PAPEETE, le 2 septembre 2016. Le directeur général de la TEP, Thierry Trouillet, accompagné de son directeur technique, Ahmed Rahmani, ont participé au Conseil International des Grands Réseaux Électriques (Cigré) fin août au Palais des Congrès de Paris.
Ils ont ainsi rencontré des fabricants et opérateurs internationaux dans le secteur de l’énergie, pour trouver des solutions répondant aux besoins matériels, techniques et opérationnels que la TEP devra mettre en œuvre dans les prochains mois pour les futures missions qui lui incomberont dans le cadre du Plan de Transition Energétique.
Pour rappel, le Cigré est une organisation mondiale dans le domaine de l’électricité à haute tension. Il a été fondé en France en 1921 et son secrétariat général est à Paris. On y traite les aspects techniques et économiques des réseaux, mais aussi les aspects environnementaux et régulatoires.
Le premier objectif pour la TEP était d’échanger avec les fournisseurs de matériels de pointe pour mener à bien les futurs investissements structurants prévus sur la côte Est de Tahiti (budget de plus 4 milliards de Fcfp) et notamment les fournisseurs de câbles électriques 30 000 et 90 000 Volts. Cette phase préparatoire a permis d’optimiser les budgets prévisionnels et d’affiner les futurs appels d’offres locaux et internationaux qui seront lancés dans les prochaines semaines.
Le second objectif de ce déplacement consistait à préparer la TEP à la reprise de certaines missions qui lui seront confiées dans le cadre de la réorganisation du système électrique polynésien. Ainsi, le directeur général a rencontré son homologue métropolitain de RTE (Réseau Transport Electrique), avec qui la TEP entretient une étroite collaboration depuis 2006 au travers son contrat cadre. Par ailleurs, une rencontre avec EDF (Electricité de France) a été organisée pour bénéficier de l’expertise de sa filiale SEI (Systèmes Energétiques Insulaires) dans les systèmes insulaires comparables à l’île de Tahiti.
Des conventions sont actuellement en phase de rédaction pour un démarrage opérationnel au plus tard en début d’année 2017.
Ils ont ainsi rencontré des fabricants et opérateurs internationaux dans le secteur de l’énergie, pour trouver des solutions répondant aux besoins matériels, techniques et opérationnels que la TEP devra mettre en œuvre dans les prochains mois pour les futures missions qui lui incomberont dans le cadre du Plan de Transition Energétique.
Pour rappel, le Cigré est une organisation mondiale dans le domaine de l’électricité à haute tension. Il a été fondé en France en 1921 et son secrétariat général est à Paris. On y traite les aspects techniques et économiques des réseaux, mais aussi les aspects environnementaux et régulatoires.
Le premier objectif pour la TEP était d’échanger avec les fournisseurs de matériels de pointe pour mener à bien les futurs investissements structurants prévus sur la côte Est de Tahiti (budget de plus 4 milliards de Fcfp) et notamment les fournisseurs de câbles électriques 30 000 et 90 000 Volts. Cette phase préparatoire a permis d’optimiser les budgets prévisionnels et d’affiner les futurs appels d’offres locaux et internationaux qui seront lancés dans les prochaines semaines.
Le second objectif de ce déplacement consistait à préparer la TEP à la reprise de certaines missions qui lui seront confiées dans le cadre de la réorganisation du système électrique polynésien. Ainsi, le directeur général a rencontré son homologue métropolitain de RTE (Réseau Transport Electrique), avec qui la TEP entretient une étroite collaboration depuis 2006 au travers son contrat cadre. Par ailleurs, une rencontre avec EDF (Electricité de France) a été organisée pour bénéficier de l’expertise de sa filiale SEI (Systèmes Energétiques Insulaires) dans les systèmes insulaires comparables à l’île de Tahiti.
Des conventions sont actuellement en phase de rédaction pour un démarrage opérationnel au plus tard en début d’année 2017.