En faisant cette annonce, M. Key a clairement précisé que la raison principale en était le séisme de magnitude 7 qui a frappé la région de Christchurch (île du Sud) samedi 5 septembre 2010, aux aurores.
Au Royaume-Uni, M. Key devait notamment rencontrer pour la première fois son nouvel homologue David Cameron, plusieurs responsables des milieux économiques et des entreprises et devrait aussi répondre à une invitation de la Reine Elisabeth II d’Angleterre dans sa résidence écossaise du château de Balmoral.
En France, le chef de l’exécutif néo-zélandais avait annoncé en début de semaine dernière son intention d’aborder avec le Président Sarkozy des sujets relatifs à la coopération u bien en Europe que dans le Pacifique, où les collectivités françaises (Nouvelle-Calédonie, Polynésie française, Wallis-et-Futuna) sont encouragées, depuis une bonne dizaine d’années, à intensifier un mouvement d’intégration avec les États riverains, parmi lesquels figure en tête de liste l’Australie et la Nouvelle-Zélande.
Le chef de l’exécutif a estimé, au sortir d’un réunion au Parlement de la capitale Wellington, que « tout bien pesé, il serait pas prudent » de sa part de quitter le pays en pareilles circonstances.
Il a ajouté que les autorités françaises et britanniques seraient promptement informées de cette annulation, tout en se déclarant « confiant qu’ils comprendront ».
Le séisme a causé d’énormes dégâts matériels et une facture qui pourrait atteindre le milliard d’euros.
Depuis, alors que les opérations de rétablissement des services et d’hébergement temporaire des déplacés s’organisent, des dizaines de répliques sismiques, ont été enregistrées dans la même région.
Rien que pour la nuit dernière (GMT+13), trois secousses de magnitudes supérieures à 5 ont été enregistrées.
M. Key s’est rendu sur place dès samedi.
Son gouvernement a annoncé en début de semaine le déblocage de fonds d’urgence pour un montant initial de cinq millions de dollars locaux (2,8 millions d’euros).
Conseils aux voyageurs français : éviter Christchurch
Lundi, à la suite du séisme, l’ambassade de France à Wellington, dans un point de la situation, rassurait d’emblé »e que malgré la présence dans cette région d’une classe d’élèves de Nouvelle-Calédonie en voyage scolaire, « aucune victime française n’est à déplorer ».
Toutefois, « même si le trafic aérien international depuis l’aéroport de Christchurch a repris depuis samedi soir, l’Ambassade déconseille tout voyage à Christchurch jusqu’à nouvel ordre ».
En Nouvelle-Calédonie, les agences de voyage continuaient à enregistrer de nombreuses réservations à destination de la Nouvelle-Zélande.
Le gouvernement australien, pour sa part, adoptait une posture similaire en recommandant à ses ressortissants, dans la version mise à jour de ses conseils aux voyageurs en Nouvelle-Zélande, d’ « éviter tout voyage non-essentiel à Christchurch », à l’exception de transits à l’aéroport de cette ville.
Mardi, le quartier du centre-ville de Christchurch, bouclé depuis samedi, rouvrait peu à peu, mais les services de la sécurité civile, désormais épaulés par l’armée, continuaient leurs inspections des bâtiments pour détecter ceux qui, bien qu’ayant résisté, pourraient être désormais sérieusement fragilisés.
C’est dans cette démarche que s’inscrit aussi une décision, par précaution et par mesure de sécurité, de déménager provisoirement les pensionnaires de la prison de Christchurch.
Le nombre estimé de bâtiments touchés, à des degrés divers, par le séisme de samedi, a maintenant été porté à une centaine de milliers de constructions, a annoncé par ailleurs John Key lundi.
Au plan visuel, plusieurs vidéos sont désormais consultables sur Internet aux adresses suivantes :
http://www.youtube.com/watch?v=Npqx3WmNkv4
Et
http://www.youtube.com/watch?v=LBMD2iKgyL0&NR=1
(Apparition d’une nouvelle ligne de faille à la suite de ce séisme)
pad
Au Royaume-Uni, M. Key devait notamment rencontrer pour la première fois son nouvel homologue David Cameron, plusieurs responsables des milieux économiques et des entreprises et devrait aussi répondre à une invitation de la Reine Elisabeth II d’Angleterre dans sa résidence écossaise du château de Balmoral.
En France, le chef de l’exécutif néo-zélandais avait annoncé en début de semaine dernière son intention d’aborder avec le Président Sarkozy des sujets relatifs à la coopération u bien en Europe que dans le Pacifique, où les collectivités françaises (Nouvelle-Calédonie, Polynésie française, Wallis-et-Futuna) sont encouragées, depuis une bonne dizaine d’années, à intensifier un mouvement d’intégration avec les États riverains, parmi lesquels figure en tête de liste l’Australie et la Nouvelle-Zélande.
Le chef de l’exécutif a estimé, au sortir d’un réunion au Parlement de la capitale Wellington, que « tout bien pesé, il serait pas prudent » de sa part de quitter le pays en pareilles circonstances.
Il a ajouté que les autorités françaises et britanniques seraient promptement informées de cette annulation, tout en se déclarant « confiant qu’ils comprendront ».
Le séisme a causé d’énormes dégâts matériels et une facture qui pourrait atteindre le milliard d’euros.
Depuis, alors que les opérations de rétablissement des services et d’hébergement temporaire des déplacés s’organisent, des dizaines de répliques sismiques, ont été enregistrées dans la même région.
Rien que pour la nuit dernière (GMT+13), trois secousses de magnitudes supérieures à 5 ont été enregistrées.
M. Key s’est rendu sur place dès samedi.
Son gouvernement a annoncé en début de semaine le déblocage de fonds d’urgence pour un montant initial de cinq millions de dollars locaux (2,8 millions d’euros).
Conseils aux voyageurs français : éviter Christchurch
Lundi, à la suite du séisme, l’ambassade de France à Wellington, dans un point de la situation, rassurait d’emblé »e que malgré la présence dans cette région d’une classe d’élèves de Nouvelle-Calédonie en voyage scolaire, « aucune victime française n’est à déplorer ».
Toutefois, « même si le trafic aérien international depuis l’aéroport de Christchurch a repris depuis samedi soir, l’Ambassade déconseille tout voyage à Christchurch jusqu’à nouvel ordre ».
En Nouvelle-Calédonie, les agences de voyage continuaient à enregistrer de nombreuses réservations à destination de la Nouvelle-Zélande.
Le gouvernement australien, pour sa part, adoptait une posture similaire en recommandant à ses ressortissants, dans la version mise à jour de ses conseils aux voyageurs en Nouvelle-Zélande, d’ « éviter tout voyage non-essentiel à Christchurch », à l’exception de transits à l’aéroport de cette ville.
Mardi, le quartier du centre-ville de Christchurch, bouclé depuis samedi, rouvrait peu à peu, mais les services de la sécurité civile, désormais épaulés par l’armée, continuaient leurs inspections des bâtiments pour détecter ceux qui, bien qu’ayant résisté, pourraient être désormais sérieusement fragilisés.
C’est dans cette démarche que s’inscrit aussi une décision, par précaution et par mesure de sécurité, de déménager provisoirement les pensionnaires de la prison de Christchurch.
Le nombre estimé de bâtiments touchés, à des degrés divers, par le séisme de samedi, a maintenant été porté à une centaine de milliers de constructions, a annoncé par ailleurs John Key lundi.
Au plan visuel, plusieurs vidéos sont désormais consultables sur Internet aux adresses suivantes :
http://www.youtube.com/watch?v=Npqx3WmNkv4
Et
http://www.youtube.com/watch?v=LBMD2iKgyL0&NR=1
(Apparition d’une nouvelle ligne de faille à la suite de ce séisme)
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