Le sénateur Tuheiava a fait un déplacement officiel du 26 au 28 mars derniers, à Auckland, Nouvelle Zélande, dans le cadre des démarches entreprises pour le classement du marae Taputapuatea de Rai’atea au nombre de monuments du patrimoine mondial de l’Unesco.
A l’invitation du Centre de Recherches Maories James Henare de l’Université d’Auckland, en Nouvelle Zélande, le Sénateur Tuheiava a participé en sa qualité de chef de projet du dossier de candidature Unesco du marae Taputapuatea, Raiatea, à l’Atelier régional « Patrimoine Mondial et Autochtonie ».
Ce déplacement s’est fait aux côtés de M. Guy Tauatiti, nouveau Président de l’association culturelle « Na Papa e Va’u » en charge du Comité de gestion du site candidat sur Rai’atea.
Ont également participé à cet atelier de réflexion plusieurs autres pays représentés, à savoir Hawai’i, Fidji, les Iles Cook, l’Australie et la Nouvelle Zélande.
L’objectif de cet atelier était de rassembler plusieurs représentants autochtones des Pays-clefs de la région océanienne, travaillant ou ayant une expérience concrète dans le domaine du Patrimoine Mondial de l’Unesco, ou collaborant de près ou de loin avec cette sphère d’activité où le concept d’autochtonie et la notion de « communauté locale » est encore trop peu usitée ou reconnue.
Il a donc été question d’explorer et d’envisager, à travers des conférences-débats, des ateliers et une Déclaration finale (en cours de validation), les possibilités de voir intégrer les principes découlant de la Déclaration des droits des Peuples autochtones de l’ONU (UNDRIP) dans la sphère du Patrimoine Mondial.
Avec pour buts finaux :
• De créer un Conseil d’Experts autochtones au sein du processus de nomination Unesco, représentant les intérêts des populations autochtones locales des sites candidats ;
• De parvenir à ce que les populations locales autour d’un site inscrit ou à inscrire à l’Unesco soient associées et impliquées en amont du projet, pendant la conception du projet, durant l’inscription, et dans le cadre du suivi de la nomination Unesco.
Une fois validée par les participants de l’Atelier en Nouvelle Zélande, la Déclaration finale sera diffusée publiquement et sera portée auprès d’Etats signataires de la Convention Unesco de 1972 pour être présentée au Comité du Patrimoine Mondial de l’Unesco afin d’être débattue et adoptée.
A l’invitation du Centre de Recherches Maories James Henare de l’Université d’Auckland, en Nouvelle Zélande, le Sénateur Tuheiava a participé en sa qualité de chef de projet du dossier de candidature Unesco du marae Taputapuatea, Raiatea, à l’Atelier régional « Patrimoine Mondial et Autochtonie ».
Ce déplacement s’est fait aux côtés de M. Guy Tauatiti, nouveau Président de l’association culturelle « Na Papa e Va’u » en charge du Comité de gestion du site candidat sur Rai’atea.
Ont également participé à cet atelier de réflexion plusieurs autres pays représentés, à savoir Hawai’i, Fidji, les Iles Cook, l’Australie et la Nouvelle Zélande.
L’objectif de cet atelier était de rassembler plusieurs représentants autochtones des Pays-clefs de la région océanienne, travaillant ou ayant une expérience concrète dans le domaine du Patrimoine Mondial de l’Unesco, ou collaborant de près ou de loin avec cette sphère d’activité où le concept d’autochtonie et la notion de « communauté locale » est encore trop peu usitée ou reconnue.
Il a donc été question d’explorer et d’envisager, à travers des conférences-débats, des ateliers et une Déclaration finale (en cours de validation), les possibilités de voir intégrer les principes découlant de la Déclaration des droits des Peuples autochtones de l’ONU (UNDRIP) dans la sphère du Patrimoine Mondial.
Avec pour buts finaux :
• De créer un Conseil d’Experts autochtones au sein du processus de nomination Unesco, représentant les intérêts des populations autochtones locales des sites candidats ;
• De parvenir à ce que les populations locales autour d’un site inscrit ou à inscrire à l’Unesco soient associées et impliquées en amont du projet, pendant la conception du projet, durant l’inscription, et dans le cadre du suivi de la nomination Unesco.
Une fois validée par les participants de l’Atelier en Nouvelle Zélande, la Déclaration finale sera diffusée publiquement et sera portée auprès d’Etats signataires de la Convention Unesco de 1972 pour être présentée au Comité du Patrimoine Mondial de l’Unesco afin d’être débattue et adoptée.