Tahiti le 23 avril 2025. Après la direction de l’Apair-Apurad, ce sont les salariés non-grévistes qui se manifestent en cette fin de semaine pour demander que cesse le conflit social au sein de cette association qui dure maintenant depuis près de six semaines. Surtout, par leur courrier, les 120 salariés non-grévistes apportent leur soutien au directeur de la structure, le docteur Grégory Detrun, que les grévistes accusent de beaucoup des maux qui gangrènent le dialogue dans cette grève.
Cette lettre ouverte, accompagnée des signatures, à été transmise vendredi dernier au cabinet du Président du pays, au ministre de la Santé, à l'ARASS, à l'inspection du travail, à la médecine du travail, et aux organisations syndicales.
Dans ces quelques lignes de soutien, le collectif des salariés non-grévistes refusent "que d’avantages d’accusations, de propos injustes et infondés continuent de nuire à la réputation et au bon fonctionnement de notre association."
Dans leur courrier, les salariés témoignent au cœur d’un "conflit qui s’enlise" d’une mauvaise ambiance, parlant "d’actes isolés de violence physique et morale interpersonnels."
Concernant les accusations livrées par les grévistes, les salariés toujours en poste demandent de "mettre un terme aux mensonges avancés sans preuve qui n’ont d’autres conséquences que de cliver et faire monter chaque jour un peu plus la tension entre les membres du personnel."
Cette lettre ouverte, accompagnée des signatures, à été transmise vendredi dernier au cabinet du Président du pays, au ministre de la Santé, à l'ARASS, à l'inspection du travail, à la médecine du travail, et aux organisations syndicales.
Dans ces quelques lignes de soutien, le collectif des salariés non-grévistes refusent "que d’avantages d’accusations, de propos injustes et infondés continuent de nuire à la réputation et au bon fonctionnement de notre association."
Dans leur courrier, les salariés témoignent au cœur d’un "conflit qui s’enlise" d’une mauvaise ambiance, parlant "d’actes isolés de violence physique et morale interpersonnels."
Concernant les accusations livrées par les grévistes, les salariés toujours en poste demandent de "mettre un terme aux mensonges avancés sans preuve qui n’ont d’autres conséquences que de cliver et faire monter chaque jour un peu plus la tension entre les membres du personnel."