comme Malte, le Maroc ou l'Irlande, et l'entreprise a une équipe en permanence en Polynésie, un atout important. D'autant que la solution progicielle va coûter 300 millions Fcfp au Pays…
Mais en retour, les douanes vont accélérer le traitement des marchandises et des personnes, et vont pouvoir ouvrir un service en "cloud" accessible aux professionnels et particuliers. Une vraie "e-douane" qui serait totalement déployée en avril/mai 2017. Il faudra aussi "toiletter certains textes obsolètes" pour permettre ce grand élan de modernisation.
>>> Les douanes jouent la transparence avec les entreprises
Il était temps de changer la solution informatique de la douane polynésienne, qui fonctionne encore sur une solution vieille de 15 ans et pourtant très onéreuse. Après une année de travail, appel d'offre, consultations et autres, c'est la solution "Ibiscus" de la société française Bull qui a été choisie.
Elle est déjà la référence pour des pays comme Malte, le Maroc ou l'Irlande, et l'entreprise a une équipe en permanence en Polynésie, un atout important. D'autant que la solution progicielle va coûter 300 millions Fcfp au Pays…
Mais en retour, les douanes vont accélérer le traitement des marchandises et des personnes, et vont pouvoir ouvrir un service en "cloud" accessible aux professionnels et particuliers. Une vraie "e-douane" qui serait totalement déployée en avril/mai 2017. Il faudra aussi "toiletter certains textes obsolètes" pour permettre ce grand élan de modernisation.