PAPEETE, le 9 novembre 2017 - Les négociations de la journée n'ont pas permis de parvenir à un accord selon Patrick Taaora, représentant syndical à EDT Engie. Cet après-midi, vers 15 heures, il a indiqué que la grève serait reconduite demain.
Près de 80 % des salariés d'EDT Engie sont en grève depuis ce jeudi, selon les syndicats. "Il n'y aura pas de coupure de courant", assure Patrick Taaora, représentant CSIP. " Durant un mouvement de grève, c'est quand il y a un problème que les équipes interviennent mais on ne pourra pas travailler, on ne pourra pas remplacer, on ne pourra pas faire des opérations de travaux mais on mettra les gens en sécurité."
Depuis ce matin, le syndicaliste était à la table des négociations. Mais ce n'était pas pour évoquer les différents points de revendication avec la direction. Les deux parties se sont entretenue sur la sécurité pendant la grève. Un problème technique s'est produit entre 7h et 11 heures à la Punaruu. " C'est ce point là que l'on a pu négocier jusqu'à présent. Il faut un minimum de sécurité."
Les autres points bloquants tel que la statut des cadres, le management de l'entreprise ou encore l'évolution des carrières, n'ont pas été abordés selon le syndicat. "Pour le moment, nous n'avons plus de discussion depuis hier soir donc nous attendons. Nous attendons un geste de la part de la direction. Nous avons donné nos dernières propositions. Il y a des points bloquants mais sur lesquels nous pouvons évoluer. Dans les négociations, il faut être deux."
Le piquet de grève ne devrait pas bouger d'ici demain. Les salariés seront à nouveau présents pour leur deuxième jour de grève.
Près de 80 % des salariés d'EDT Engie sont en grève depuis ce jeudi, selon les syndicats. "Il n'y aura pas de coupure de courant", assure Patrick Taaora, représentant CSIP. " Durant un mouvement de grève, c'est quand il y a un problème que les équipes interviennent mais on ne pourra pas travailler, on ne pourra pas remplacer, on ne pourra pas faire des opérations de travaux mais on mettra les gens en sécurité."
Depuis ce matin, le syndicaliste était à la table des négociations. Mais ce n'était pas pour évoquer les différents points de revendication avec la direction. Les deux parties se sont entretenue sur la sécurité pendant la grève. Un problème technique s'est produit entre 7h et 11 heures à la Punaruu. " C'est ce point là que l'on a pu négocier jusqu'à présent. Il faut un minimum de sécurité."
Les autres points bloquants tel que la statut des cadres, le management de l'entreprise ou encore l'évolution des carrières, n'ont pas été abordés selon le syndicat. "Pour le moment, nous n'avons plus de discussion depuis hier soir donc nous attendons. Nous attendons un geste de la part de la direction. Nous avons donné nos dernières propositions. Il y a des points bloquants mais sur lesquels nous pouvons évoluer. Dans les négociations, il faut être deux."
Le piquet de grève ne devrait pas bouger d'ici demain. Les salariés seront à nouveau présents pour leur deuxième jour de grève.