PAPEETE, le 14 octobre 2015 - Le président de la Polynésie française, Édouard Fritch, accompagné des députés polynésiens, Maina Sage et Jean-Paul Tuaiva, a visité mercredi après-midi à Paris, l’incubateur de Make Sense. L’association, cofondée par le Polynésien Christian Vanizette, pour aider les entrepreneurs sociaux, a terminé dans les dix finalistes du Google impact challenge, dont le palmarès a été révélé la semaine dernière.
« Nous sommes venus soutenir ce jeune entrepreneur polynésien. Ce qui est important, c’est que son action stimule les jeunes à créer, à imaginer sur notre territoire. Aujourd’hui, le modèle économique classique ne suffit plus à la société pour se développer », a estimé Édouard Fritch au terme de la visite des locaux parisiens de Make Sense, abritant sur deux étages, une cinquantaine de personnes, employés de l’association, bénévoles ou porteurs de projets.
Créer une structure similaire sur le fenua
Le président et les députés, très fiers de Christian Vanizette, ont rappelé que toute la Polynésie avait soutenu le Tahitien lors du dernier Google impact challenge. Cette visite était pour eux l’occasion de venir féliciter toute l’équipe et de se sensibiliser à l’économie sociale et solidaire, dans le domaine de laquelle il existe un potentiel en Polynésie française.
Créée en 2011, Make Sense réunit aujourd’hui 45 employés et 20 000 bénévoles dans 45 pays. En 4 ans, l’association qui entend regrouper 300 000 bénévoles en 2018 et 1 million en 2020, a soutenu plus de 1100 entrepreneurs sociaux. Christian Vanizette souhaiterait créer prochainement une structure similaire sur le fenua.
D'APRÈS UN COMMUNIQUÉ DE LA PRÉSIDENCE
« Nous sommes venus soutenir ce jeune entrepreneur polynésien. Ce qui est important, c’est que son action stimule les jeunes à créer, à imaginer sur notre territoire. Aujourd’hui, le modèle économique classique ne suffit plus à la société pour se développer », a estimé Édouard Fritch au terme de la visite des locaux parisiens de Make Sense, abritant sur deux étages, une cinquantaine de personnes, employés de l’association, bénévoles ou porteurs de projets.
Créer une structure similaire sur le fenua
Le président et les députés, très fiers de Christian Vanizette, ont rappelé que toute la Polynésie avait soutenu le Tahitien lors du dernier Google impact challenge. Cette visite était pour eux l’occasion de venir féliciter toute l’équipe et de se sensibiliser à l’économie sociale et solidaire, dans le domaine de laquelle il existe un potentiel en Polynésie française.
Créée en 2011, Make Sense réunit aujourd’hui 45 employés et 20 000 bénévoles dans 45 pays. En 4 ans, l’association qui entend regrouper 300 000 bénévoles en 2018 et 1 million en 2020, a soutenu plus de 1100 entrepreneurs sociaux. Christian Vanizette souhaiterait créer prochainement une structure similaire sur le fenua.
D'APRÈS UN COMMUNIQUÉ DE LA PRÉSIDENCE