PAPEETE, le 26 janvier 2015 - L’élection du nouveau président du Conseil économique, social et culturel (CESC) a lieu vendredi. Il sera à la tête de l’institution pendant deux ans et travaillera avec les 48 membres du conseil pendant tout cette période. Avec le président du pays, son gouvernement et l’assemblée, le CESC joue un rôle important dans la vie politique locale.
En tahitien, le Conseil économique, social et culturel qu’on appelle CESC parce que c’est plus court se dit : Apo’ora’a Matutu Ti’a Rau E Mata U’i. Il se trouve dans l’avenue Pouvana’a a O’opa, en face du Haut-commissariat. Il est constitué de représentants de professionnels, de syndicats (des groupements de personnes qui défendent les intérêts de salariés), d’associations. Il y a par exemple des représentants d’enseignants, d’association de personnes handicapées, de parents d’élèves, de consommateurs,…Au total il y a 48 membres désignés par les groupes qu’ils représentent.
Ainsi c’est la population, par la voix de ses représentants, qui peut s’exprimer. Cela peut-être tes parents par exemple, ton maître ou ta maîtresse qui, s’ils le souhaitent, peuvent transmettre leurs remarques à leur représentant. Ce représentant défend les remarques lors des cessions de travail au CESC.
Concrètement, les membres du CESC se réunissent dans une salle par groupe de travail. Ils prennent connaissances de textes, réfléchissent et discutent entre eux de ces textes. Chacun défend les intérêts du groupe qu’il représente. Ils rédigent ensuite des conclusions. Les membres du CESC ne peuvent pas décider de quoi que ce soit. Ils donnent des avis, des recommandations.
Les textes sur lesquels ils travaillent sont envoyés par le gouvernement, par l’assemblée de la Polynésie qui rédige notamment les textes de loi du pays. Ces textes de lois sont obligatoirement transmis au CESC avant d’être votés. Le CESC peut aussi choisit de travailler sur des textes que l’on ne lui a pas soumis. On parle alors d’auto-saisine.
En tahitien, le Conseil économique, social et culturel qu’on appelle CESC parce que c’est plus court se dit : Apo’ora’a Matutu Ti’a Rau E Mata U’i. Il se trouve dans l’avenue Pouvana’a a O’opa, en face du Haut-commissariat. Il est constitué de représentants de professionnels, de syndicats (des groupements de personnes qui défendent les intérêts de salariés), d’associations. Il y a par exemple des représentants d’enseignants, d’association de personnes handicapées, de parents d’élèves, de consommateurs,…Au total il y a 48 membres désignés par les groupes qu’ils représentent.
Ainsi c’est la population, par la voix de ses représentants, qui peut s’exprimer. Cela peut-être tes parents par exemple, ton maître ou ta maîtresse qui, s’ils le souhaitent, peuvent transmettre leurs remarques à leur représentant. Ce représentant défend les remarques lors des cessions de travail au CESC.
Concrètement, les membres du CESC se réunissent dans une salle par groupe de travail. Ils prennent connaissances de textes, réfléchissent et discutent entre eux de ces textes. Chacun défend les intérêts du groupe qu’il représente. Ils rédigent ensuite des conclusions. Les membres du CESC ne peuvent pas décider de quoi que ce soit. Ils donnent des avis, des recommandations.
Les textes sur lesquels ils travaillent sont envoyés par le gouvernement, par l’assemblée de la Polynésie qui rédige notamment les textes de loi du pays. Ces textes de lois sont obligatoirement transmis au CESC avant d’être votés. Le CESC peut aussi choisit de travailler sur des textes que l’on ne lui a pas soumis. On parle alors d’auto-saisine.
Rôle et compétences des institutions
La loi organique statutaire de 1996 précise que :
- Le pouvoir exécutif revient au président qui dirige les gouvernements. Actuellement le président de la Polynésie française est Édouard Fritch.
- Le pouvoir délibératif revient à l’assemblée de Polynésie. L’assemblée compte 57 membres qui sont élus au suffrage universel, par tes parents et tous les adultes qui t’entourent et qui vont voter.
- Le pouvoir consultatif revient au CESC
La loi organique statutaire de 1996 précise que :
- Le pouvoir exécutif revient au président qui dirige les gouvernements. Actuellement le président de la Polynésie française est Édouard Fritch.
- Le pouvoir délibératif revient à l’assemblée de Polynésie. L’assemblée compte 57 membres qui sont élus au suffrage universel, par tes parents et tous les adultes qui t’entourent et qui vont voter.
- Le pouvoir consultatif revient au CESC