PAPEETE, le 27 mai 2014 – Ce mardi 27 mai, Maina Sage a présenté son programme pour les législatives partielles du 14 juin. Elle compte surtout poursuivre les dossiers ouverts par son prédécesseur et suppléant, Edouard Fritch.
Maina Sage s’est lancée dans la bataille des législatives à l’occasion d’une conférence de presse ce mardi 27 mai au siège du Tahoeraa Huiraatira, en présence de son suppléant Edouard Fritch, du président Gaston Flosse et même du maire de Papeete Michel Buillard. Maina Sage y a présenté le programme qu’elle compte appliquer si elle est élue à l’Assemblée Nationale, au siège qu’Edouard Fritch laisse vacant depuis son élection comme maire de Pirae.
Assurer la continuité
Cette élection partielle ne concerne que les communes de Papeete, Pirae, Arue, et toutes les îles des archipels des Tuamotu, des Gambier et des Marquises. Le député élu ne siègera que trois ans, son mandat se terminant lors des prochaines législatives générales en 2017.
Pour ce court délai, la candidate a un programme très chargé. « Le premier volet de mon programme concerne bien sûr la reprise du travail d’Edouard Fritch, je m’inscris dans la continuité de ce qu’il a commencé à faire. » Du coup, elle poursuivra les efforts de son prédécesseur pour « renouer le dialogue avec l’Etat sur l’ensemble des thématiques, en particulier les partenariats financiers et la solidarité de l’Etat. Il y a aussi la mise en place d’un tribunal foncier et d’une loi qui facilitera les divisions successorales, et enfin le partenariat de l’Etat avec les communes. » La candidate compte donc faire aboutir les dossiers sur la participation de l’Etat au financement du RSPF, le maintien des régimes de défiscalisation ou l’indemnisation des victimes des essais nucléaires.
Avancer sur l’environnement et l’éducation
Mais Maina Sage veut également mettre en avant des thèmes qui lui sont propres. Ainsi sur l’éducation, elle aimerait que plus d’écoles soient construites en Polynésie. Elle espère aussi peser sur le développement des énergies renouvelables dans nos îles et sur le développement de notre espace maritime.
La candidate met en avant son poste à la commission de l’Economie et des Finances de l’Assemblée de la Polynésie Française, qui lui donne une parfaite connaissance des dossiers financiers, alors que les partenariats avec l’Etat vont être renouvelés dans de nombreux domaines, en particulier les contrats de projets 2015-2020, la Dotation Globale d’Autonomie et du troisième instrument financier.
La présence du député démissionnaire comme son suppléant ne lui parait pas étrange : « A peine 0,5% des suppléants aujourd’hui remplacent vraiment un député, c’est en cas de décès ou de nomination. Donc Edouard Fritch le fait très symboliquement, pour marquer la continuité dans laquelle je m’inscris, et deuxièmement pour assurer à l’ensemble des électeurs qu’il y a ce soutien très fort. »
Maina Sage s’est lancée dans la bataille des législatives à l’occasion d’une conférence de presse ce mardi 27 mai au siège du Tahoeraa Huiraatira, en présence de son suppléant Edouard Fritch, du président Gaston Flosse et même du maire de Papeete Michel Buillard. Maina Sage y a présenté le programme qu’elle compte appliquer si elle est élue à l’Assemblée Nationale, au siège qu’Edouard Fritch laisse vacant depuis son élection comme maire de Pirae.
Assurer la continuité
Cette élection partielle ne concerne que les communes de Papeete, Pirae, Arue, et toutes les îles des archipels des Tuamotu, des Gambier et des Marquises. Le député élu ne siègera que trois ans, son mandat se terminant lors des prochaines législatives générales en 2017.
Pour ce court délai, la candidate a un programme très chargé. « Le premier volet de mon programme concerne bien sûr la reprise du travail d’Edouard Fritch, je m’inscris dans la continuité de ce qu’il a commencé à faire. » Du coup, elle poursuivra les efforts de son prédécesseur pour « renouer le dialogue avec l’Etat sur l’ensemble des thématiques, en particulier les partenariats financiers et la solidarité de l’Etat. Il y a aussi la mise en place d’un tribunal foncier et d’une loi qui facilitera les divisions successorales, et enfin le partenariat de l’Etat avec les communes. » La candidate compte donc faire aboutir les dossiers sur la participation de l’Etat au financement du RSPF, le maintien des régimes de défiscalisation ou l’indemnisation des victimes des essais nucléaires.
Avancer sur l’environnement et l’éducation
Mais Maina Sage veut également mettre en avant des thèmes qui lui sont propres. Ainsi sur l’éducation, elle aimerait que plus d’écoles soient construites en Polynésie. Elle espère aussi peser sur le développement des énergies renouvelables dans nos îles et sur le développement de notre espace maritime.
La candidate met en avant son poste à la commission de l’Economie et des Finances de l’Assemblée de la Polynésie Française, qui lui donne une parfaite connaissance des dossiers financiers, alors que les partenariats avec l’Etat vont être renouvelés dans de nombreux domaines, en particulier les contrats de projets 2015-2020, la Dotation Globale d’Autonomie et du troisième instrument financier.
La présence du député démissionnaire comme son suppléant ne lui parait pas étrange : « A peine 0,5% des suppléants aujourd’hui remplacent vraiment un député, c’est en cas de décès ou de nomination. Donc Edouard Fritch le fait très symboliquement, pour marquer la continuité dans laquelle je m’inscris, et deuxièmement pour assurer à l’ensemble des électeurs qu’il y a ce soutien très fort. »