Fin 2015, la production d’énergie photovoltaïque atteingnait les 27 Mégawatts-crête en Polynésie française.
PAPEETE, 13 avril 2016 - La construction de trois centres de stockage d’électricité est programmée à Tahiti avant 2020 afin de permettre le développement du photovoltaïque en contournant le seuil critique des 30% d’électricité aléatoire sur les réseaux de transport.
Le ministère en charges des énergies a inscrit dans le plan de transition énergétique une mesure visant à favoriser le développement de systèmes de stockage ou de lissage de la production d’électricité afin de franchir le seuil de 30% d’énergie aléatoire admise sur les réseaux pour atteindre l’objectif de 50 % d’énergies renouvelables en 2020.
Fin 2015, 1 500 producteurs d’électricité photovoltaïque offraient une puissance installée de près de 27 Mégawatts-crête (MWc) alors que 170 nouveaux producteurs étaient en attente de raccordement au réseau d’une installation photovoltaïque pour une puissance totale de 8,8 MWc.
Entre 2010 et 2015, les prix des installations photovoltaïques ont été divisés par quatre, de 850 Fcfp/Watt-crête à 210 Fcfp. Avec ces nouveaux tarifs et sans aucune aide publique, le retour sur investissement est aujourd’hui de 7 à 8 années au maximum.
Mais le seuil de 30% d’énergie aléatoire admise sur les réseaux électriques est déjà atteint plusieurs jours par an à Tahiti, Bora Bora ou Nuku Hiva. Cela présente des risques de délestages partiels voire, en situation extrême, de "black out".
Pour permettre le développement des sources d’énergie renouvelable, le plan de transition énergétique prévoit notamment, avant 2020 à Tahiti, la construction de trois centres de stockage d’électricité pour un investissement évalué à un milliard Fcfp.
Cette solution de stockage centralisé permettrait la poursuite du développement de la filière solaire en Polynésie française, avec en ligne de mire l’objectif de 50 % d’énergies renouvelables en 2020 confirmé dans le plan de transition énergétique présenté en novembre dernier.
Le ministère en charges des énergies a inscrit dans le plan de transition énergétique une mesure visant à favoriser le développement de systèmes de stockage ou de lissage de la production d’électricité afin de franchir le seuil de 30% d’énergie aléatoire admise sur les réseaux pour atteindre l’objectif de 50 % d’énergies renouvelables en 2020.
Fin 2015, 1 500 producteurs d’électricité photovoltaïque offraient une puissance installée de près de 27 Mégawatts-crête (MWc) alors que 170 nouveaux producteurs étaient en attente de raccordement au réseau d’une installation photovoltaïque pour une puissance totale de 8,8 MWc.
Entre 2010 et 2015, les prix des installations photovoltaïques ont été divisés par quatre, de 850 Fcfp/Watt-crête à 210 Fcfp. Avec ces nouveaux tarifs et sans aucune aide publique, le retour sur investissement est aujourd’hui de 7 à 8 années au maximum.
Mais le seuil de 30% d’énergie aléatoire admise sur les réseaux électriques est déjà atteint plusieurs jours par an à Tahiti, Bora Bora ou Nuku Hiva. Cela présente des risques de délestages partiels voire, en situation extrême, de "black out".
Pour permettre le développement des sources d’énergie renouvelable, le plan de transition énergétique prévoit notamment, avant 2020 à Tahiti, la construction de trois centres de stockage d’électricité pour un investissement évalué à un milliard Fcfp.
Cette solution de stockage centralisé permettrait la poursuite du développement de la filière solaire en Polynésie française, avec en ligne de mire l’objectif de 50 % d’énergies renouvelables en 2020 confirmé dans le plan de transition énergétique présenté en novembre dernier.