PAPEETE, le 16 septembre 2016. Edouard Fritch souhaite qu'une société, regroupant des investisseurs polynésiens et le Pays, soit créée afin de lancer le projet Mahana Beach.
Face aux difficultés du Pays de trouver des investisseurs capables de financer le projet pharaonique du Mahana Beach (plus de 200 milliards de Fcfp), le Pays mise désormais sur un autre mode de fonctionnement. "Des groupes polynésiens sont venus et nous ont dit : 'Pourquoi ne nous mettrions-nous pas tous ensemble ? On fait le premier investissement avec vous'", expliquait vendredi Edouard Fritch à l'occasion du bilan des deux ans du gouvernement. "On ne vendra plus un plan mais des carrés à lotir. On pourra demander qui est intéressé pour la contruction d'un hôtel cinq étoiles, une salle de conférence... La conduite de cette opération se fera par des Polynésiens."
"Cela peut aller très vite", assure le président du Pays, qui envisage la création d'une société, regroupant des investisseurs polynésiens et le Pays. "La société privée sera chargée d'amortir ces investissements."
Samedi soir, le président du Pays a rendez-vous avec une délégation de China Railway. En début de semaine, Edouard Fritch les avait déjà rencontrés.
Les dirigeants de China Railway ont effectué cette semaine des visites sur les sites de Tahiti, de Moorea et dans les îles, durant leur séjour. "Ces visites leur permettront d’avoir une meilleure idée des projets possibles en Polynésie", indique la présidence dans un communiqué mardi.
En décembre dernier, le Pays avait signé un protocole d’accord avec le consortium chinois. Il était composé de Recas Glogal Limited, China Railway international et R&F Properties. Le Pays devait signer au plus tard le 30 juin un contrat définitif avec le groupement d’investisseurs pour le financement du projet Tahiti Mahana Beach, sa construction, et son exploitation pour les 70 ans à venir.
Mais le groupement chinois n'avait pas pu réunir la caution demandée par le Pays.Le Chinois Recas avait été mis définitivement hors-jeu pour le projet Tahiti Mahana Beach.
Face aux difficultés du Pays de trouver des investisseurs capables de financer le projet pharaonique du Mahana Beach (plus de 200 milliards de Fcfp), le Pays mise désormais sur un autre mode de fonctionnement. "Des groupes polynésiens sont venus et nous ont dit : 'Pourquoi ne nous mettrions-nous pas tous ensemble ? On fait le premier investissement avec vous'", expliquait vendredi Edouard Fritch à l'occasion du bilan des deux ans du gouvernement. "On ne vendra plus un plan mais des carrés à lotir. On pourra demander qui est intéressé pour la contruction d'un hôtel cinq étoiles, une salle de conférence... La conduite de cette opération se fera par des Polynésiens."
"Cela peut aller très vite", assure le président du Pays, qui envisage la création d'une société, regroupant des investisseurs polynésiens et le Pays. "La société privée sera chargée d'amortir ces investissements."
Samedi soir, le président du Pays a rendez-vous avec une délégation de China Railway. En début de semaine, Edouard Fritch les avait déjà rencontrés.
Les dirigeants de China Railway ont effectué cette semaine des visites sur les sites de Tahiti, de Moorea et dans les îles, durant leur séjour. "Ces visites leur permettront d’avoir une meilleure idée des projets possibles en Polynésie", indique la présidence dans un communiqué mardi.
En décembre dernier, le Pays avait signé un protocole d’accord avec le consortium chinois. Il était composé de Recas Glogal Limited, China Railway international et R&F Properties. Le Pays devait signer au plus tard le 30 juin un contrat définitif avec le groupement d’investisseurs pour le financement du projet Tahiti Mahana Beach, sa construction, et son exploitation pour les 70 ans à venir.
Mais le groupement chinois n'avait pas pu réunir la caution demandée par le Pays.Le Chinois Recas avait été mis définitivement hors-jeu pour le projet Tahiti Mahana Beach.