Turouru Temorere avec sa grande sœur Turia, ses cousines, sa nièce... et son diadème !
ARUE, le 26 juin 2017 - Fraîchement élue, la 57e Miss Tahiti de l'histoire nous a reçus ce dimanche sous un soleil radieux, entourée de sa proche famille sur les hauteurs de Arue, d'où elle est originaire. Rencontre avec une belle jeune femme de 21 ans qui entend bien garder la tête sur les épaules et se projette déjà vers Miss France.
Quelle émotion vous a envahi quand vous avez entendu Jean-Pierre Foucault prononcer votre nom, vendredi soir ?
"Très fière. Fière de ma famille car pour moi ce titre leur revient. Famille et amis m'encouragent depuis le début de l'aventure, et cela s'est notamment vu à la soirée de gala. Et puis là, l'élection, c'est une grande fierté pour eux".
Vous rentrez dans l'histoire des Miss Tahiti, c'est impressionnant ?
"Je crois que je ne me rends pas encore compte, je n'ai pas encore eu le temps de voir le replay de l'élection. J'ai vu les images de la soirée pour la première fois samedi soir lors de ma participation au journal télévisé. Avec toutes les sollicitations, je crois que je vais m'en rendre compte dans les jours à venir. Mais je suis très heureuse de faire partie de cette nouvelle famille qui est Miss Tahiti".
Il y a déjà eu des changements dans votre vie, 48 heures après le sacre ?
"Je me suis réveillée, et déjà il fallait aller chez Robert Wan, chose que je n'avais jamais faite auparavant, et puis il y a eu le shooting photo pour le magazine Hine. L'après-midi a été très chargée pour finir en soirée sur le plateau du JT. Une journée de miss !"
Vous aviez l'air très émue à l'écran ?
"Oui, c'est la première fois que je voyais les images à la télé. D'habitude, les années précédentes, tu es contente pour la miss, mais là, de se voir soi… J'étais très contente".
Miss France déjà dans la tête
Quel est votre programme pour ces prochains jours ?
"Aujourd'hui (hier, Ndlr) nous avons une journée avec toutes les candidates. On va pouvoir se retrouver et parler entre nous de l'élection. Ensuite je pense qu'il y aura la préparation à Miss France, le sport, la culture générale… On regarde devant, c'est déjà dans les têtes. Il faudra vraiment s'y consacrer pour essayer de faire comme nos cinq dernières Miss Tahiti qui ont pu aller très loin. J'espère avoir un aussi beau parcours et faire aussi bien qu'elles. Cela va être dur mais bon… Pour l'instant je suis la première candidate à Miss France, j'attends de voir les autres élections régionales pour voir qui seront mes futures copines !".
Comment entendez-vous mettre à profit votre année de Miss Tahiti ?
"Je pense qu'il faudra rester simple, humble et disponible pour représenter au mieux le fenua. Comme mon papa m'a dit : "Essaie de te rendre compte que tu es Miss Tahiti à la fin de ton règne, comme ça tu resteras toi. Je vais essayer de rester moi-même".
Vous avez bénéficié d'un gros soutien du public pendant l'élection ?
"Oui ! Ma sœur, en prenant les places pour la soirée de l'élection, a anticipé pour que je sois soutenue chaque fois que j'allais d'un côté à l'autre de la scène. Il y avait la famille du côté droit, et du côté gauche tous les amis. Je me suis sentie soutenue des deux côtés de la scène et franchement c'est la force pour réussir".
Vous vous attendiez à être élue ?
"Non. Elles étaient toutes belles cette année, toutes minces, même moi j'ai dû faire du sport. Je suis contente, je me suis donné tous les moyens pour y arriver, objectif atteint !"
Vous avez déclaré que vous n'aimiez pas trop vous exposer en public, et vous êtes Miss Tahiti aujourd'hui…
"Oui (rires) ! Je n'ai jamais défilé auparavant, jamais fait d'événements comme cela, c'était la première fois. J'étais déjà fière de moi lors du gala parce que j'ai pu assurer, on va dire, et là l'élection… C'est une fierté. Je pense que je vais apprendre avec les représentations et que je serai plus à l'aise d'ici là".
Avoir eu Jean-Pierre Foucault à la présentation, c'était une bonne préparation pour Miss France ?
"Oui, c'était un honneur. Et j'ai aimé lui répondre : "C'est mon dernier mot, Jean-Pierre", quand il m'a posé la question des quatre finalistes".
Vous avez un message à adresser à tous ceux qui vous suivent ?
"Je remercie les amis et la famille, ainsi que toutes les personnes qui m'ont soutenue depuis le début de cette aventure car c'est grâce à eux si j'en suis là aujourd'hui. Merci".
Quelle émotion vous a envahi quand vous avez entendu Jean-Pierre Foucault prononcer votre nom, vendredi soir ?
"Très fière. Fière de ma famille car pour moi ce titre leur revient. Famille et amis m'encouragent depuis le début de l'aventure, et cela s'est notamment vu à la soirée de gala. Et puis là, l'élection, c'est une grande fierté pour eux".
Vous rentrez dans l'histoire des Miss Tahiti, c'est impressionnant ?
"Je crois que je ne me rends pas encore compte, je n'ai pas encore eu le temps de voir le replay de l'élection. J'ai vu les images de la soirée pour la première fois samedi soir lors de ma participation au journal télévisé. Avec toutes les sollicitations, je crois que je vais m'en rendre compte dans les jours à venir. Mais je suis très heureuse de faire partie de cette nouvelle famille qui est Miss Tahiti".
Il y a déjà eu des changements dans votre vie, 48 heures après le sacre ?
"Je me suis réveillée, et déjà il fallait aller chez Robert Wan, chose que je n'avais jamais faite auparavant, et puis il y a eu le shooting photo pour le magazine Hine. L'après-midi a été très chargée pour finir en soirée sur le plateau du JT. Une journée de miss !"
Vous aviez l'air très émue à l'écran ?
"Oui, c'est la première fois que je voyais les images à la télé. D'habitude, les années précédentes, tu es contente pour la miss, mais là, de se voir soi… J'étais très contente".
Miss France déjà dans la tête
Quel est votre programme pour ces prochains jours ?
"Aujourd'hui (hier, Ndlr) nous avons une journée avec toutes les candidates. On va pouvoir se retrouver et parler entre nous de l'élection. Ensuite je pense qu'il y aura la préparation à Miss France, le sport, la culture générale… On regarde devant, c'est déjà dans les têtes. Il faudra vraiment s'y consacrer pour essayer de faire comme nos cinq dernières Miss Tahiti qui ont pu aller très loin. J'espère avoir un aussi beau parcours et faire aussi bien qu'elles. Cela va être dur mais bon… Pour l'instant je suis la première candidate à Miss France, j'attends de voir les autres élections régionales pour voir qui seront mes futures copines !".
Comment entendez-vous mettre à profit votre année de Miss Tahiti ?
"Je pense qu'il faudra rester simple, humble et disponible pour représenter au mieux le fenua. Comme mon papa m'a dit : "Essaie de te rendre compte que tu es Miss Tahiti à la fin de ton règne, comme ça tu resteras toi. Je vais essayer de rester moi-même".
Vous avez bénéficié d'un gros soutien du public pendant l'élection ?
"Oui ! Ma sœur, en prenant les places pour la soirée de l'élection, a anticipé pour que je sois soutenue chaque fois que j'allais d'un côté à l'autre de la scène. Il y avait la famille du côté droit, et du côté gauche tous les amis. Je me suis sentie soutenue des deux côtés de la scène et franchement c'est la force pour réussir".
Vous vous attendiez à être élue ?
"Non. Elles étaient toutes belles cette année, toutes minces, même moi j'ai dû faire du sport. Je suis contente, je me suis donné tous les moyens pour y arriver, objectif atteint !"
Vous avez déclaré que vous n'aimiez pas trop vous exposer en public, et vous êtes Miss Tahiti aujourd'hui…
"Oui (rires) ! Je n'ai jamais défilé auparavant, jamais fait d'événements comme cela, c'était la première fois. J'étais déjà fière de moi lors du gala parce que j'ai pu assurer, on va dire, et là l'élection… C'est une fierté. Je pense que je vais apprendre avec les représentations et que je serai plus à l'aise d'ici là".
Avoir eu Jean-Pierre Foucault à la présentation, c'était une bonne préparation pour Miss France ?
"Oui, c'était un honneur. Et j'ai aimé lui répondre : "C'est mon dernier mot, Jean-Pierre", quand il m'a posé la question des quatre finalistes".
Vous avez un message à adresser à tous ceux qui vous suivent ?
"Je remercie les amis et la famille, ainsi que toutes les personnes qui m'ont soutenue depuis le début de cette aventure car c'est grâce à eux si j'en suis là aujourd'hui. Merci".
La famille et les amis, ses repères
Turouru Temorere, 21 ans, est actuellement en licence de comptabilité-gestion au lycée Aorai. La jeune et jolie jeune femme espère d'ailleurs devenir expert-comptable. Mais pour l'instant, elle est Miss Tahiti. Entourée par sa famille, qu'elle ne manque jamais d'associer à son aventure, Turouru compte d'ailleurs bien emmener tout le monde en métropole pour la porter à l'élection de Miss France : "On a quatre mois pour faire des économies !", lance la fille du champion de motocross, Jean-Jacques Temorere.
En attendant, et si son planning lui en laisse le temps, Turouru pourra peut-être encore trouver quelques moments pour des sorties rando et surf qu'elle affectionne, "entre copains". "Je faisais du surf à Papara avec Vaimiti, Miss Tahiti 2015, c'est une copine. C'est elle qui venait me chercher avec sa voiture de miss. Là on va pouvoir échanger les rôles !", confie la belle dans un sourire.
En attendant, et si son planning lui en laisse le temps, Turouru pourra peut-être encore trouver quelques moments pour des sorties rando et surf qu'elle affectionne, "entre copains". "Je faisais du surf à Papara avec Vaimiti, Miss Tahiti 2015, c'est une copine. C'est elle qui venait me chercher avec sa voiture de miss. Là on va pouvoir échanger les rôles !", confie la belle dans un sourire.