PAPEETE, le 25 avril 2017 -Mardi matin, Ronald Blaise a été élu président du conseil d'administration de la Caisse de Prévoyance Sociale.
Qu'est-ce qui vous motive à prendre ce rôle de président de la CPS ?
"Tout d'abord, j'ai été élu à l'unanimité. Je crois que c'est unique dans les annales de la CPS. Ensuite, je crois qu'aujourd'hui, étant donné les problèmes que la CPS rencontre, problèmes divers et variés, mais bien réels, il était important de constituer une équipe solide et de prendre à bras le corps tout ce qui pourrait nous sortir de cette ornière qui s'avère très difficile. Je crois que nous allons avoir une année un peu difficile."
Est-ce que vous serez monsieur PSG 2 ?
"Vous savez, le président de la CPS ne décide pas seul. Ce sont souvent des décisions collégiales. Dans le conseil d'administration, il y a des membres du gouvernement, des représentants des travailleurs, des représentants du patronat. Il est important que nous soyons tous solidaires et nous n'en sommes encore qu'aux balbutiements de nos réunions. Il y en a eu beaucoup l'année dernière. Pour l'instant, nous n'avons pas encore trouvé de terrain d'entente. Je crois qu'il est important que nous utilisions les semaines et les mois à venir, afin de trouver une solution pérenne qui satisfera tout le
monde."
Votre prédécesseur indique que, finalement, le pouvoir du président de la CPS est quasiment nul, est-ce vrai selon vous ?
"C'est un vieux débat. Je me répète, mais je dis que les décisions sont prises de façon collégiale. Nous travaillons très étroitement avec le gouvernement et avec les partenaires
sociaux."
Quelle sera votre priorité ?
"La priorité c'est la protection sociale généralisée, la PSG. C'est clair, car c'est le devenir de la CPS. Ce sera le principal débat au sein de cet hémicycle."
Parlez-nous de vous. Qui êtes-vous ?
"Cela fait 25 ans que je suis en Polynésie française. Je suis actuellement directeur général de la Tahitienne de Secteur Public. Je suis également membre du Syndicat polynésien des entreprises et prestataires de services rattachés à la Confédération généralesdes petites et moyennes entreprises."
Vous étiez le seul candidat ?
"Pour la présidence du conseil administratif oui. Nous, la CGPME, avions un accord avec le Medef et j'ai présenté ma candidature qui a été retenue par l'ensemble des représentants."
Qu'est-ce qui vous motive à prendre ce rôle de président de la CPS ?
"Tout d'abord, j'ai été élu à l'unanimité. Je crois que c'est unique dans les annales de la CPS. Ensuite, je crois qu'aujourd'hui, étant donné les problèmes que la CPS rencontre, problèmes divers et variés, mais bien réels, il était important de constituer une équipe solide et de prendre à bras le corps tout ce qui pourrait nous sortir de cette ornière qui s'avère très difficile. Je crois que nous allons avoir une année un peu difficile."
Est-ce que vous serez monsieur PSG 2 ?
"Vous savez, le président de la CPS ne décide pas seul. Ce sont souvent des décisions collégiales. Dans le conseil d'administration, il y a des membres du gouvernement, des représentants des travailleurs, des représentants du patronat. Il est important que nous soyons tous solidaires et nous n'en sommes encore qu'aux balbutiements de nos réunions. Il y en a eu beaucoup l'année dernière. Pour l'instant, nous n'avons pas encore trouvé de terrain d'entente. Je crois qu'il est important que nous utilisions les semaines et les mois à venir, afin de trouver une solution pérenne qui satisfera tout le
monde."
Votre prédécesseur indique que, finalement, le pouvoir du président de la CPS est quasiment nul, est-ce vrai selon vous ?
"C'est un vieux débat. Je me répète, mais je dis que les décisions sont prises de façon collégiale. Nous travaillons très étroitement avec le gouvernement et avec les partenaires
sociaux."
Quelle sera votre priorité ?
"La priorité c'est la protection sociale généralisée, la PSG. C'est clair, car c'est le devenir de la CPS. Ce sera le principal débat au sein de cet hémicycle."
Parlez-nous de vous. Qui êtes-vous ?
"Cela fait 25 ans que je suis en Polynésie française. Je suis actuellement directeur général de la Tahitienne de Secteur Public. Je suis également membre du Syndicat polynésien des entreprises et prestataires de services rattachés à la Confédération généralesdes petites et moyennes entreprises."
Vous étiez le seul candidat ?
"Pour la présidence du conseil administratif oui. Nous, la CGPME, avions un accord avec le Medef et j'ai présenté ma candidature qui a été retenue par l'ensemble des représentants."