PARIS, 30 août 2017 - Le président de l’Assemblée de la Polynésie française, Marcel Tuihani, a rencontré Madame Annick Girardin, la ministre des Outremers. Ensemble, ils ont pu faire un tour des dossiers d’actualités. Le président a pu évoquer avec la ministre ses préoccupations en ce qui concerne la sécurité et ses enjeux à venir. Une préoccupation que partage Madame Girardin qui a souhaité que cette question puisse être abordée lors des Assises de l’Outremer.
Le président Tuihani a surtout souhaité aborder plusieurs points plus spécifiques, dans la perspective des modifications qui doivent être apportées à la loi organique de 2004 portant statut d’Autonomie de la Polynésie française. Dans le cadre de ces modifications, le président a souhaité que puisse être introduite à l’article 102 une mention complémentaire concernant les attributions de l’Assemblée de la Polynésie, précisément en ce qui concerne l’évaluation des politiques publiques. L’Assemblée s’est récemment dotée d’une commission d’évaluation des politiques publiques, complétée d’un service administratif support, qui entreront en activité au courant du mois de septembre. Le président souhaite que cette attribution puisse être confortée et pérennisée dans la Loi organique.
Le président Tuihani a aussi abordé l’accompagnement dont pourrait bénéficier l’Assemblée de la Polynésie française dans le cadre de ses nouvelles missions d’évaluation. Lors de ses rencontres avec le Premier président de la Cour des comptes, Monsieur Didier Migaud, et avec le président de la Chambre territoriale des comptes, Monsieur Jean Lachkar, Marcel Tuihani avait émis le souhait que la CTC puisse accompagner le travail de l’Assemblée, notamment dans les évaluations des politiques publiques. Si les magistrats ont donné un accord de principe à cet accompagnement, il faut encore, pour que celui-ci soit possible, que le code des juridictions financières soit modifié, afin d’y introduire une disposition prévoyant spécifiquement que la CTC puisse être saisie par l’Assemblée de la Polynésie française.
Deux autres points ont aussi été abordés. L’un concerne le droit d’expression des Représentants afin de garantir l’expression de l’ensemble des groupes représentés à l’Assemblée. Le second concerne les critères de recrutement des agents de l’Assemblée afin que ceux-ci soient mieux adaptés aux évolutions des besoins de l’institution.
Sur tous ces points, la ministre des Outremers s’est montrée attentive et désireuse d’accompagner l’Assemblée de la Polynésie française dans l’exercice de ses prérogatives. La ministre des Outremers a également confirmé à Marcel Tuihani qu’elle envisageait un déplacement officiel en Polynésie française à la fin de l’année ou en début d’année prochaine.
Le président Tuihani a surtout souhaité aborder plusieurs points plus spécifiques, dans la perspective des modifications qui doivent être apportées à la loi organique de 2004 portant statut d’Autonomie de la Polynésie française. Dans le cadre de ces modifications, le président a souhaité que puisse être introduite à l’article 102 une mention complémentaire concernant les attributions de l’Assemblée de la Polynésie, précisément en ce qui concerne l’évaluation des politiques publiques. L’Assemblée s’est récemment dotée d’une commission d’évaluation des politiques publiques, complétée d’un service administratif support, qui entreront en activité au courant du mois de septembre. Le président souhaite que cette attribution puisse être confortée et pérennisée dans la Loi organique.
Le président Tuihani a aussi abordé l’accompagnement dont pourrait bénéficier l’Assemblée de la Polynésie française dans le cadre de ses nouvelles missions d’évaluation. Lors de ses rencontres avec le Premier président de la Cour des comptes, Monsieur Didier Migaud, et avec le président de la Chambre territoriale des comptes, Monsieur Jean Lachkar, Marcel Tuihani avait émis le souhait que la CTC puisse accompagner le travail de l’Assemblée, notamment dans les évaluations des politiques publiques. Si les magistrats ont donné un accord de principe à cet accompagnement, il faut encore, pour que celui-ci soit possible, que le code des juridictions financières soit modifié, afin d’y introduire une disposition prévoyant spécifiquement que la CTC puisse être saisie par l’Assemblée de la Polynésie française.
Deux autres points ont aussi été abordés. L’un concerne le droit d’expression des Représentants afin de garantir l’expression de l’ensemble des groupes représentés à l’Assemblée. Le second concerne les critères de recrutement des agents de l’Assemblée afin que ceux-ci soient mieux adaptés aux évolutions des besoins de l’institution.
Sur tous ces points, la ministre des Outremers s’est montrée attentive et désireuse d’accompagner l’Assemblée de la Polynésie française dans l’exercice de ses prérogatives. La ministre des Outremers a également confirmé à Marcel Tuihani qu’elle envisageait un déplacement officiel en Polynésie française à la fin de l’année ou en début d’année prochaine.