PAPEETE, le 15 février 2016. Sept préavis de grève ont été déposés dans le groupe auquel appartient le journal La Dépêche de Tahiti. La grève sera effective jeudi matin si aucun accord n'est trouvé d'ici là.
Un préavis de grève a été déposé par les cinq centrales syndicales A Ti'a i Mua, CSIP, CSTP-FO, Otahi et O Oe to oe rima, en fin de semaine dernière dans sept sociétés du groupe, auquel appartient notamment le journal La Dépêche de Tahiti. Si les négociations n'aboutissent pas la grève sera effective jeudi matin. Cyril Le Gayic, directeur général des services de la CSIP, précisait ce lundi qu'il y a des revendications communes, notamment le rétablissement de l'unité économique et sociale La Dépêche de Tahiti et le paiement des dotations au comité d'entreprise et d'autres spécifiques selon les sociétés. Pour les journalistes, il est notamment demandé le maintien "des acquis, suite à l'accord d'entreprise de 2003. Sont également dénoncées "les pressions et les intimidations lors de rencontres individuelles, informelles et isolées", souligne Cyril Le Gayic.
La direction du quotidien de la Dépêche de Tahiti a répondu dans un communiqué envoyé aux médias à ce préavis de grève. Il "porte essentiellement sur le maintien d’avantages acquis à une époque où l’entreprise évoluait dans un environnement économique favorable, très différent d’aujourd’hui, ainsi que sur l’inamovibilité de certaines fonctions ou postes. D’autres points sont cités, qui ne justifient en rien un préavis de grève", indique ce communiqué. La direction se dit ouverte aux discussions en précisant qu'elle a "toujours privilégié le dialogue social et la transparence économique et financière. Ce qui a permis jusqu’à ce jour, avec l’assentiment du personnel, de faire évoluer l’entreprise en contenant le niveau des charges à celui des recettes".
La direction précise ensuite qu'un "plan de sauvegarde et de développement pour 2016 permettant, sans licenciement, la poursuite de l’activité de l’entreprise, a été proposé au comité d’entreprise le 8 février 2016. Il a été retenu sans réserve. Il a été répondu, ensuite, aux différentes interrogations en CHSCT, réuni le jeudi suivant".
Un préavis de grève a été déposé par les cinq centrales syndicales A Ti'a i Mua, CSIP, CSTP-FO, Otahi et O Oe to oe rima, en fin de semaine dernière dans sept sociétés du groupe, auquel appartient notamment le journal La Dépêche de Tahiti. Si les négociations n'aboutissent pas la grève sera effective jeudi matin. Cyril Le Gayic, directeur général des services de la CSIP, précisait ce lundi qu'il y a des revendications communes, notamment le rétablissement de l'unité économique et sociale La Dépêche de Tahiti et le paiement des dotations au comité d'entreprise et d'autres spécifiques selon les sociétés. Pour les journalistes, il est notamment demandé le maintien "des acquis, suite à l'accord d'entreprise de 2003. Sont également dénoncées "les pressions et les intimidations lors de rencontres individuelles, informelles et isolées", souligne Cyril Le Gayic.
La direction du quotidien de la Dépêche de Tahiti a répondu dans un communiqué envoyé aux médias à ce préavis de grève. Il "porte essentiellement sur le maintien d’avantages acquis à une époque où l’entreprise évoluait dans un environnement économique favorable, très différent d’aujourd’hui, ainsi que sur l’inamovibilité de certaines fonctions ou postes. D’autres points sont cités, qui ne justifient en rien un préavis de grève", indique ce communiqué. La direction se dit ouverte aux discussions en précisant qu'elle a "toujours privilégié le dialogue social et la transparence économique et financière. Ce qui a permis jusqu’à ce jour, avec l’assentiment du personnel, de faire évoluer l’entreprise en contenant le niveau des charges à celui des recettes".
La direction précise ensuite qu'un "plan de sauvegarde et de développement pour 2016 permettant, sans licenciement, la poursuite de l’activité de l’entreprise, a été proposé au comité d’entreprise le 8 février 2016. Il a été retenu sans réserve. Il a été répondu, ensuite, aux différentes interrogations en CHSCT, réuni le jeudi suivant".