PAPEETE, le 6 janvier 2015. Le président Edouard Fritch et le ministre du Tourisme, Jean-Christophe Bouissou, ont reçu, mardi après-midi, le cinéaste Jacques Dorfmann ("Le Palanquin des larmes" (1987), "Agaguk" (1992) et "Vercingétorix" (2001)) qui souhaite adapter à l’écran l’aventure de Tavae.
Cette rencontre fait suite à l’entretien qu’avait accordé Edouard Fritch début décembre à Paris.
Le cinéaste s'est dit très impressionné par le récit de la dérive solitaire du pêcheur Tavae Raioaoa qui, parti de Tahiti, avait dérivé pendant 118 jours, à la suite d’une panne de moteur, pour finalement s’échouer à Aitutaki, aux îles Cook. Sa mésaventure avait été retracée dans le livre « Si loin du monde ». "Ce projet, qui constituera une très belle promotion pour la Polynésie française, devrait se concrétiser dans le courant de cette année", assure la présidence dans un communiqué. "Le président a de nouveau confirmé le soutien des autorités polynésiennes à ce projet." Ce projet est aujourd’hui assez ancien et avait fait l’objet d’une subvention de la part de la Polynésie française inscrite au budget 2006. Il n’a toutefois jamais pu se réaliser jusqu’alors pour des raisons administratives.
Cette rencontre fait suite à l’entretien qu’avait accordé Edouard Fritch début décembre à Paris.
Le cinéaste s'est dit très impressionné par le récit de la dérive solitaire du pêcheur Tavae Raioaoa qui, parti de Tahiti, avait dérivé pendant 118 jours, à la suite d’une panne de moteur, pour finalement s’échouer à Aitutaki, aux îles Cook. Sa mésaventure avait été retracée dans le livre « Si loin du monde ». "Ce projet, qui constituera une très belle promotion pour la Polynésie française, devrait se concrétiser dans le courant de cette année", assure la présidence dans un communiqué. "Le président a de nouveau confirmé le soutien des autorités polynésiennes à ce projet." Ce projet est aujourd’hui assez ancien et avait fait l’objet d’une subvention de la part de la Polynésie française inscrite au budget 2006. Il n’a toutefois jamais pu se réaliser jusqu’alors pour des raisons administratives.