Samedi 1 juin 2013. Encore une session d’anthologie samedi dernier à Teahupo’o. Comme il y a deux semaines, la vague du bout de la route à encore fait parler d’elle et inonde actuellement les médias internet du monde entier.
On attendait du gros avec beaucoup de vent, au final cela a été un peu moins gros que prévu mais avec moins de vent qu’annoncé et avec un bon ensoleillement, les surfeurs comme les médias ont donc pu se montrer satisfaits.
Une photographe brésilienne a été blessée en chutant (voir article Camilla Neves), pas trop de bobos du côté des surfeurs même si ils ont été nombreux a chuter de manière spectaculaire.
Laird Hamilton n’était pas là. Les locaux Manoa Drollet et Raimana Van Bastolaer ont su être à la hauteur de leur talent en surfant les ‘bombes’ de la journée.
Chez les étrangers on a pu admirer Mark Healey, Garett Mc Namara ou encore Keali’i Mamala qui a pris une des vagues les plus impressionnantes de la journée.
Raimana Van Bastolaer au micro de Tahiti Infos :
« J’ai pris 4 vagues dans la journée avec deux heures d’attente entre chaque vague. Avec Baptiste Gossein, mon partenaire, cela se passe très bien, depuis son accident on a toujours collaboré. Je donne mes directives sur comment on va faire, ensuite il conduit le jet, me fait prendre de la vitesse et c’est à moi de lâcher la corde quand j’ai envie de lâcher la corde. »
« J’ai pris ma vague, j’essaie de prendre le tube, je prend de la vitesse et je vois cette voile vers le bol d’ouest. Je change légèrement de direction en me disant ‘c’est bon cela va passer’ mais un coup de vent a poussé la voile la replaçant sur ma trajectoire. »
« Du coup je suis rentré dedans et me suis un peu blessé. C’était une journée pour tout le monde, je sais que Tamatoa Gillot est un très bon kiteur. Après avoir failli en 2005 me prendre un jet ski sur la tête, là c’est une voile ! C’est vrai que dimanche était plus favorable pour le kite que samedi. »
« J’ai eu quelques traces des fils sur la gorge, ça va je ne vais pas polémiquer dessus, il est bon, on est bon et en plus c’était gros les vagues. Après ma chute je ne pensais à rien d’autre qu’à retourner au pic. »
« Après c’est sur quand il y a des surfeurs, des kites, funboard etc cela reste tendu à l’eau. Moi de mon côté je n’ai pas à me plaindre, j’ai mes vagues. C’est plus les étrangers entre eux. »
« Quand je bouge, personne ne bouge, le seul qui bouge c’est Manoa, c’est lui ou moi. Soit je passe devant lui, soit c’est l’inverse. S’il a eu une grosse avant, c’est à mon tour et vice versa. C’est entre lui et moi. On se crie un peu dessus mais ce n’est rien pour moi, c’est comme mon petit frère. »
« Je suis très content, je me fais plaisir, je vis de ça, je suis payé pour, pour exposer mon surf, exposer la vague de Teahupo’o, la commune de Teahupo’o, pour exposer Tahiti et la Polynésie sur internet. Je remercie d’ailleurs mes sponsors Air Tahiti Nui, Ford (Tahiti Automobile), Quicksilver, Nixon, Red Bull et RaimanaWorld.
SB
On attendait du gros avec beaucoup de vent, au final cela a été un peu moins gros que prévu mais avec moins de vent qu’annoncé et avec un bon ensoleillement, les surfeurs comme les médias ont donc pu se montrer satisfaits.
Une photographe brésilienne a été blessée en chutant (voir article Camilla Neves), pas trop de bobos du côté des surfeurs même si ils ont été nombreux a chuter de manière spectaculaire.
Laird Hamilton n’était pas là. Les locaux Manoa Drollet et Raimana Van Bastolaer ont su être à la hauteur de leur talent en surfant les ‘bombes’ de la journée.
Chez les étrangers on a pu admirer Mark Healey, Garett Mc Namara ou encore Keali’i Mamala qui a pris une des vagues les plus impressionnantes de la journée.
Raimana Van Bastolaer au micro de Tahiti Infos :
« J’ai pris 4 vagues dans la journée avec deux heures d’attente entre chaque vague. Avec Baptiste Gossein, mon partenaire, cela se passe très bien, depuis son accident on a toujours collaboré. Je donne mes directives sur comment on va faire, ensuite il conduit le jet, me fait prendre de la vitesse et c’est à moi de lâcher la corde quand j’ai envie de lâcher la corde. »
« J’ai pris ma vague, j’essaie de prendre le tube, je prend de la vitesse et je vois cette voile vers le bol d’ouest. Je change légèrement de direction en me disant ‘c’est bon cela va passer’ mais un coup de vent a poussé la voile la replaçant sur ma trajectoire. »
« Du coup je suis rentré dedans et me suis un peu blessé. C’était une journée pour tout le monde, je sais que Tamatoa Gillot est un très bon kiteur. Après avoir failli en 2005 me prendre un jet ski sur la tête, là c’est une voile ! C’est vrai que dimanche était plus favorable pour le kite que samedi. »
« J’ai eu quelques traces des fils sur la gorge, ça va je ne vais pas polémiquer dessus, il est bon, on est bon et en plus c’était gros les vagues. Après ma chute je ne pensais à rien d’autre qu’à retourner au pic. »
« Après c’est sur quand il y a des surfeurs, des kites, funboard etc cela reste tendu à l’eau. Moi de mon côté je n’ai pas à me plaindre, j’ai mes vagues. C’est plus les étrangers entre eux. »
« Quand je bouge, personne ne bouge, le seul qui bouge c’est Manoa, c’est lui ou moi. Soit je passe devant lui, soit c’est l’inverse. S’il a eu une grosse avant, c’est à mon tour et vice versa. C’est entre lui et moi. On se crie un peu dessus mais ce n’est rien pour moi, c’est comme mon petit frère. »
« Je suis très content, je me fais plaisir, je vis de ça, je suis payé pour, pour exposer mon surf, exposer la vague de Teahupo’o, la commune de Teahupo’o, pour exposer Tahiti et la Polynésie sur internet. Je remercie d’ailleurs mes sponsors Air Tahiti Nui, Ford (Tahiti Automobile), Quicksilver, Nixon, Red Bull et RaimanaWorld.
SB