SUVA, mardi 20 mai 2014 (Flash d’Océanie) – La destination Pacifique dans son ensemble, tous pays et territoires confondus, a attiré environ 1,7 millions de visiteurs en 2013, soit une augmentation d’environ 2,4 pour cent par rapport à 2012, selon les dernières statistiques émanant de la SPTO (South Pacific Tourism Organisation), l’organisation régionale chargée de promouvoir cette région.
Ces flux touristiques ont eu, par ailleurs, d’énormes retombées économiques pour les pays concernés, à savoir, toutes destinations océaniennes insulaires confondues, pas moins de « 2,5 à 3 milliards de dollars US », a précisé Ilisoni Vuidreketi, directeur général lors d’une conférence de presse en début de semaine.
Le taux de croissance des chiffres de fréquentation de cette destination générique sont aussi encourageant, selon la SPTO : six à sept pour cent l’an au cours des dernières années, a—il ajouté.
Mais une fois de plus, le leader de ce marché lucratif est encore cette année la destination Fidji, avec un taux de fréquentation moyen, stabilisé au cours des cinq dernières années, à plus de 600.000 visiteurs par an, soit entre 35 et 40 pour cent du total régional.
Les principaux atouts de cette destination, selon M. Vuidreketi : de bonnes infrastructures, y compris des aéroports et des compagnies aériennes relativement fiables, mais aussi un très fort dynamisme du secteur privé, présent en force dans une palette de produits allant de l’auberge de jeunesse à l’hôtel de luxe cinq étoiles en passant par le gîte rural en milieu coutumier.
« Et par dessus le marché, le gouvernement joue un rôle fort et volontaire en soutien à ce secteur », a-t-il ajouté.
Les principaux marchés émetteurs et de proximité de Fidji demeurent l’Australie et la Nouvelle-Zélande, avec des forts taux de croissance enregistrés aussi en provenance des pays asiatiques (Corée du Sud, Chine, Hong Kong).
Pour 2012, les chiffres de la SPTO donnaient aussi un large avantage à la destination Fidji (plus de 660.000 touristes) pour un total estimé à environ 1,6 million de visiteurs pour toute la région du Pacifique insulaire cette année-là.
Cette organisation régionale (qui regroupe 16 pays et territoires océaniens membres) affiche ces derniers mois sa volonté de prospecter de nouveaux marchés porteurs, notamment sur les fronts asiatique, sud-américain ainsi que, de manière générale, les pays émergents (Brésil, Russie, Inde, Chine).
Pour ce faire, elle prévoit des campagnes de promotion ciblées.
Sur le marché régional aussi, les principaux émetteurs demeurent les grands pays voisins (Australie, Nouvelle-Zélande), puis l’Europe et l’Amérique du Nord.
Les plus forts taux de progression proviennent néanmoins d’Asie et en particulier de Chine.
La SPTO prévoit que l’année 2013 pourrait s’achever sur un volume régional de l’ordre de 1,7 million de touristes, soit une augmentation d’environ 2,4 pour cet par rapport à 2012.
M. Vuidreketi a mis en avant le concept de destination régionale, sans pour autant se substituer aux efforts des destinations nationales ou territoriales.
« Nous, SPTO, élaborons nos campagnes de marketing pour venir en soutien aux initiatives des offices nationaux de tourisme, mais il ne s’agit pas de dupliquer ce qu’ils font déjà », a-t-il insisté.
Par contre, la SPTO se perçoit comme une promotrice des attraits communs des destinations océaniennes, auprès de pays lointains, qu’ils se trouvent en Europe, en Amérique ou en Asie.
« Là-bas, les gens connaissent à peu près la région Pacifique, des images de paradis tropicaux, … mais si vous leur demandez ce qu’ils connaissent de Tonga, de Samoa ou même de Fidji, ils ne savent plus rien », a-t-il expliqué début 2014.
« Donc notre rôle, c’est d’abord de promouvoir le Pacifique dans les salons professionnels et ensuite de passer le relais aux offices nationaux et territoriaux ».
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Ces flux touristiques ont eu, par ailleurs, d’énormes retombées économiques pour les pays concernés, à savoir, toutes destinations océaniennes insulaires confondues, pas moins de « 2,5 à 3 milliards de dollars US », a précisé Ilisoni Vuidreketi, directeur général lors d’une conférence de presse en début de semaine.
Le taux de croissance des chiffres de fréquentation de cette destination générique sont aussi encourageant, selon la SPTO : six à sept pour cent l’an au cours des dernières années, a—il ajouté.
Mais une fois de plus, le leader de ce marché lucratif est encore cette année la destination Fidji, avec un taux de fréquentation moyen, stabilisé au cours des cinq dernières années, à plus de 600.000 visiteurs par an, soit entre 35 et 40 pour cent du total régional.
Les principaux atouts de cette destination, selon M. Vuidreketi : de bonnes infrastructures, y compris des aéroports et des compagnies aériennes relativement fiables, mais aussi un très fort dynamisme du secteur privé, présent en force dans une palette de produits allant de l’auberge de jeunesse à l’hôtel de luxe cinq étoiles en passant par le gîte rural en milieu coutumier.
« Et par dessus le marché, le gouvernement joue un rôle fort et volontaire en soutien à ce secteur », a-t-il ajouté.
Les principaux marchés émetteurs et de proximité de Fidji demeurent l’Australie et la Nouvelle-Zélande, avec des forts taux de croissance enregistrés aussi en provenance des pays asiatiques (Corée du Sud, Chine, Hong Kong).
Pour 2012, les chiffres de la SPTO donnaient aussi un large avantage à la destination Fidji (plus de 660.000 touristes) pour un total estimé à environ 1,6 million de visiteurs pour toute la région du Pacifique insulaire cette année-là.
Cette organisation régionale (qui regroupe 16 pays et territoires océaniens membres) affiche ces derniers mois sa volonté de prospecter de nouveaux marchés porteurs, notamment sur les fronts asiatique, sud-américain ainsi que, de manière générale, les pays émergents (Brésil, Russie, Inde, Chine).
Pour ce faire, elle prévoit des campagnes de promotion ciblées.
Sur le marché régional aussi, les principaux émetteurs demeurent les grands pays voisins (Australie, Nouvelle-Zélande), puis l’Europe et l’Amérique du Nord.
Les plus forts taux de progression proviennent néanmoins d’Asie et en particulier de Chine.
La SPTO prévoit que l’année 2013 pourrait s’achever sur un volume régional de l’ordre de 1,7 million de touristes, soit une augmentation d’environ 2,4 pour cet par rapport à 2012.
M. Vuidreketi a mis en avant le concept de destination régionale, sans pour autant se substituer aux efforts des destinations nationales ou territoriales.
« Nous, SPTO, élaborons nos campagnes de marketing pour venir en soutien aux initiatives des offices nationaux de tourisme, mais il ne s’agit pas de dupliquer ce qu’ils font déjà », a-t-il insisté.
Par contre, la SPTO se perçoit comme une promotrice des attraits communs des destinations océaniennes, auprès de pays lointains, qu’ils se trouvent en Europe, en Amérique ou en Asie.
« Là-bas, les gens connaissent à peu près la région Pacifique, des images de paradis tropicaux, … mais si vous leur demandez ce qu’ils connaissent de Tonga, de Samoa ou même de Fidji, ils ne savent plus rien », a-t-il expliqué début 2014.
« Donc notre rôle, c’est d’abord de promouvoir le Pacifique dans les salons professionnels et ensuite de passer le relais aux offices nationaux et territoriaux ».
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