Un exemple de tram aérien à Madère
L’association polynésienne de développement durable, 2D attitude.org a présenté hier après-midi, face à la presse, un projet d’aménagement d’un tram aérien. Celui-ci aurait l’avantage de désengorger les routes et d’effectuer des rotations à horaires fixes et régulières. Mais, le projet est encore au stade de réflexion.
François Paul-Pont, économiste à l’ISEPP (L'Institut Supérieur de l'Enseignement Privé de Polynésie Française) et Jean Claude Foglia, professeur de mathématiques au Lycée Samuel Raapoto (il est également le responsable du projet en question) ont tous les arguments pour convaincre de l’importance d’un tel projet. Le premier y pense depuis deux ans. Le second, sous l’égide de l’association 2D Attitude, en est le responsable.
Ensemble, ils ont récolté de nombreuses informations, établis les premiers contacts d’usage avec le gouvernement local, des entreprises spécialisées dans l’installation de ce genre de structure et ont reçu le soutien non négligeable du sénateur Richard Tuheiava par le biais d’une subvention de 11 000 euros (1 320 000 FCP). Autant d’éléments qui prouvent le sérieux des démarches déjà entreprises, bien que celles-ci ne constituent qu’une ébauche du projet.
Les chiffres, montants et autres statistiques avancés affichent un projet de tram aérien aux multiples avantages. Montant de l’aménagement : entre 900 millions et 1,8 milliard de francs contre le quadruple pour la mise en place d’un circuit de tram terrestre (tramway). Le coût de fonctionnement serait de 180 à 384 francs au kilomètre contre le triple pour une ligne de tram terrestre.
Pas de gaz polluants, faible pollution sonore, sécurité et attrait touristique (démontré dans tous les pays qui en sont équipés). Autant d’atouts qui rentrent dans le cadre général d’un système de transport innovant, performant et économique. Le projet a reçu une écoute favorable auprès des instances publiques. Reste à savoir quelle en sera l’aboutissement.
TP
François Paul-Pont, économiste à l’ISEPP (L'Institut Supérieur de l'Enseignement Privé de Polynésie Française) et Jean Claude Foglia, professeur de mathématiques au Lycée Samuel Raapoto (il est également le responsable du projet en question) ont tous les arguments pour convaincre de l’importance d’un tel projet. Le premier y pense depuis deux ans. Le second, sous l’égide de l’association 2D Attitude, en est le responsable.
Ensemble, ils ont récolté de nombreuses informations, établis les premiers contacts d’usage avec le gouvernement local, des entreprises spécialisées dans l’installation de ce genre de structure et ont reçu le soutien non négligeable du sénateur Richard Tuheiava par le biais d’une subvention de 11 000 euros (1 320 000 FCP). Autant d’éléments qui prouvent le sérieux des démarches déjà entreprises, bien que celles-ci ne constituent qu’une ébauche du projet.
Les chiffres, montants et autres statistiques avancés affichent un projet de tram aérien aux multiples avantages. Montant de l’aménagement : entre 900 millions et 1,8 milliard de francs contre le quadruple pour la mise en place d’un circuit de tram terrestre (tramway). Le coût de fonctionnement serait de 180 à 384 francs au kilomètre contre le triple pour une ligne de tram terrestre.
Pas de gaz polluants, faible pollution sonore, sécurité et attrait touristique (démontré dans tous les pays qui en sont équipés). Autant d’atouts qui rentrent dans le cadre général d’un système de transport innovant, performant et économique. Le projet a reçu une écoute favorable auprès des instances publiques. Reste à savoir quelle en sera l’aboutissement.
TP
Un projet qui peut rentrer dans le schéma d'aménagement général
Autre élément important prouvant le bienfondé du projet, la rencontre il y a quelques semaines avec monsieur Jean François Marrens, responsable du SAGE (Schéma d'Aménagement Général). Cette loi du pays votée le 13 août dernier avait été votée à l’unanimité. Elle met en place une politique stratégique de choix d’aménagement, de développement culturel, économique, environnemental et social qui s’étalera sur une durée de 2 ans. Le projet de Tram aérien rentre parfaitement dans ce dispositif. D’ailleurs, les futurs rapports d’études liés au projet de l’association 2D attitude seront intégrés à ceux du SAGE.
