PAPEETE, le 3 mai 2017 - Chaque année, le collège de Punaauia fête la Polynésie. Il organise sa "journée polynésienne". Un rituel qu’il perpétue comme les autres établissements du fenua. Ce qui le différencie des autres, c’est son ahi ma’a, son four tahitien. Il a été ouvert ce mercredi à 9h30 après plus de 6 heures de cuisson.
Au collège de Punaauia, les élèves "sont fleuris, souriants, épanouis, heureux" constate l’équipe d’encadrement. Ils déambulent dans les allées du collège, profitent d’un spectacle, s’essayent au tressage ou au ukulele. Certains, dans le réfectoire, regardent un documentaire sur la vie des tortues. Ils participent à la journée polynésienne.
"En fait", explique Valérie Dupré, la principale, "il y a différents ateliers installés dans toute l’enceinte de l’établissement, les élèves s’y arrêtent pendant toute la matinée de ce mercredi". Ils sont libres de pouvoir goûter aux activités qui leur plaisent.
Rappeler les valeurs polynésiennes
La journée polynésienne a lieu, comme une tradition, chaque année au mois de mai. Elle se déroule de 7 heures à 11 heures. L’intérêt ? "Rappeler les valeurs polynésiennes aux élèves, mettre à l’honneur la culture du Pays." Les élèves sont contents de l’initiative. Pour preuve, ils sont 1 100 à fréquenter l’établissement et ils sont "relativement calmes".
À en croire les organisateurs, "les élèves mais aussi les enseignants vivent ça avec beaucoup de fierté. Ils s’investissent." Leur tenue en témoigne, de même que la fréquentation des ateliers qui ne désemplissent pas.
Le clou du spectacle
La journée polynésienne, au collège de Punaauia a ceci de particulier : les organisateurs préparent un four tahitien, un ahi ma’a. Il a été allumé dans la nuit, à 3 heures, et a été veillé jusqu’à 9h30, heure de l’ouverture. Deux professeurs et trois élèves de la section d’enseignement général et professionnel adapté (Segpa) s’en sont notamment chargés.
À l‘heure de l’ouverture le ahi ma’a a dévoilé son contenu : deux porcelets, du pua chou, pas moins de 120 fei et une centaine de bananes, du poe banane. Les élèves de Segpa et leurs professeurs ont récupéré ce contenu pour le découper et le préparer. La viande et les fruits ont ensuite été vendus aux élèves et à leurs parents au profit de l’établissement.
Au collège de Punaauia, les élèves "sont fleuris, souriants, épanouis, heureux" constate l’équipe d’encadrement. Ils déambulent dans les allées du collège, profitent d’un spectacle, s’essayent au tressage ou au ukulele. Certains, dans le réfectoire, regardent un documentaire sur la vie des tortues. Ils participent à la journée polynésienne.
"En fait", explique Valérie Dupré, la principale, "il y a différents ateliers installés dans toute l’enceinte de l’établissement, les élèves s’y arrêtent pendant toute la matinée de ce mercredi". Ils sont libres de pouvoir goûter aux activités qui leur plaisent.
Rappeler les valeurs polynésiennes
La journée polynésienne a lieu, comme une tradition, chaque année au mois de mai. Elle se déroule de 7 heures à 11 heures. L’intérêt ? "Rappeler les valeurs polynésiennes aux élèves, mettre à l’honneur la culture du Pays." Les élèves sont contents de l’initiative. Pour preuve, ils sont 1 100 à fréquenter l’établissement et ils sont "relativement calmes".
À en croire les organisateurs, "les élèves mais aussi les enseignants vivent ça avec beaucoup de fierté. Ils s’investissent." Leur tenue en témoigne, de même que la fréquentation des ateliers qui ne désemplissent pas.
Le clou du spectacle
La journée polynésienne, au collège de Punaauia a ceci de particulier : les organisateurs préparent un four tahitien, un ahi ma’a. Il a été allumé dans la nuit, à 3 heures, et a été veillé jusqu’à 9h30, heure de l’ouverture. Deux professeurs et trois élèves de la section d’enseignement général et professionnel adapté (Segpa) s’en sont notamment chargés.
À l‘heure de l’ouverture le ahi ma’a a dévoilé son contenu : deux porcelets, du pua chou, pas moins de 120 fei et une centaine de bananes, du poe banane. Les élèves de Segpa et leurs professeurs ont récupéré ce contenu pour le découper et le préparer. La viande et les fruits ont ensuite été vendus aux élèves et à leurs parents au profit de l’établissement.