PAPEETE, 22 octobre 2015 – Le Président Edouard Fritch a réaffirmé jeudi son soutien au candidat Putai Taae. Dimanche dernier, à l’issue du premier tour, le représentant Tapura Huiraatira était arrivé en deuxième position à seulement trois voix de Béatrice Le Gayic, la candidate soutenue par le Tahoera’a Huiraatira.
Quelle est votre position à quelques jours du second tour des municipales partielles de Papara ?
Edouard Fritch : Elle n’a pas évolué. Depuis l’issue du premier tour nous soutenons Putai Taae. Moi-même, les membres de l’assemblée et certains membres du gouvernement nous sommes affichés dès le premier tour en soutien à Putai. J’ai participé cette semaine à quelques réunions publiques dans ce sens, à Papara.
Qu’en est-il de Christelle Lehartel, la maire sortante, qui avait notamment soutenu vos candidats aux sénatoriales ?
Edouard Fritch : Je sais bien. C’est la raison pour laquelle je ne m’étais pas impliqué officiellement avant le premier tour. J’ai tenté de faire en sorte qu’ils s’unissent dans une liste commune avec Putai. Malheureusement, ça a été un échec : ils ont décidé de partir chacun de son côté. Depuis dimanche dernier, effectivement j’affirme mon soutien en faveur de Putai. Il me l’a demandé expressément. Toute l’équipe de notre majorité à l’assemblée en fait de même.
Ce scrutin municipal partiel est-il si important pour vous ?
Edouard Fritch : Il n’a pas autant d’importance que certains vaudraient qu’on lui reconnaisse. On entend parler de bataille entre pro-Fritch et pro-Flosse : je ne vous cache pas que c’est, à mes yeux, donner une dimension à cette élection dont elle est dépourvue. Si pour certains Papara est attractive parce que l’on a envie au travers de cette commune de s’affirmer, je ne cherche personnellement pas cela. Ce dont j’ai envie, c’est de travailler avec les maires. Vous savez j’ai beaucoup travaillé avec Christelle Lehartel parce que j’estime que Papara, comme Faa’a, comme Pirae… sont des communes qui ont besoin d’importants moyens financiers pour réaliser leurs investissements. Et je les considère à un même niveau. Je sais aussi que Christelle Lehartel nous a soutenu aux sénatoriales parce que nous avons bien travaillé ensemble. J’ai beaucoup de reconnaissance pour ce soutien. Aujourd’hui, une nouvelle page s’ouvre. Il nous faut avancer.
Quelle est votre position à quelques jours du second tour des municipales partielles de Papara ?
Edouard Fritch : Elle n’a pas évolué. Depuis l’issue du premier tour nous soutenons Putai Taae. Moi-même, les membres de l’assemblée et certains membres du gouvernement nous sommes affichés dès le premier tour en soutien à Putai. J’ai participé cette semaine à quelques réunions publiques dans ce sens, à Papara.
Qu’en est-il de Christelle Lehartel, la maire sortante, qui avait notamment soutenu vos candidats aux sénatoriales ?
Edouard Fritch : Je sais bien. C’est la raison pour laquelle je ne m’étais pas impliqué officiellement avant le premier tour. J’ai tenté de faire en sorte qu’ils s’unissent dans une liste commune avec Putai. Malheureusement, ça a été un échec : ils ont décidé de partir chacun de son côté. Depuis dimanche dernier, effectivement j’affirme mon soutien en faveur de Putai. Il me l’a demandé expressément. Toute l’équipe de notre majorité à l’assemblée en fait de même.
Ce scrutin municipal partiel est-il si important pour vous ?
Edouard Fritch : Il n’a pas autant d’importance que certains vaudraient qu’on lui reconnaisse. On entend parler de bataille entre pro-Fritch et pro-Flosse : je ne vous cache pas que c’est, à mes yeux, donner une dimension à cette élection dont elle est dépourvue. Si pour certains Papara est attractive parce que l’on a envie au travers de cette commune de s’affirmer, je ne cherche personnellement pas cela. Ce dont j’ai envie, c’est de travailler avec les maires. Vous savez j’ai beaucoup travaillé avec Christelle Lehartel parce que j’estime que Papara, comme Faa’a, comme Pirae… sont des communes qui ont besoin d’importants moyens financiers pour réaliser leurs investissements. Et je les considère à un même niveau. Je sais aussi que Christelle Lehartel nous a soutenu aux sénatoriales parce que nous avons bien travaillé ensemble. J’ai beaucoup de reconnaissance pour ce soutien. Aujourd’hui, une nouvelle page s’ouvre. Il nous faut avancer.