Papeete, le 6 août 2015 - Toute personne qui a envie de partager une idée autour de l'entrepreneuriat social peut contacter Make Sense Tahiti. Une façon innovante d'accompagner les entrepreneurs aux multiples idées.
À l'origine, deux copains sortis d'école de commerce dont l'un est Tahitien, il s'appelle Christian Vanizette. Tous deux se rendent en Asie après leurs études pour rencontrer des entrepreneurs sociaux. À leur retour, ils se rendent compte qu'il n'est pas toujours facile pour ces personnes d'avoir les compétences nécessaires pour lancer des projets. Souvent, ils ne savent pas manier l'informatique, n'ont pas de base en marketing, management, etc. Christian Vanizette et son copain d'école se demande alors comment les aider. "En fédérant des compétences bénévoles à travers une plateforme communautaire www.makesense.org et des réseaux sociaux comme sur Facebook", répond Nelson Liao qui s'occupe de la branche de Make Sense à Tahiti. "L'objectif de départ est de rallier des étudiants en fin d'études et de fédérer leurs compétences autour de projet". Résultat : ils sont aujourd'hui près de 80 000 personnes dans le monde à travailler bénévolement pour la communauté Make sense. En Polynésie, ils ne sont pour l'instant qu'une dizaine à s'en occuper mais l'énergie est bien présente. Apolitique et indépendante, Make Sense a "pour seul but de favoriser l'impact, à la fois économique et social, en Polynésie Française."
Le principe de la communauté Make Sense : Par exemple, une personne projette de développer des vêtements issus du coton biologique, elle a tous les contacts pour fabriquer les vêtements mais elle ne sait pas comment les vendre en France métropolitaine. Elle s'adresse alors à Make sense pour trouver des compétences marketing, des locaux, etc.
Qu'est-ce qu'un entrepreneur social ? Selon Nelson Liao de Make sense Tahiti, l'entrepreneur social doit avoir un impact social et environnemental. "Dès que tu as un de ces impacts dans ton projet, tu es un entrepreneur social. Il faut un projet conforme à certaine exigence", explique-t-il. Par exemple, quelqu'un a lancé le défi de créer des jardins au-dessus des toits en Ouganda pour mieux nourrir la population
À l'origine, deux copains sortis d'école de commerce dont l'un est Tahitien, il s'appelle Christian Vanizette. Tous deux se rendent en Asie après leurs études pour rencontrer des entrepreneurs sociaux. À leur retour, ils se rendent compte qu'il n'est pas toujours facile pour ces personnes d'avoir les compétences nécessaires pour lancer des projets. Souvent, ils ne savent pas manier l'informatique, n'ont pas de base en marketing, management, etc. Christian Vanizette et son copain d'école se demande alors comment les aider. "En fédérant des compétences bénévoles à travers une plateforme communautaire www.makesense.org et des réseaux sociaux comme sur Facebook", répond Nelson Liao qui s'occupe de la branche de Make Sense à Tahiti. "L'objectif de départ est de rallier des étudiants en fin d'études et de fédérer leurs compétences autour de projet". Résultat : ils sont aujourd'hui près de 80 000 personnes dans le monde à travailler bénévolement pour la communauté Make sense. En Polynésie, ils ne sont pour l'instant qu'une dizaine à s'en occuper mais l'énergie est bien présente. Apolitique et indépendante, Make Sense a "pour seul but de favoriser l'impact, à la fois économique et social, en Polynésie Française."
Le principe de la communauté Make Sense : Par exemple, une personne projette de développer des vêtements issus du coton biologique, elle a tous les contacts pour fabriquer les vêtements mais elle ne sait pas comment les vendre en France métropolitaine. Elle s'adresse alors à Make sense pour trouver des compétences marketing, des locaux, etc.
Qu'est-ce qu'un entrepreneur social ? Selon Nelson Liao de Make sense Tahiti, l'entrepreneur social doit avoir un impact social et environnemental. "Dès que tu as un de ces impacts dans ton projet, tu es un entrepreneur social. Il faut un projet conforme à certaine exigence", explique-t-il. Par exemple, quelqu'un a lancé le défi de créer des jardins au-dessus des toits en Ouganda pour mieux nourrir la population
Que se passe-t-il si vous contactez Make Sense à Tahiti ? L'entrepreneur social propose une problématique liée à son activité. Par exemple, pour la personne qui travaille avec les producteurs de cotons, elle demande à la communauté comment commercialiser son produit fini en métropole. " Nous partons de cette idée là et nous découpons les sujets en plusieurs petits défis appelés des hold-up". Des volontaires de Make sense, aux compétences multiples (marketing, informatique, communication, etc.), participent à une réunion où les idées fusent (brainstorming). "Celui qui pilote le brainstorming voit l'entrepreneur quelques jours avant et décline sa problématique en mini-question jusqu'à la résolution de celle-ci", explique Nelson Liao. " Nous faisons émerger les idées sans tabou pour trouver des solutions", continue-t-il. Les brainstorming se passent au jardin de Paofai et sont organisés sur une demi-journée. La plateforme web permet également de partager son défi en ligne. Plus terre à terre, il est possible de boire un verre avec la communauté de Tahiti lors de "Sensedrinks" où Nelson Liao explique Make sense et espère attirer des porteurs de projet. Nous sommes là pour lancer l'activité de l'entrepreneur mais nous ne le suivons pas de A à Z", commente Nelson Liao.
Contacts :
A Tahiti
Groupe Facebook Make Sense Tahiti :
Nelson Liao : [email protected]
A l'international
Make sense
Pour voir tous les défis : www.makesense.org
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