Apia (Samoa), le 19 mai 2015 – Samoa accueille cette semaine un atelier régional, organisé par le Secrétariat général de la Communauté du Pacifique (CPS), portant sur la formulation des politiques et des textes législatifs relatifs aux minéraux des grands fonds marins.
Financé par l’Union européenne, cet événement rassemble 60 représentants officiels de 13 pays océaniens, désireux de mieux comprendre le cadre juridique international s’appliquant aux minéraux des grands fonds marins et d’améliorer leurs compétences dans les domaines de la formulation des stratégies et de la rédaction législative.
Alors que les minéraux des fonds marins suscitent un intérêt croissant dans le monde, et en particulier en Océanie, il est fondamental de mettre en place les politiques et les législations propres à garantir une valorisation de ces ressources qui soit respectueuse des normes internationales et des meilleures pratiques environnementales.
Trois types de ressources sont au centre des convoitises : les gisements de sulfures massifs (à forte concentration de métaux tels que le cuivre, l'or, l'argent, le zinc et le plomb), les nodules de manganèse et les encroûtements riches en cobalt.
Ces gisements étant présents dans les zones économiques exclusives (ZEE) de nombreux pays océaniens, ils y sont considérés comme un facteur de développement économique et une source de revenus potentiels.
« C’est un privilège pour le Samoa d’accueillir cet atelier régional, qui a pour but d’améliorer la qualité des stratégies et des législations relatives aux minéraux des grands fonds marins. Nous souhaitons remercier la CPS et l’Union européenne de leur soutien sans faille dans ce nouveau domaine », a déclaré Loretta Teueli, ministre adjointe de la Justice du Samoa.
Comme l’explique Akuila Tawake, responsable à la CPS du Projet Ressources minérales des grands fonds marins, rares sont les pays à avoir pris les mesures juridiques leur permettant de se doter des dispositifs réglementaires requis, et de garantir ainsi l’encadrement et le contrôle de l’exploitation de ces ressources. L’Océanie montre la voie dans ce domaine.
« Cet atelier est en parfaite adéquation avec l’un des objectifs stratégiques du Projet, qui est de préparer les pays océaniens désireux de se lancer dans l’exploitation des minéraux des grands fonds marins à réglementer et à gérer efficacement les activités menées sous leur responsabilité », ajoute M. Tawake.
Cet atelier au programme très fourni se déroule à Apia du 18 au 22 mai, dans le cadre du Projet Ressources minérales des grands fonds marins http://gsd.spc.int/dsm/ qui bénéficie aux 13 pays membres de la Communauté du Pacifique appartenant au groupe des pays ACP (États d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique).
Financé par l’Union européenne, cet événement rassemble 60 représentants officiels de 13 pays océaniens, désireux de mieux comprendre le cadre juridique international s’appliquant aux minéraux des grands fonds marins et d’améliorer leurs compétences dans les domaines de la formulation des stratégies et de la rédaction législative.
Alors que les minéraux des fonds marins suscitent un intérêt croissant dans le monde, et en particulier en Océanie, il est fondamental de mettre en place les politiques et les législations propres à garantir une valorisation de ces ressources qui soit respectueuse des normes internationales et des meilleures pratiques environnementales.
Trois types de ressources sont au centre des convoitises : les gisements de sulfures massifs (à forte concentration de métaux tels que le cuivre, l'or, l'argent, le zinc et le plomb), les nodules de manganèse et les encroûtements riches en cobalt.
Ces gisements étant présents dans les zones économiques exclusives (ZEE) de nombreux pays océaniens, ils y sont considérés comme un facteur de développement économique et une source de revenus potentiels.
« C’est un privilège pour le Samoa d’accueillir cet atelier régional, qui a pour but d’améliorer la qualité des stratégies et des législations relatives aux minéraux des grands fonds marins. Nous souhaitons remercier la CPS et l’Union européenne de leur soutien sans faille dans ce nouveau domaine », a déclaré Loretta Teueli, ministre adjointe de la Justice du Samoa.
Comme l’explique Akuila Tawake, responsable à la CPS du Projet Ressources minérales des grands fonds marins, rares sont les pays à avoir pris les mesures juridiques leur permettant de se doter des dispositifs réglementaires requis, et de garantir ainsi l’encadrement et le contrôle de l’exploitation de ces ressources. L’Océanie montre la voie dans ce domaine.
« Cet atelier est en parfaite adéquation avec l’un des objectifs stratégiques du Projet, qui est de préparer les pays océaniens désireux de se lancer dans l’exploitation des minéraux des grands fonds marins à réglementer et à gérer efficacement les activités menées sous leur responsabilité », ajoute M. Tawake.
Cet atelier au programme très fourni se déroule à Apia du 18 au 22 mai, dans le cadre du Projet Ressources minérales des grands fonds marins http://gsd.spc.int/dsm/ qui bénéficie aux 13 pays membres de la Communauté du Pacifique appartenant au groupe des pays ACP (États d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique).