PAPEETE, le 26 JUIN 2014. (COMMUNIQUE) 10 mois après le lancement de la relance de la vanille, le Ministre de l’agriculture, Thomas MOUTAME, a présidé la réunion en présence des agriculteurs et des vaniculteurs, ce jeudi matin à Raiatea, afin de restituer les premiers résultats très prometteurs pour cette filière.
En août 2013, le gouvernement a impulsé la mise en place d’un nouveau plan de relance de la Vanille de Tahiti, avec un objectif fixé à 100 tonnes de vanille mûre produite à l’horizon 2016. Ce plan de relance est articulé autour de deux axes principaux, qui sont l’amélioration de la productivité des ombrières existantes et la mise en place de deux hectares supplémentaires d’ombrières.
Dix mois après le lancement de ce plan, le ministre de l’Agriculture, Thomas MOUTAME, a fait un point sur l’avancement des travaux engagés dans ce sens. Le plan porte notamment sur l’amélioration de la productivité des ombrières existantes. Aujourd’hui, 70% des 329 exploitations de vanille recensées aux îles Sous-le-Vent ont été régénérées. Le plan prévoit aussi la mise en place de de nouvelles serres. Une subvention de 61,2 millions Fcfp a été octroyée à l’Etablissement Vanille de Tahiti, au titre de la participation du Pays au financement des nouvelles ombrières, qui seront livrées « clé en main », montées et plantées.La clé de financement sera de « 50% Pays - 50 % porteur de projet » pour les Iles-sous-le-vent, et de « 40% Pays – 60% porteur de projet » pour les Iles-du-vent.
Par ailleurs, une étude relative à l’optimisation de la nutrition de la Vanille de Tahiti a également été initiée en 2014 avec l’Université Earth du Costa Rica, l’objectif étant de définir les besoins en fertilisants correspondant à chaque étape du cycle de la plante.
Enfin, la connaissance des besoins de la vanille est essentielle pour optimiser la production, c’est pourquoi de nouvelles formules de fertilisants organiques à base de fiente de poule et de déchets de poissons ont été élaborées et seront commercialisées par l’établissement Vanille de Tahiti. Des lianes bien nourries sont plus résistantes, produisent des gousses en plus grand nombre, de plus grandes tailles et mieux remplies.
En août 2013, le gouvernement a impulsé la mise en place d’un nouveau plan de relance de la Vanille de Tahiti, avec un objectif fixé à 100 tonnes de vanille mûre produite à l’horizon 2016. Ce plan de relance est articulé autour de deux axes principaux, qui sont l’amélioration de la productivité des ombrières existantes et la mise en place de deux hectares supplémentaires d’ombrières.
Dix mois après le lancement de ce plan, le ministre de l’Agriculture, Thomas MOUTAME, a fait un point sur l’avancement des travaux engagés dans ce sens. Le plan porte notamment sur l’amélioration de la productivité des ombrières existantes. Aujourd’hui, 70% des 329 exploitations de vanille recensées aux îles Sous-le-Vent ont été régénérées. Le plan prévoit aussi la mise en place de de nouvelles serres. Une subvention de 61,2 millions Fcfp a été octroyée à l’Etablissement Vanille de Tahiti, au titre de la participation du Pays au financement des nouvelles ombrières, qui seront livrées « clé en main », montées et plantées.La clé de financement sera de « 50% Pays - 50 % porteur de projet » pour les Iles-sous-le-vent, et de « 40% Pays – 60% porteur de projet » pour les Iles-du-vent.
Par ailleurs, une étude relative à l’optimisation de la nutrition de la Vanille de Tahiti a également été initiée en 2014 avec l’Université Earth du Costa Rica, l’objectif étant de définir les besoins en fertilisants correspondant à chaque étape du cycle de la plante.
Enfin, la connaissance des besoins de la vanille est essentielle pour optimiser la production, c’est pourquoi de nouvelles formules de fertilisants organiques à base de fiente de poule et de déchets de poissons ont été élaborées et seront commercialisées par l’établissement Vanille de Tahiti. Des lianes bien nourries sont plus résistantes, produisent des gousses en plus grand nombre, de plus grandes tailles et mieux remplies.