PAPEETE, le 5 décembre 2016 - Ce mardi, un homme de 36 ans a été jugé pour ivresses sur la voie publique, recel d'objets volés et usage de stupéfiants.
A 26 ans, le bonhomme enregistre une dizaine de condamnations à son actif. Ce mardi, il a été cité à comparaître devant le tribunal correctionnel de Papeete pour des faits qui remontent à septembre dernier. Un soir, L'homme a été retrouvé endormi sur le rond-point de la mairie de Punaauia, au volant d'un scooter… volé quelques jours plus tôt. Pour ne rien arranger, l'individu avait bien bu. Les enquêteurs découvrent aussi sur lui plusieurs grammes de résine de cannabis et 30 000 francs en espèces.
"Vous avez expliqué aux enquêteurs revendre du cannabis pour des raisons économiques", a indiqué le président du tribunal. Dans ses déclarations, le prévenu a affirmé qu'il ne savait pas que le scooter avait été volé. Une connaissance lui aurait donné quelques jours plus tôt car il ne marchait pas. Il l'aurait alors réparé pour rouler avec. Placé en détention pour d'autres faits, le jeune homme était libérable en janvier 2018.
Le tribunal l'a reconnu coupable des faits de recel d'objets volés, d'ivresse publique et manifeste et d'usage de stupéfiants. Il a été condamné à six mois de prison et à une amende.
A 26 ans, le bonhomme enregistre une dizaine de condamnations à son actif. Ce mardi, il a été cité à comparaître devant le tribunal correctionnel de Papeete pour des faits qui remontent à septembre dernier. Un soir, L'homme a été retrouvé endormi sur le rond-point de la mairie de Punaauia, au volant d'un scooter… volé quelques jours plus tôt. Pour ne rien arranger, l'individu avait bien bu. Les enquêteurs découvrent aussi sur lui plusieurs grammes de résine de cannabis et 30 000 francs en espèces.
"Vous avez expliqué aux enquêteurs revendre du cannabis pour des raisons économiques", a indiqué le président du tribunal. Dans ses déclarations, le prévenu a affirmé qu'il ne savait pas que le scooter avait été volé. Une connaissance lui aurait donné quelques jours plus tôt car il ne marchait pas. Il l'aurait alors réparé pour rouler avec. Placé en détention pour d'autres faits, le jeune homme était libérable en janvier 2018.
Le tribunal l'a reconnu coupable des faits de recel d'objets volés, d'ivresse publique et manifeste et d'usage de stupéfiants. Il a été condamné à six mois de prison et à une amende.