Quatre groupes d’aménageurs d’envergure internationale ont été choisis mercredi après-midi par le jury interministériel de sélection du projet Mahana Beach. Ils devront rendre au gouvernement polynésien un projet complet d’ici 14 semaines. Le compte-à-rebours est lancé.
Une réplique miniature de Waikiki face à Moorea : le Pays entend mobiliser entre 150 et 180 milliards Fcfp d’investissements privés, selon la dernière estimation de coût donnée par le président Gaston Flosse, pour la réalisation de ce que le chef de l’exécutif polynésien n’a pas hésité à qualifier de "premier vrai complexe touristique de Polynésie", lors de sa présentation début juillet dernier.
Sur la côte ouest de Tahiti ce projet embrasse 52,8 hectares et comprend plusieurs hôtels de luxe, des boutiques, des cinémas, un centre aquatique de loisirs, un golf de neuf trous et probablement aussi un casino. L’ensemble a été calibré par le Pays à 1 700 chambres d’hôtels et 200 condominiums.
Le gouvernement polynésien a fait voter la loi de Pays sur les partenariats Public-Privé début août dernier. Cet aménagement législatif crée dorénavant un cadre réglementaire pour permettre la réalisation de "grandes opérations d’aménagement" financées par des capitaux privés sur le domaine public. Le foncier étant confié par le Pays aux investisseurs privés au moyen de baux emphytéotiques.
C’est dans ce cadre que la collectivité polynésienne entend mobiliser le lourd investissement que suppose le Mahana Beach. Une somme que les investisseurs privés amortiraient en vendant des appartements et en exploitant les hôtels et autres commodités du complexe touristique.
Au Total, 52,8 hectares de terres domaniales sont mises à disposition, dont 32,3 en bord de mer, entre la pointe Tata’a de l’Intercontinental Tahiti et la marina Taina, incluant les zones Bel Air, Artisanat et Outumaoro plage.
Mercredi, quatre groupes d’aménageurs d’envergure internationale ont été choisis par un jury interministériel ad-hoc. Ils ont maintenant 14 semaines pour échafauder un projet de complexe en adéquation avec le cahier des charges que leur a remis le gouvernement.
Le lauréat de ce concours sera chargé de mener à bien ce vaste projet qui pourrait être achevé à l’horizon 2018-2020.
Une réplique miniature de Waikiki face à Moorea : le Pays entend mobiliser entre 150 et 180 milliards Fcfp d’investissements privés, selon la dernière estimation de coût donnée par le président Gaston Flosse, pour la réalisation de ce que le chef de l’exécutif polynésien n’a pas hésité à qualifier de "premier vrai complexe touristique de Polynésie", lors de sa présentation début juillet dernier.
Sur la côte ouest de Tahiti ce projet embrasse 52,8 hectares et comprend plusieurs hôtels de luxe, des boutiques, des cinémas, un centre aquatique de loisirs, un golf de neuf trous et probablement aussi un casino. L’ensemble a été calibré par le Pays à 1 700 chambres d’hôtels et 200 condominiums.
Le gouvernement polynésien a fait voter la loi de Pays sur les partenariats Public-Privé début août dernier. Cet aménagement législatif crée dorénavant un cadre réglementaire pour permettre la réalisation de "grandes opérations d’aménagement" financées par des capitaux privés sur le domaine public. Le foncier étant confié par le Pays aux investisseurs privés au moyen de baux emphytéotiques.
C’est dans ce cadre que la collectivité polynésienne entend mobiliser le lourd investissement que suppose le Mahana Beach. Une somme que les investisseurs privés amortiraient en vendant des appartements et en exploitant les hôtels et autres commodités du complexe touristique.
Au Total, 52,8 hectares de terres domaniales sont mises à disposition, dont 32,3 en bord de mer, entre la pointe Tata’a de l’Intercontinental Tahiti et la marina Taina, incluant les zones Bel Air, Artisanat et Outumaoro plage.
Mercredi, quatre groupes d’aménageurs d’envergure internationale ont été choisis par un jury interministériel ad-hoc. Ils ont maintenant 14 semaines pour échafauder un projet de complexe en adéquation avec le cahier des charges que leur a remis le gouvernement.
Le lauréat de ce concours sera chargé de mener à bien ce vaste projet qui pourrait être achevé à l’horizon 2018-2020.
Quatre lauréats retenus pour le projet
Selon la procédure d’appel à candidatures internationales lancée en novembre dernier par le gouvernement polynésien sur ce projet d’aménagement de Mahana Beach Tahiti, trois groupes ont été sélectionnés parmi les 14 candidats ayant remis des dossiers dans les délais impartis. Les trois groupes retenus sont les suivants :
Group 70 International. C’est un cabinet d’ingénierie et d’architecture américain, doté de bonnes références car il est spécialisé dans la construction de complexes hôteliers et dispose de nombreuses références aux Etats Unis, notamment à Hawaii (Maui, Waikiki, etc.), mais aussi en Asie et en Indonésie.
Forbase Group. Cette holding chinoise possède de solides références dans le secteur hôtelier et l’aménagement touristique, principalement en Chine où ce groupe a développé des hôtels et des complexes luxueux. Ce groupe d’investisseurs a fait connaître son intention d’apporter le financement et d’investir à terme dans d’autres projets similaires en Polynésie française.
AS Architecture Studio. C’est un grand cabinet d’architectes français, associé notamment au groupe EGIS pour l‘ingénierie. Il assure déjà la construction du centre pénitentiaire de Papearii. Il est doté de bonnes références avec des réalisations de complexes hôteliers au Moyen Orient et au Qatar notamment, mais aussi en Chine, au Maroc et en Tunisie.
Un quatrième candidat a été sélectionné. Le jury ayant souhaité disposer d’une sécurité dans l’hypothèse ou l’un des trois candidats retenus venait à se désister, il s’agit ainsi de Carnival Group, un très gros groupe chinois installé à Hong Kong, associé notamment au groupe d’architectes Aedas de Hong Kong. Il possède de sérieuses références en Asie et en Chine. Son dernier fleuron est la réalisation du spectaculaire complexe de «Marina Bay » à Singapour.
Selon la procédure d’appel à candidatures internationales lancée en novembre dernier par le gouvernement polynésien sur ce projet d’aménagement de Mahana Beach Tahiti, trois groupes ont été sélectionnés parmi les 14 candidats ayant remis des dossiers dans les délais impartis. Les trois groupes retenus sont les suivants :
Group 70 International. C’est un cabinet d’ingénierie et d’architecture américain, doté de bonnes références car il est spécialisé dans la construction de complexes hôteliers et dispose de nombreuses références aux Etats Unis, notamment à Hawaii (Maui, Waikiki, etc.), mais aussi en Asie et en Indonésie.
Forbase Group. Cette holding chinoise possède de solides références dans le secteur hôtelier et l’aménagement touristique, principalement en Chine où ce groupe a développé des hôtels et des complexes luxueux. Ce groupe d’investisseurs a fait connaître son intention d’apporter le financement et d’investir à terme dans d’autres projets similaires en Polynésie française.
AS Architecture Studio. C’est un grand cabinet d’architectes français, associé notamment au groupe EGIS pour l‘ingénierie. Il assure déjà la construction du centre pénitentiaire de Papearii. Il est doté de bonnes références avec des réalisations de complexes hôteliers au Moyen Orient et au Qatar notamment, mais aussi en Chine, au Maroc et en Tunisie.
Un quatrième candidat a été sélectionné. Le jury ayant souhaité disposer d’une sécurité dans l’hypothèse ou l’un des trois candidats retenus venait à se désister, il s’agit ainsi de Carnival Group, un très gros groupe chinois installé à Hong Kong, associé notamment au groupe d’architectes Aedas de Hong Kong. Il possède de sérieuses références en Asie et en Chine. Son dernier fleuron est la réalisation du spectaculaire complexe de «Marina Bay » à Singapour.
