Tahiti, le 27 mars 2020 - Un homme et une femme ont été arrêtés le 18 mars dernier en possession de plusieurs centaines de masques périmés qu’ils avaient commencé à revendre sur internet. Présentés en comparution immédiate le 20 mars, ils ont été relaxés. Le parquet a fait appel de cette décision.
Après la fausse chloroquine, les masques périmés. Le 18 mars, les agents de la Direction de la sécurité publique (DSP) ont été informés du fait qu’une personne proposait des masques FFp2 à la revente sur les réseaux sociaux. Après avoir pris rendez-vous avec cette dernière en se faisant passer pour des clients potentiels, les policiers ont interpellé un couple. Mille-six -cents masques périmés ont été trouvés dans leur véhicule. Plusieurs centaines d’autres masques, parfois périmés depuis 2009, ont également été saisis lors d’une perquisition effectuée à leur domicile.
Entendu, l’homme, employé comme ouvrier pour le compte du haut-commissariat, a indiqué qu’il avait trouvé ces masques dans une maison de stockage et des poubelles situées sur le chantier où il travaillait. Périmés, ils étaient destinés à la destruction mais les employés du chantier avaient le droit de les utiliser. Ces masques avaient été acquis par le haut-commissariat lors de l’épidémie de H5N1.
Questionnée à son tour suite à son interpellation. La femme a expliqué qu’elle avait gardé quelques dizaines de masques pour sa famille et avait décidé de revendre le reste au regard du caractère anxiogène de la situation.
Présentés en comparution immédiate le 20 mars, les deux individus ont été relaxés. Le parquet, estimant que le couple avait bien volé ces masques, a fait appel de cette décision.
Quoi qu’il en soit, si quelqu’un propose des vaccins contre le Covid-19 sur les réseaux sociaux, méfiez-vous…
Après la fausse chloroquine, les masques périmés. Le 18 mars, les agents de la Direction de la sécurité publique (DSP) ont été informés du fait qu’une personne proposait des masques FFp2 à la revente sur les réseaux sociaux. Après avoir pris rendez-vous avec cette dernière en se faisant passer pour des clients potentiels, les policiers ont interpellé un couple. Mille-six
Entendu, l’homme, employé comme ouvrier pour le compte du haut-commissariat, a indiqué qu’il avait trouvé ces masques dans une maison de stockage et des poubelles situées sur le chantier où il travaillait. Périmés, ils étaient destinés à la destruction mais les employés du chantier avaient le droit de les utiliser. Ces masques avaient été acquis par le haut-commissariat lors de l’épidémie de H5N1.
Questionnée à son tour suite à son interpellation. La femme a expliqué qu’elle avait gardé quelques dizaines de masques pour sa famille et avait décidé de revendre le reste au regard du caractère anxiogène de la situation.
Présentés en comparution immédiate le 20 mars, les deux individus ont été relaxés. Le parquet, estimant que le couple avait bien volé ces masques, a fait appel de cette décision.
Quoi qu’il en soit, si quelqu’un propose des vaccins contre le Covid-19 sur les réseaux sociaux, méfiez-vous…