Seuls quatre candidats s'affichent pour cette élection législative partielle.
PAPEETE, le 11 juin 2014. Les électeurs de la 1re circonscription de Polynésie se rendent aux urnes ce samedi 14 juin pour les élections législatives partielles et désigner le successeur d’Edouard Fritch. Second tour le 28 juin. Ces élections législatives ne concernent qu’une des trois circonscriptions de Polynésie. Il s’agit pour les électeurs de Papeete, Pirae, Arue, Moorea-Maiao, des Tuamotu Gambier et des Marquises de désigner le candidat ou la candidate qui succèdera au Palais Bourbon à Edouard Fritch qui a fait le choix de conserver ses mandats locaux de maire et de président de l’assemblée de Polynésie.
Cinq candidats sont en lice avec une première tentative dans une élection nationale pour A Ti’a Porinetia qui sera représentée par Debora Kimitete. L’ex élue marquisienne de Nuku Hiva veut mettre en avant l’identité culturelle de la Polynésie. Pour le Tavini, c’est Tauhiti Nena qui a réussi à convaincre le leader indépendantiste, Oscar Temaru, de ne pas laisser s’opérer la politique de la chaise vide pour ce siège de député. L’ex ministre de l’éducation espère tenir sa revanche de 2012 où il n’avait été battu que de 152 voix dans la 3e circonscription face à Jean-Paul Tuaiva. Tauhiti Nena a reçu, ce mercredi, le soutien de Bruno Leroux, président du groupe socialiste de l’assemblée nationale estimant qu’il sera celui «le plus à même de défendre les intérêts de la Polynésie à l’Assemblée nationale».
Chez les orange du Tahoeraa, c’est la représentante Maina Sage (avec Edouard Fritch en suppléant) qui a été choisie pour mener une politique de la continuité au sein du groupe UDI. Tati Salmon, lui, tente sa chance au nom de Heiura les Verts et défend l’idée d’une transition énergétique qui permettrait à la Polynésie de sortir de sa dépendance au pétrole. Enfin, Gustave Heitaa rempile après son essai de 2012 et son modeste score de 0,34% des voix. Mais, cette fois il concourt sans étiquette. Les électeurs concernés par cette législative partielle devront se déplacer dans les bureaux de vote ce samedi 14 juin de 8h à 19h.
Cinq candidats sont en lice avec une première tentative dans une élection nationale pour A Ti’a Porinetia qui sera représentée par Debora Kimitete. L’ex élue marquisienne de Nuku Hiva veut mettre en avant l’identité culturelle de la Polynésie. Pour le Tavini, c’est Tauhiti Nena qui a réussi à convaincre le leader indépendantiste, Oscar Temaru, de ne pas laisser s’opérer la politique de la chaise vide pour ce siège de député. L’ex ministre de l’éducation espère tenir sa revanche de 2012 où il n’avait été battu que de 152 voix dans la 3e circonscription face à Jean-Paul Tuaiva. Tauhiti Nena a reçu, ce mercredi, le soutien de Bruno Leroux, président du groupe socialiste de l’assemblée nationale estimant qu’il sera celui «le plus à même de défendre les intérêts de la Polynésie à l’Assemblée nationale».
Chez les orange du Tahoeraa, c’est la représentante Maina Sage (avec Edouard Fritch en suppléant) qui a été choisie pour mener une politique de la continuité au sein du groupe UDI. Tati Salmon, lui, tente sa chance au nom de Heiura les Verts et défend l’idée d’une transition énergétique qui permettrait à la Polynésie de sortir de sa dépendance au pétrole. Enfin, Gustave Heitaa rempile après son essai de 2012 et son modeste score de 0,34% des voix. Mais, cette fois il concourt sans étiquette. Les électeurs concernés par cette législative partielle devront se déplacer dans les bureaux de vote ce samedi 14 juin de 8h à 19h.
