PAPEETE, le 11 avril 2015 - Le gouvernement polynésien, par la voie d'un communiqué de presse signé par le ministre de l'Agriculture Frédéric Riveta, s'engage à ce que les coprahculteurs des îles puissent embarquer leur production dans les bateaux de fret.
Depuis le lancement de la grève à l'Huilerie de Tahiti, cette entreprise possédée presque entièrement par le Pays avait averti ses fournisseurs qu'elle ne pouvait plus ajouter de coprah dans ses entrepôts, déjà pleins. Les armateurs avaient donc pour consigne de ne plus ramasser le coprah sur les îles. Pourtant, cette activité est économiquement vitales pour de nombreuses communautés îliennes, en particulier celles des Tuamotu et des Marquises, qui avaient lancé un cri d'alarme dans nos colonnes.
Il semble donc avoir été entendu, bien que le ministère n'explique pas où il compte entreposer ces tonnes de coprah qui ne pourront pas être pressés avant la fin du mouvement social de l'Huilerie. Celui-ci devrait se poursuivre au moins jusqu'à ce que le P-DG de l'entreprise revienne. Selon la direction, il a été surpris par la grève alors qu'il était en métropole avec des partenaires industriels, et cherche depuis à trouver une place sur un avion retour, en pleines vacances scolaires...
Depuis le lancement de la grève à l'Huilerie de Tahiti, cette entreprise possédée presque entièrement par le Pays avait averti ses fournisseurs qu'elle ne pouvait plus ajouter de coprah dans ses entrepôts, déjà pleins. Les armateurs avaient donc pour consigne de ne plus ramasser le coprah sur les îles. Pourtant, cette activité est économiquement vitales pour de nombreuses communautés îliennes, en particulier celles des Tuamotu et des Marquises, qui avaient lancé un cri d'alarme dans nos colonnes.
Il semble donc avoir été entendu, bien que le ministère n'explique pas où il compte entreposer ces tonnes de coprah qui ne pourront pas être pressés avant la fin du mouvement social de l'Huilerie. Celui-ci devrait se poursuivre au moins jusqu'à ce que le P-DG de l'entreprise revienne. Selon la direction, il a été surpris par la grève alors qu'il était en métropole avec des partenaires industriels, et cherche depuis à trouver une place sur un avion retour, en pleines vacances scolaires...