Vatea Heller et Isidore Teinaore, respectivement vice-président et président de la Confédération syndicale des agents communaux de Polynésie (Cosac). (Photo d'archives)
PAPEETE, le 28 ami 2017 - Comme annoncé par nos confrères de TNTV, la confédération syndicale des agents communaux (COSAC) a déposé un préavis de grève ce dimanche, en fin d'après-midi. Il sera effectif lundi à minuit.
Si les discussions n'aboutissent pas dans les prochains jours, la grève pourrait prendre effet dès samedi. Ce dimanche, en fin d'après-midi, la confédération syndicale des agents communaux (COSAC) a déposé un préavis de grève pour les 48 communes de Polynésie française. "La fonction publique communale a été mise en œuvre dans la précipitation", dénonce Vatea Heller, vice-président de la Cosac. Il faut se remettre autour de la table et discuter pour faire évoluer notre statut. Aujourd'hui, nous avons un statut bâtard qui porte préjudice à tous les agents communaux…"
Une première grève avait déjà eu lieu en mars 2014. Les revendications portées alors avaient été entendues mais, aujourd'hui, la Cosac veut que celles-ci soient appliquées.
Cette année, la confédération revient avec sept points de revendication. "La revalorisation du point d'indice est notre point numéro 1. Ensuite, il y a le non-respect du droit syndical. Dans certaines communes, les représentants ne sont pas reconnus. Il y a aussi le non respect des droits acquis. De plus, nous demandons une prime de départ volontaire à la retraite… Il y a beaucoup de points qui peuvent être réglés au niveau communal, en concertation avec les maires", explique le vice-président.
Le préavis de grève sera effectif lundi à 0 heure. Il durera jusqu'à vendredi minuit. La Cosac organise un rassemblement ce lundi à 15h30 devant la stèle de Pouvanaa a Oopa, à Papeete, afin d'informer les agents communaux.
Si aucun accord n'était trouvé cette semaine, la grève pourrait commencer dès samedi, jour du premier tour des élections législatives.
Si les discussions n'aboutissent pas dans les prochains jours, la grève pourrait prendre effet dès samedi. Ce dimanche, en fin d'après-midi, la confédération syndicale des agents communaux (COSAC) a déposé un préavis de grève pour les 48 communes de Polynésie française. "La fonction publique communale a été mise en œuvre dans la précipitation", dénonce Vatea Heller, vice-président de la Cosac. Il faut se remettre autour de la table et discuter pour faire évoluer notre statut. Aujourd'hui, nous avons un statut bâtard qui porte préjudice à tous les agents communaux…"
Une première grève avait déjà eu lieu en mars 2014. Les revendications portées alors avaient été entendues mais, aujourd'hui, la Cosac veut que celles-ci soient appliquées.
Cette année, la confédération revient avec sept points de revendication. "La revalorisation du point d'indice est notre point numéro 1. Ensuite, il y a le non-respect du droit syndical. Dans certaines communes, les représentants ne sont pas reconnus. Il y a aussi le non respect des droits acquis. De plus, nous demandons une prime de départ volontaire à la retraite… Il y a beaucoup de points qui peuvent être réglés au niveau communal, en concertation avec les maires", explique le vice-président.
Le préavis de grève sera effectif lundi à 0 heure. Il durera jusqu'à vendredi minuit. La Cosac organise un rassemblement ce lundi à 15h30 devant la stèle de Pouvanaa a Oopa, à Papeete, afin d'informer les agents communaux.
Si aucun accord n'était trouvé cette semaine, la grève pourrait commencer dès samedi, jour du premier tour des élections législatives.