Tahiti le 18 juin 2025. Les douaniers de Polynésie française et de Nouvelle-Calédonie ont saisi 209 kg de cocaïne et contribué à l’interception de plus d’une demi-tonne de ce stupéfiant au cours d’une opération réalisée conjointement avec les douanes australiennes (Australian Border Force), américaines et Néo-Zélandaises d’avril à mai dernier.
L’ensemble de ces services douaniers a combiné ses efforts et ses ressources pour lutter contre les trafics de drogue dissimulés dans la chaîne d'approvisionnement maritime du Pacifique par conteneur.
Cette opération a mis en œuvre des outils innovants d’analyse des données, des technologies de suivi et d'inspection et, surtout a permis d’échanger les informations en temps réel. Les services impliqués dans l'opération comprenaient l'Australian Border Force, la Douane française (direction régionale des douanes de Nouvelle-Calédonie, direction régionale des douanes de Polynésie française), l'agence des douanes de la Jamaïque, le service des douanes de Nouvelle-Zélande et les United States Homeland Security Investigations (Sécurité intérieure des États-Unis).
Fin mars 2025, 142 kg de cocaïne étaient saisis en Polynésie française, dissimulés dans des panneaux d'isolation d’un conteneur réfrigéré à destination de l’Australie. Un autre contrôle a permis de saisir près de 67 kg de cocaïne en Nouvelle-Calédonie, dissimulés derrière les parois du conteneur, lui aussi destiné à l’Australie. Enfin, plus de 285 kg de cocaïne ont été découverts - au cours de trois saisies distinctes – dissimulés dans des conteneurs arrivant à Melbourne.
Cette opération a permis de coordonner l’action des agents des douanes basés dans différents ports du Pacifique, tout en partageant les renseignements et les technologies utilisés pour identifier, examiner et détecter les drogues.
La méthode de dissimulation contre laquelle ont lutté les services douaniers est celle couramment employée par les organisations criminelles, appelée « Rip off » et qui consiste à utiliser des conteneurs destinés au transport de marchandises légales, pour y cacher de la drogue, à divers endroits du conteneur, après qu'il ait été dédouané au départ et dans le but de récupérer les stupéfiants avant les contrôles à l’arrivée.
L’ensemble de ces services douaniers a combiné ses efforts et ses ressources pour lutter contre les trafics de drogue dissimulés dans la chaîne d'approvisionnement maritime du Pacifique par conteneur.
Cette opération a mis en œuvre des outils innovants d’analyse des données, des technologies de suivi et d'inspection et, surtout a permis d’échanger les informations en temps réel. Les services impliqués dans l'opération comprenaient l'Australian Border Force, la Douane française (direction régionale des douanes de Nouvelle-Calédonie, direction régionale des douanes de Polynésie française), l'agence des douanes de la Jamaïque, le service des douanes de Nouvelle-Zélande et les United States Homeland Security Investigations (Sécurité intérieure des États-Unis).
Fin mars 2025, 142 kg de cocaïne étaient saisis en Polynésie française, dissimulés dans des panneaux d'isolation d’un conteneur réfrigéré à destination de l’Australie. Un autre contrôle a permis de saisir près de 67 kg de cocaïne en Nouvelle-Calédonie, dissimulés derrière les parois du conteneur, lui aussi destiné à l’Australie. Enfin, plus de 285 kg de cocaïne ont été découverts - au cours de trois saisies distinctes – dissimulés dans des conteneurs arrivant à Melbourne.
Cette opération a permis de coordonner l’action des agents des douanes basés dans différents ports du Pacifique, tout en partageant les renseignements et les technologies utilisés pour identifier, examiner et détecter les drogues.
La méthode de dissimulation contre laquelle ont lutté les services douaniers est celle couramment employée par les organisations criminelles, appelée « Rip off » et qui consiste à utiliser des conteneurs destinés au transport de marchandises légales, pour y cacher de la drogue, à divers endroits du conteneur, après qu'il ait été dédouané au départ et dans le but de récupérer les stupéfiants avant les contrôles à l’arrivée.