Basse-Terre, France | AFP | mercredi 20/04/2016 - François Fillon, candidat à la primaire de la droite pour 2017, en campagne en Guadeloupe, a déclaré mardi que "l’outre-mer, c’est l’antidote de la petite France".
"Ceux qui à Paris considèrent que l’Outre-mer est un problème, un dossier, une charge, ceux-là n’ont pas compris que l’Outre-mer c’est l’antidote de la petite France", a lancé M. Fillon devant près de 200 personnes à Saint-François (sud-est de la Grande-Terre), dont le secrétaire départemental des Républicains et maire de la ville, Laurent Bernier et Sonia Pétro, présidente de la fédération du parti en Guadeloupe.
L'ancien Premier ministre a affirmé considérer les outremers comme un atout et que grâce à eux, la France était riche de ses différences.
François Fillon a été applaudi à plusieurs reprises par l’assistance, lorsqu’il a abordé le thème de la libéralisation de la France du poids des réglementations, normes et taxes ou encore expliqué vouloir : "fusionner toutes les allocations sociales en une seule qui ne pourra jamais dépasser les revenus du travail".
Alors qu’il parlait de la nécessité d’ "améliorer le contrôle des frontières maritimes et terrestres de l’ensemble des Antilles", une coupure d’électricité de quelque dix minutes est venue jouer les trouble-fête.
Il a terminé son intervention en donnant rendez-vous en novembre à ceux "qui sont prêts à se révolter contre le conservatisme" et à "ceux qui savent que le bonheur est une conquête".
Lundi et mardi, François Fillon a multiplié les visites sur le terrain en Guadeloupe à la rencontre des politiques et acteurs économiques. Il est attendu en Martinique. Il achèvera sa tournée dans les départements français d’Amérique par la Guyane à partir de vendredi.
tre/bd
"Ceux qui à Paris considèrent que l’Outre-mer est un problème, un dossier, une charge, ceux-là n’ont pas compris que l’Outre-mer c’est l’antidote de la petite France", a lancé M. Fillon devant près de 200 personnes à Saint-François (sud-est de la Grande-Terre), dont le secrétaire départemental des Républicains et maire de la ville, Laurent Bernier et Sonia Pétro, présidente de la fédération du parti en Guadeloupe.
L'ancien Premier ministre a affirmé considérer les outremers comme un atout et que grâce à eux, la France était riche de ses différences.
François Fillon a été applaudi à plusieurs reprises par l’assistance, lorsqu’il a abordé le thème de la libéralisation de la France du poids des réglementations, normes et taxes ou encore expliqué vouloir : "fusionner toutes les allocations sociales en une seule qui ne pourra jamais dépasser les revenus du travail".
Alors qu’il parlait de la nécessité d’ "améliorer le contrôle des frontières maritimes et terrestres de l’ensemble des Antilles", une coupure d’électricité de quelque dix minutes est venue jouer les trouble-fête.
Il a terminé son intervention en donnant rendez-vous en novembre à ceux "qui sont prêts à se révolter contre le conservatisme" et à "ceux qui savent que le bonheur est une conquête".
Lundi et mardi, François Fillon a multiplié les visites sur le terrain en Guadeloupe à la rencontre des politiques et acteurs économiques. Il est attendu en Martinique. Il achèvera sa tournée dans les départements français d’Amérique par la Guyane à partir de vendredi.
tre/bd