PAPEETE, le 9 octobre 2016 - Hier, l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (IFEMER) situé à Vairao a ouvert ses portes au public dans le cadre de la fête de la science.
L’institut, auparavant connu sous l’abréviation COP, Centre Océanologique du Pacifique, est installé depuis 1972 à Vairao et travaille essentiellement sur le développement de l’aquaculture et la pêche. Ce n’est qu’en 1984 que ce dernier devient, par décret, IFREMER.
Tout au long de l'année, l'institut effectue divers travaux de recherche. Le ministre de la Santé, Patrick Howell, a visité, lors de la journée portes ouvertes, les différents ateliers sur la crevetticulture, la pisciculture et la perliculture de l'Ifremer en compagnie de Benoît Belliaeff, directeur de l’Institut. La recherche est un point important pour le développement de nouvelles niches économiques ou la diversification de celles déjà existantes.
Le ministre a été particulièrement attentif aux présentations relatives aux impacts des dégradations environnementales sur les coraux, les bénitiers et les nacres. Ainsi, l'acidification des océans et la hausse de la température des lagons sont préoccupants pour la santé de ces espèces et la priorité reste la préservation des lagons de toute pollution par les micro et nano particules de plastique. "Grâce aux travaux de l'IFREMER, nous avons bon espoir d'adapter le secteur perlicole aux conséquences du changement climatique et des autres pressions induites par l'homme", a souligné le ministre.
L’institut, auparavant connu sous l’abréviation COP, Centre Océanologique du Pacifique, est installé depuis 1972 à Vairao et travaille essentiellement sur le développement de l’aquaculture et la pêche. Ce n’est qu’en 1984 que ce dernier devient, par décret, IFREMER.
Tout au long de l'année, l'institut effectue divers travaux de recherche. Le ministre de la Santé, Patrick Howell, a visité, lors de la journée portes ouvertes, les différents ateliers sur la crevetticulture, la pisciculture et la perliculture de l'Ifremer en compagnie de Benoît Belliaeff, directeur de l’Institut. La recherche est un point important pour le développement de nouvelles niches économiques ou la diversification de celles déjà existantes.
Le ministre a été particulièrement attentif aux présentations relatives aux impacts des dégradations environnementales sur les coraux, les bénitiers et les nacres. Ainsi, l'acidification des océans et la hausse de la température des lagons sont préoccupants pour la santé de ces espèces et la priorité reste la préservation des lagons de toute pollution par les micro et nano particules de plastique. "Grâce aux travaux de l'IFREMER, nous avons bon espoir d'adapter le secteur perlicole aux conséquences du changement climatique et des autres pressions induites par l'homme", a souligné le ministre.