Parole à Clément Rigottard, catégorie M17
Tu as bien terminé la saison 2016-2017 ?
« Oui, la journée de championnat de Polynésie est importante pour l’escrime à Tahiti, j’avais été vice champion lors de la saison précédente 2015-2016, j’ai pu donc m’améliorer. Notre but principal reste de faire des compétitions à l’international. Nous avons les Océania d’octobre à Nouméa pour notre catégorie M17. Le championnat de Polynésie a été la dernière ligne droite avant cet événement là. »
Que représente le titre de champion de Polynésie pour toi ?
« J’ai 17 ans et je suis étudiant au lycée Paul Gauguin. C’est sûr que le titre met en confiance. C’est prestigieux, c’est le titre de l’année, c’est le jour où tous les clubs vont se réunir, les cinq clubs que l’on a actuellement. C’est important de se retrouver pour voir comment on a évolué en une année. »
Comment en est tu arrivé à l’épée ?
« Avant l’année dernière, je pratiquais fleuret et épée sans savoir trop comment me positionner. Les Océania de 2016 m’ont poussé à m’axer sur l’épée car je me suis rendu compte que c’était l’arme avec laquelle je me sentais le plus à l’aise, parce que ce sont des touches sur tout le corps, c’est de la stratégie, de la patience. Le fleuret est beaucoup plus sportif, énergique, avec des questions de priorité. »
Pourquoi l’escrime ?
« J’ai commencé à l’âge de six ans, en métropole. C’est ma cousine et son maitre d’armes qui m’ont fait découvrir l’escrime. Elle était épéiste et a fait des compétition en métropole. J’ai essayé et je me suis rendu compte que c’était un sport dans lequel j’évoluais bien. Ma sœur Chloé a commencé l’année dernière en arrivant en Polynésie, quand moi j’ai repris. »
Quelles sont les qualités développées ?
« Réflexion, stratégie, vivacité, réactivité, il faut savoir créer de bons automatismes pour l’assaut. Il y a aussi la concentration, surtout si on est mené. Deux touches cela peut paraître rien mais cela peut devenir compliqué en épée avec le système de touche double, il faut donc rester dans son assaut tout le long. »
« La peur de perdre ou la trop grosse envie de gagner peuvent prendre le dessus et faire faire n’importe quoi. C’est quelque chose qui se travaille, on est tous des humains, on est beaucoup d’ados en plus à pratiquer, donc du coup cela peut être compliqué à travailler pour certains. Après, c’est un sport comme un autre : on travaille, on bouge , on transpire, cela permet de rester en bonne santé ! » Propos recueillis par SB
Tu as bien terminé la saison 2016-2017 ?
« Oui, la journée de championnat de Polynésie est importante pour l’escrime à Tahiti, j’avais été vice champion lors de la saison précédente 2015-2016, j’ai pu donc m’améliorer. Notre but principal reste de faire des compétitions à l’international. Nous avons les Océania d’octobre à Nouméa pour notre catégorie M17. Le championnat de Polynésie a été la dernière ligne droite avant cet événement là. »
Que représente le titre de champion de Polynésie pour toi ?
« J’ai 17 ans et je suis étudiant au lycée Paul Gauguin. C’est sûr que le titre met en confiance. C’est prestigieux, c’est le titre de l’année, c’est le jour où tous les clubs vont se réunir, les cinq clubs que l’on a actuellement. C’est important de se retrouver pour voir comment on a évolué en une année. »
Comment en est tu arrivé à l’épée ?
« Avant l’année dernière, je pratiquais fleuret et épée sans savoir trop comment me positionner. Les Océania de 2016 m’ont poussé à m’axer sur l’épée car je me suis rendu compte que c’était l’arme avec laquelle je me sentais le plus à l’aise, parce que ce sont des touches sur tout le corps, c’est de la stratégie, de la patience. Le fleuret est beaucoup plus sportif, énergique, avec des questions de priorité. »
Pourquoi l’escrime ?
« J’ai commencé à l’âge de six ans, en métropole. C’est ma cousine et son maitre d’armes qui m’ont fait découvrir l’escrime. Elle était épéiste et a fait des compétition en métropole. J’ai essayé et je me suis rendu compte que c’était un sport dans lequel j’évoluais bien. Ma sœur Chloé a commencé l’année dernière en arrivant en Polynésie, quand moi j’ai repris. »
Quelles sont les qualités développées ?
« Réflexion, stratégie, vivacité, réactivité, il faut savoir créer de bons automatismes pour l’assaut. Il y a aussi la concentration, surtout si on est mené. Deux touches cela peut paraître rien mais cela peut devenir compliqué en épée avec le système de touche double, il faut donc rester dans son assaut tout le long. »
« La peur de perdre ou la trop grosse envie de gagner peuvent prendre le dessus et faire faire n’importe quoi. C’est quelque chose qui se travaille, on est tous des humains, on est beaucoup d’ados en plus à pratiquer, donc du coup cela peut être compliqué à travailler pour certains. Après, c’est un sport comme un autre : on travaille, on bouge , on transpire, cela permet de rester en bonne santé ! » Propos recueillis par SB
Parole à Chloé Rigottard, catégorie M14
Quand as-tu commencé l’escrime ?
« J’ai commencé l’année dernière, alors que mon frère avait déjà commencé en France. J’aime bien les sports avec des armes, comme ça, c’est assez sympa. J’aime bien cette volonté de vouloir gagner. J’aime bien les rapports que l’on a entre nous les escrimeurs, on est comme une grande famille. »
Contente d’avoir gagné le titre de championne de Polynésie ?
« L’année dernière, j’avais gagné aussi en fleuret mais pas cette fois-ci, mais je suis contente d’avoir gagné en épée. »
Pourquoi l’escrime plutôt qu’autre chose ?
« J’ai fait du tennis, de l’équitation mais ce sport m’intéresse beaucoup, il est vraiment sympa. Il faut tout le temps être concentré, à fond dedans. Si tu veux progresser, il faut tout le temps faire beaucoup de cours. J’ai 4 heures d’escrime par semaine. »
Des objectifs à l’international ?
« Les déplacements m’intéressent, il y avait les Océania à Nouméa mais mon Maitre d’armes a dit que j’étais encore un peu jeune et que j’allais être surclassée et que donc cela allait être encore plus dur pour moi, alors pour l’instant mon objectif c’est de continuer à m’entrainer, à m’améliorer. J’ai fait un bon score lors de la finale du championnat de Polynésie mais cela pourrait encore être mieux la prochaine fois. »
Un dernier mot, un remerciement ?
« Je remercie mon frère qui m’a aidée à m’améliorer à l’épée, mon père qui m’a encouragée et mes amis qui étaient là autour de moi. » Propos recueillis par SB
Contacts Arnaud Bellanger 87 32 99 78 ou Bruno Sanchez 87 72 86 06
Quand as-tu commencé l’escrime ?
« J’ai commencé l’année dernière, alors que mon frère avait déjà commencé en France. J’aime bien les sports avec des armes, comme ça, c’est assez sympa. J’aime bien cette volonté de vouloir gagner. J’aime bien les rapports que l’on a entre nous les escrimeurs, on est comme une grande famille. »
Contente d’avoir gagné le titre de championne de Polynésie ?
« L’année dernière, j’avais gagné aussi en fleuret mais pas cette fois-ci, mais je suis contente d’avoir gagné en épée. »
Pourquoi l’escrime plutôt qu’autre chose ?
« J’ai fait du tennis, de l’équitation mais ce sport m’intéresse beaucoup, il est vraiment sympa. Il faut tout le temps être concentré, à fond dedans. Si tu veux progresser, il faut tout le temps faire beaucoup de cours. J’ai 4 heures d’escrime par semaine. »
Des objectifs à l’international ?
« Les déplacements m’intéressent, il y avait les Océania à Nouméa mais mon Maitre d’armes a dit que j’étais encore un peu jeune et que j’allais être surclassée et que donc cela allait être encore plus dur pour moi, alors pour l’instant mon objectif c’est de continuer à m’entrainer, à m’améliorer. J’ai fait un bon score lors de la finale du championnat de Polynésie mais cela pourrait encore être mieux la prochaine fois. »
Un dernier mot, un remerciement ?
« Je remercie mon frère qui m’a aidée à m’améliorer à l’épée, mon père qui m’a encouragée et mes amis qui étaient là autour de moi. » Propos recueillis par SB
Contacts Arnaud Bellanger 87 32 99 78 ou Bruno Sanchez 87 72 86 06