PAPEETE, le 15 juillet 2016 - Vendredi 15 juillet, la ville de Papeete, le président du Pays et le président de l'Assemblée de Polynésie Française ont rendu hommage aux victimes de l'attentat de Nice survenu le soir du 14 juillet.
C'est une cérémonie d'hommage aux victimes de l'attentat de Nice empreinte d'émotion qui s'est tenue vendredi dernier sur la promenade de Nice. Le président du Pays s'est exprimé face à l'horreur de l'attentat de Nice "nous étions à fêter le 14 juillet, à mettre en exergue notre fierté d'être français, républicains, conscients des devoirs que nous avons, à fêter la liberté, l'égalité, la fraternité. Nous avons été touchés par cet événement que nous condamnons tous."
C'est une cérémonie d'hommage aux victimes de l'attentat de Nice empreinte d'émotion qui s'est tenue vendredi dernier sur la promenade de Nice. Le président du Pays s'est exprimé face à l'horreur de l'attentat de Nice "nous étions à fêter le 14 juillet, à mettre en exergue notre fierté d'être français, républicains, conscients des devoirs que nous avons, à fêter la liberté, l'égalité, la fraternité. Nous avons été touchés par cet événement que nous condamnons tous."
Le tavana Michel Buillard n'a pas pu cacher son émotion et a dû interrompre son discours à plusieurs reprises pris à la gorge par l'émotion. "Nous sommes jumelés avec la ville de Nice, j'ai pensé qu'il était nécessaire pour nous d'apporter notre témoignage dans un registre de condoléance. La ville de Papeete souffre comme la ville de Nice. C'est dur pour moi parce que je connais bien la ville de Nice, je suis le maire de la capitale et je dois surmonter également cette épreuve." Un registre sera mis à disposition des citoyens pour les Polynésiens qui voudraient laisser une trace écrite de leur solidarité.
Le Père Christophe a pris la parole et dit une prière en hommage aux victimes et à leurs familles. "La réponse à la violence est l'amour" a-t-il souhaiter rappelé.
Un grand nombre de citoyens, mais aussi de touristes sont venus se recueillir, lors des différentes interventions mais surtout au moment où l'hymne de la ville de Nice à retenti dans Papeete les larmes coulaient sur les joues et certaines épaules tressautaient sous l'effet des sanglots.
Un homme, lunettes noires et drapeau français sur les épaules, le souffle court, la gorge serrée ne peut retenir ses larmes "c'est trop dur" parvient-il à souffler.
Bernadette et les membres de sa famille sont venus à Tahiti en vacances, ils sont originaires du Var " nous ne savons pas s'il y a des gens qu'on connaît, c'est vraiment l'horreur", Vaiana de son côté ne connaît pas ni Nice, ni personne qui y vit mais ça ne l'empêche pas de s'identifier "je suis une mère, des enfants sont morts, je ne peux que m'horrifier de ces actes terribles". Un père en larmes explique à son fils de quatre ans pourquoi il pleure.
L'émotion est palpable et emplit l'espace d' une tristesse profonde.
A la suite de l'attaque un deuil national de trois jours a été décrété par le Président de la République, en Polynésie, il s'achèvera le 18 après une minute de silence à 12h00 dans toutes les institutions représentant l'Etat, soit le Haut-commissariat, le palais de Justice et l'armée entre autre.
Le Père Christophe a pris la parole et dit une prière en hommage aux victimes et à leurs familles. "La réponse à la violence est l'amour" a-t-il souhaiter rappelé.
Un grand nombre de citoyens, mais aussi de touristes sont venus se recueillir, lors des différentes interventions mais surtout au moment où l'hymne de la ville de Nice à retenti dans Papeete les larmes coulaient sur les joues et certaines épaules tressautaient sous l'effet des sanglots.
Un homme, lunettes noires et drapeau français sur les épaules, le souffle court, la gorge serrée ne peut retenir ses larmes "c'est trop dur" parvient-il à souffler.
Bernadette et les membres de sa famille sont venus à Tahiti en vacances, ils sont originaires du Var " nous ne savons pas s'il y a des gens qu'on connaît, c'est vraiment l'horreur", Vaiana de son côté ne connaît pas ni Nice, ni personne qui y vit mais ça ne l'empêche pas de s'identifier "je suis une mère, des enfants sont morts, je ne peux que m'horrifier de ces actes terribles". Un père en larmes explique à son fils de quatre ans pourquoi il pleure.
L'émotion est palpable et emplit l'espace d' une tristesse profonde.
A la suite de l'attaque un deuil national de trois jours a été décrété par le Président de la République, en Polynésie, il s'achèvera le 18 après une minute de silence à 12h00 dans toutes les institutions représentant l'Etat, soit le Haut-commissariat, le palais de Justice et l'armée entre autre.