Tahiti le 31 juillet 2024. La grève dans les services de l’Etat devait débuter ce jeudi à 00h00. Elle sera finalement reportée dans l’attente de l’action des députés concernant la modification du système de retraite après l’abandon de l’ITR.
Alors qu’une conférence de presse devait se tenir mercredi 31 août, l’intersyndicale regroupant la CSTP/FO, Otahi, la CSIP, O oe to oe rima et A ti’a i mua, a préféré reporter sa conférence de presse au sujet du conflit social se déroulant dans l’administration d’Etat.
« Les secrétaires généraux des 5 centrales syndicales, représentatives de Polynésie française, signataires du préavis de grève, ont entamé une première négociation, dans la journée de lundi , avec un conseiller de la ministre des Outre-mer suivie d'une deuxième, mardi, avec le haut-commissaire, Eric Spitz », expliquait hier après-midi un communiqué envoyé par l’intersyndicale.
Les représentants ont porté à la connaissance de leurs interlocuteurs la démarche prochaine, des trois députés polynésiens qui vont présenter un amendement à l'Assemblée nationale pour obtenir que leur retraite corresponde, désormais, à 75% de leur revenu d'actif et non plus 30%, comme ce sera le cas avec la surpression définitive de l’attribution de l’ITR.
Selon l’intersyndicale, le conseiller de la ministre des Outre-mer, qui ne sera plus ministre dans quelques semaines, et le haut-commissaire de la République feront part au gouvernement central de leur demande de ne pas s'opposer aux textes qui seront présentés par les députés.
Dans l'attente de l’évolution des discussions parisiennes sur les textes qui seront proposés par les députés à Paris, l’intersyndicale a décidé de « suspendre provisoirement le préavis de grève ».
« Nous avons confiance que la discrimination insupportable qui frappe les fonctionnaires polynésiens de l’État ne sera plus cautionnée par les plus hautes autorités de la République au nom du respect du principe républicain fondamental, d’Égalité, tel qu'il est d'ailleurs réaffirmé par la loi EROM de 2017 pour les ultra-marins », conclut le communiqué.
Alors qu’une conférence de presse devait se tenir mercredi 31 août, l’intersyndicale regroupant la CSTP/FO, Otahi, la CSIP, O oe to oe rima et A ti’a i mua, a préféré reporter sa conférence de presse au sujet du conflit social se déroulant dans l’administration d’Etat.
« Les secrétaires généraux des 5 centrales syndicales, représentatives de Polynésie française, signataires du préavis de grève, ont entamé une première négociation, dans la journée de lundi , avec un conseiller de la ministre des Outre-mer suivie d'une deuxième, mardi, avec le haut-commissaire, Eric Spitz », expliquait hier après-midi un communiqué envoyé par l’intersyndicale.
Les représentants ont porté à la connaissance de leurs interlocuteurs la démarche prochaine, des trois députés polynésiens qui vont présenter un amendement à l'Assemblée nationale pour obtenir que leur retraite corresponde, désormais, à 75% de leur revenu d'actif et non plus 30%, comme ce sera le cas avec la surpression définitive de l’attribution de l’ITR.
Selon l’intersyndicale, le conseiller de la ministre des Outre-mer, qui ne sera plus ministre dans quelques semaines, et le haut-commissaire de la République feront part au gouvernement central de leur demande de ne pas s'opposer aux textes qui seront présentés par les députés.
Dans l'attente de l’évolution des discussions parisiennes sur les textes qui seront proposés par les députés à Paris, l’intersyndicale a décidé de « suspendre provisoirement le préavis de grève ».
« Nous avons confiance que la discrimination insupportable qui frappe les fonctionnaires polynésiens de l’État ne sera plus cautionnée par les plus hautes autorités de la République au nom du respect du principe républicain fondamental, d’Égalité, tel qu'il est d'ailleurs réaffirmé par la loi EROM de 2017 pour les ultra-marins », conclut le communiqué.