Gaston Flosse et Edouard Fritch lors de la marche orange pendant la campagne des élections territoriales le 23 mars 2013. C'est ce jour-là que le président du Tahoera'a a désigné Edouard Fritch comme son successeur. Voilà ce que disait alors Gaston Flosse : "Ma succession est prête. Elle ne fait pas de doute, elle n’appelle pas de contestation, c’est Edouard Fritch qui assurera la continuité du Tahoera'a"
PAPEETE, le 18 février 2015. La rencontre entre le président du Pays et le président du Tahoera'a prévue ce vendredi à 10 heures en salle des commissions de l'assemblée de Polynésie devrait permettre d'apaiser les tensions politiques de la majorité. C'est du moins le vœu formulé par le gouvernement. "Nous devons rencontrer les élus de l'assemblée de Polynésie avec le président du Tahoera'a sur la base d'un ordre du jour suggéré par le président Edouard Fritch et amplifié par le président du Tahoera'a" explique Jean-Christophe Bouissou, porte parole du gouvernement.
Au menu il sera question du fonctionnement des institutions, du rôle de l'assemblée ainsi que de la position et du rôle du parti politique le Tahoera'a Huiraatira. "Nous aborderons aussi la gestion du programme sur lequel nous avons été élus" précise encore Jean-Christophe Bouissou. "On se rejoint entre la nécessité de regarder à nouveau ce qu'on peut considérer comme étant un fonctionnement normal des institutions –la première étant le Président du Pays, la seconde le gouvernement, la troisième institution c'est l'assemblée de la Polynésie et une quatrième le CESC- il faut qu'on regarde comment faire en sorte d'avoir des institutions qui fonctionnent bien, tout ça sous l'éclairage d'un parti politique qui a son rôle à jouer et d'une majorité à l'assemblée qui doit apporter son soutien sur la réalisation des projets et du vote des lois".
Au menu il sera question du fonctionnement des institutions, du rôle de l'assemblée ainsi que de la position et du rôle du parti politique le Tahoera'a Huiraatira. "Nous aborderons aussi la gestion du programme sur lequel nous avons été élus" précise encore Jean-Christophe Bouissou. "On se rejoint entre la nécessité de regarder à nouveau ce qu'on peut considérer comme étant un fonctionnement normal des institutions –la première étant le Président du Pays, la seconde le gouvernement, la troisième institution c'est l'assemblée de la Polynésie et une quatrième le CESC- il faut qu'on regarde comment faire en sorte d'avoir des institutions qui fonctionnent bien, tout ça sous l'éclairage d'un parti politique qui a son rôle à jouer et d'une majorité à l'assemblée qui doit apporter son soutien sur la réalisation des projets et du vote des lois".