Le Président Edouard Fritch a présenté ses voeux à la presse, ce mercredi lors d'un cocktail offert à la Présidence
PAPEETE, 21 janvier 2015 – Le Président Edouard Fritch a adressé ses vœux à la presse ce mercredi à la mi-journée. L’événement a pris la forme d’un cocktail déjeunatoire offert à la Présidence de la Polynésie française aux cadres et aux journalistes en charge de l’actualité politique des principales rédactions polynésiennes.
Le Président a saisi l’occasion de cette réunion des vœux à la presse, mercredi, pour interpeller les journalistes polynésiens et leur rappeler l’influence que peuvent avoir certaines publications sur l’image donnée de la Polynésie à ses habitants et au monde. Il a notamment mis en garde contre le traitement réservé par la presse à la discorde au sein du Tahoera’a Huira’atira : "Je ne vous blâme pas de rendre compte de faits objectifs, de rendre compte de la réalité. (…) Je reste toutefois persuadé qu’il faut se garder d’un effet loupe. Il faut se garder de l’impact des effets loupes à l’extérieur de nos petites frontières et garder en tête que des informations montées en épingle peuvent avoir des effets négatifs sur notre économie, sur notre tourisme".
Edouard Fritch a également souligné l’effet pervers d’une médiatisation trop alarmiste d'une réalité sanitaire qui frappe la Polynésie : l’épidémie de chikungunya, qui aurait touché depuis la mi-octobre 2014 près de la moitié de la population polynésienne à ce jour. Edouard Fritch a mis en garde contre les effets pervers pour l’économie polynésienne d’une médiatisation mue par la "recherche du sensationnel" : "gardons-nous, a-t-il prévenu, de toute recherche du sensationnel, les moyens de communication moderne peuvent entraîner des effets disproportionnés par rapport à la réalité effective".
Il a enfin rappelé les enjeux de son gouvernement pour 2015 : la réforme "de la PSG qui est à bout de souffle" et au titre de laquelle il invite la presse à "faire preuve d’une grande pédagogie et de communication sur ce dossier qui engage l’avenir de tous les Polynésiens" ; la révision du code du travail lors de laquelle il invite la média polynésiens à collaborer en donnant "les clés des enjeux de ces réformes sociétales à vos lecteurs et auditeurs qui sont concernés au premier chef".
"Je crois aussi qu’il vous faudra bien informer le public sur d’autres grands enjeux économiques que sont, notamment, les investissements étrangers, mais aussi la mise en œuvre du plan stratégique de développement économique", a-t-il en outre invité les médias locaux en assurant que "dans tous ces domaines, le gouvernement et moi-même souhaitons agir dans la plus grande transparence".
Il a conclu son allocution devant la presse en affirmant son "optimisme et celui du gouvernement (…) dans l’avenir du pays".
Le Président a saisi l’occasion de cette réunion des vœux à la presse, mercredi, pour interpeller les journalistes polynésiens et leur rappeler l’influence que peuvent avoir certaines publications sur l’image donnée de la Polynésie à ses habitants et au monde. Il a notamment mis en garde contre le traitement réservé par la presse à la discorde au sein du Tahoera’a Huira’atira : "Je ne vous blâme pas de rendre compte de faits objectifs, de rendre compte de la réalité. (…) Je reste toutefois persuadé qu’il faut se garder d’un effet loupe. Il faut se garder de l’impact des effets loupes à l’extérieur de nos petites frontières et garder en tête que des informations montées en épingle peuvent avoir des effets négatifs sur notre économie, sur notre tourisme".
Edouard Fritch a également souligné l’effet pervers d’une médiatisation trop alarmiste d'une réalité sanitaire qui frappe la Polynésie : l’épidémie de chikungunya, qui aurait touché depuis la mi-octobre 2014 près de la moitié de la population polynésienne à ce jour. Edouard Fritch a mis en garde contre les effets pervers pour l’économie polynésienne d’une médiatisation mue par la "recherche du sensationnel" : "gardons-nous, a-t-il prévenu, de toute recherche du sensationnel, les moyens de communication moderne peuvent entraîner des effets disproportionnés par rapport à la réalité effective".
Il a enfin rappelé les enjeux de son gouvernement pour 2015 : la réforme "de la PSG qui est à bout de souffle" et au titre de laquelle il invite la presse à "faire preuve d’une grande pédagogie et de communication sur ce dossier qui engage l’avenir de tous les Polynésiens" ; la révision du code du travail lors de laquelle il invite la média polynésiens à collaborer en donnant "les clés des enjeux de ces réformes sociétales à vos lecteurs et auditeurs qui sont concernés au premier chef".
"Je crois aussi qu’il vous faudra bien informer le public sur d’autres grands enjeux économiques que sont, notamment, les investissements étrangers, mais aussi la mise en œuvre du plan stratégique de développement économique", a-t-il en outre invité les médias locaux en assurant que "dans tous ces domaines, le gouvernement et moi-même souhaitons agir dans la plus grande transparence".
Il a conclu son allocution devant la presse en affirmant son "optimisme et celui du gouvernement (…) dans l’avenir du pays".
