Bertrand Devaux a investi dans du nouveau matériel mais encourage vivement la personne qui a trouvé sa presse à estamper à la lui restituer.
PAPEETE, le 19 octobre 2016 - Bertrand Devaux est traducteur-assermenté près la cour d'appel de Papeete. Et il est bien embêté.
Distrait, il a égaré il y a cinq mois, vraisemblablement à l'hôpital du Taaone, une pochette contenant un précieux outil de travail : sa presse à estamper. Qu'est-ce que c'est ? La presse à estamper est un objet aux allures de grosse agrafeuse qui lui sert, en sa qualité qu'expert assermenté près la cour d'appel de Papeete, à apposer son sceau personnalisé au bas des différents documents qu'il certifie conforme dans le cadre de ses collaborations avec la justice.
Reconnu et interpellé dans la rue début octobre par une personne qui disait avoir récupéré son bien, Bertrand Devaux attends toujours qu'elle le lui restitue. Une main courante a été déposée à la direction de la Sécurité publique (DSP), l'utilisation éventuelle de ce genre de matériel par une personne non assermentée pouvant faire l'objet de poursuites.
Il n'est jamais trop tard pour bien faire et la personne qui serait en possession de la précieuse presse est priée de la lui restituer en le contactant au 87.78.17.01.
Distrait, il a égaré il y a cinq mois, vraisemblablement à l'hôpital du Taaone, une pochette contenant un précieux outil de travail : sa presse à estamper. Qu'est-ce que c'est ? La presse à estamper est un objet aux allures de grosse agrafeuse qui lui sert, en sa qualité qu'expert assermenté près la cour d'appel de Papeete, à apposer son sceau personnalisé au bas des différents documents qu'il certifie conforme dans le cadre de ses collaborations avec la justice.
Reconnu et interpellé dans la rue début octobre par une personne qui disait avoir récupéré son bien, Bertrand Devaux attends toujours qu'elle le lui restitue. Une main courante a été déposée à la direction de la Sécurité publique (DSP), l'utilisation éventuelle de ce genre de matériel par une personne non assermentée pouvant faire l'objet de poursuites.
Il n'est jamais trop tard pour bien faire et la personne qui serait en possession de la précieuse presse est priée de la lui restituer en le contactant au 87.78.17.01.
