Une trentaine de participants se sont inscrits en catégorie novice
ARUE, le 6 octobre 2015. On le constate depuis quelques années, les sports liés à la culture du corps plaisent beaucoup à Tahiti. Ils séduisent également un public de plus en plus nombreux. Après le championnat de Polynésie d’haltérophilie, les aficionados de l’effort se sont réunis au gymnase de Arue, dans le complexe Boris Léontieff, pour un challenge de crossfit.
C’est le club de Arue Nahiti qui a organisé la compétition. Ce club dynamique est composé d’un groupe d’athlètes qui ont mis leurs forces en commun pour développer leur passion. Ils ont su convaincre le conseil municipal pour l’obtention d’une subvention qui leur a permis de mieux s’équiper.
Comme lors du championnat d’haltérophilie, c’est le Marquisien Teremu Touatekina du club de Nahiti qui s’est imposé brillamment. En 2e position on retrouve le redoutable Yves Tehau du club gym zone, alors que Vaihau Bottari, du club Nahiti, est 3e. Chez les novices, nombreux lors de cette édition, c’est Heimana Pukeenui qui est premier devant Heimana Donnatin et Wainalo Koung Kue, alors que Stan Mou s’impose chez les masters.
Chez les femmes c’est Mahe Tchang qui s’impose devant Tehea Ratia et Yasenda Verdet alors que chez les ‘kids’ Dylan Leclercq monte sur la première marche du podium. Le club de Nahiti de Arue donne rendez vous au public le 28 novembre pour le spectaculaire ‘Strongest Man’, le concours de l’homme le plus fort, toujours au complexe sportif de Arue.
C’est le club de Arue Nahiti qui a organisé la compétition. Ce club dynamique est composé d’un groupe d’athlètes qui ont mis leurs forces en commun pour développer leur passion. Ils ont su convaincre le conseil municipal pour l’obtention d’une subvention qui leur a permis de mieux s’équiper.
Comme lors du championnat d’haltérophilie, c’est le Marquisien Teremu Touatekina du club de Nahiti qui s’est imposé brillamment. En 2e position on retrouve le redoutable Yves Tehau du club gym zone, alors que Vaihau Bottari, du club Nahiti, est 3e. Chez les novices, nombreux lors de cette édition, c’est Heimana Pukeenui qui est premier devant Heimana Donnatin et Wainalo Koung Kue, alors que Stan Mou s’impose chez les masters.
Chez les femmes c’est Mahe Tchang qui s’impose devant Tehea Ratia et Yasenda Verdet alors que chez les ‘kids’ Dylan Leclercq monte sur la première marche du podium. Le club de Nahiti de Arue donne rendez vous au public le 28 novembre pour le spectaculaire ‘Strongest Man’, le concours de l’homme le plus fort, toujours au complexe sportif de Arue.
Ludovic Tufaaimea, président du club Nahiti
Ludovic Tufaaimea, président du club de Nahiti :
Comment cela se passe aujourd’hui ?
« Notre événement de crossfit a proposé 4 catégories avec les femmes en open, les novices, les hommes en master et les élite, avec également une catégorie ‘enfant’ entre 8 et 14 ans que l’on a rajouté au dernier moment. Plusieurs mouvements sont au programme ainsi que de la course à pied. Il y a des séries qui sont contre le chrono, il faut faire un maximum de mouvements avec une charge définie, dans un temps défini. »
Satisfaits de la participation ?
« Je suis très très content. L ‘année dernière on avait 4 femmes et 12 hommes. Aujourd’hui nous avons 10 hommes élite, 13 femmes et une trentaine de participants en novice. Au total on est une cinquantaine. Je vois que le crossfit commence à exploser en Polynésie. Le problème c’est qu’il manque des évènements pour satisfaire la demande. Il faudrait que les clubs en organisent un peu plus. »
Qu’est ce qui plait dans cette discipline ?
« C’est un sport intense. Le fait de faire des mouvements dans un temps défini fait qu’on est obligé de se donner à fond. Les temps définis peuvent aller de 5 à 30 minutes. Le ‘street work out’ se développe aussi. En crossfit, il y a plusieurs disciplines à l’intérieur. La base c’est l’haltérophilie et la force athlétique mais après il peut y avoir de la course à pied, du vélo, de la natation, du paddle, de la gym…même du va’a. »
Un remerciement ?
« Merci à tous, merci à tous nos sponsors, nous avons de très beaux lots, des ‘prize money’ de 50 000 fcp pour le 1er, 25 000 fcp pour le 2e et 15 000 fcp pour le 3e. »
Comment cela se passe aujourd’hui ?
« Notre événement de crossfit a proposé 4 catégories avec les femmes en open, les novices, les hommes en master et les élite, avec également une catégorie ‘enfant’ entre 8 et 14 ans que l’on a rajouté au dernier moment. Plusieurs mouvements sont au programme ainsi que de la course à pied. Il y a des séries qui sont contre le chrono, il faut faire un maximum de mouvements avec une charge définie, dans un temps défini. »
Satisfaits de la participation ?
« Je suis très très content. L ‘année dernière on avait 4 femmes et 12 hommes. Aujourd’hui nous avons 10 hommes élite, 13 femmes et une trentaine de participants en novice. Au total on est une cinquantaine. Je vois que le crossfit commence à exploser en Polynésie. Le problème c’est qu’il manque des évènements pour satisfaire la demande. Il faudrait que les clubs en organisent un peu plus. »
Qu’est ce qui plait dans cette discipline ?
« C’est un sport intense. Le fait de faire des mouvements dans un temps défini fait qu’on est obligé de se donner à fond. Les temps définis peuvent aller de 5 à 30 minutes. Le ‘street work out’ se développe aussi. En crossfit, il y a plusieurs disciplines à l’intérieur. La base c’est l’haltérophilie et la force athlétique mais après il peut y avoir de la course à pied, du vélo, de la natation, du paddle, de la gym…même du va’a. »
Un remerciement ?
« Merci à tous, merci à tous nos sponsors, nous avons de très beaux lots, des ‘prize money’ de 50 000 fcp pour le 1er, 25 000 fcp pour le 2e et 15 000 fcp pour le 3e. »
Le champion du lever de pierre Eriatara Ratia a participé également
Eriatara Ratia, le champion du lever de pierre, s’initie au crossfit :
Tu passes du lever de pierre au crossfit ?
« Après le championnat de Polynésie de haltérophilie, j’ai enchainé avec le crossfit. Je me suis donné un défi en voulant participer en novice, pour voir à quel niveau je me situe. J’ai terminé 7e. Mon prochain objectif reste le Strongest Man, je défendrais mon titre dans un mois. »
L’adaptation n’est pas trop difficile par rapport au lever de pierre ?
« J’en avais déjà fait un peu avant d’arrêter, puis de m’y remettre cette année. Lors du premiers parcours les plus légers ont pris de l’avance, le 2e était plus adapté au gabarits lourds, ce qui est mon cas. J’essaie d’être tout terrain ! Le lever de pierre c’est un effort de quelques secondes, le crossfit c’est un effort plus soutenu, pour l’instant je préfère le lever de pierre ! (rires) »
Tu passes du lever de pierre au crossfit ?
« Après le championnat de Polynésie de haltérophilie, j’ai enchainé avec le crossfit. Je me suis donné un défi en voulant participer en novice, pour voir à quel niveau je me situe. J’ai terminé 7e. Mon prochain objectif reste le Strongest Man, je défendrais mon titre dans un mois. »
L’adaptation n’est pas trop difficile par rapport au lever de pierre ?
« J’en avais déjà fait un peu avant d’arrêter, puis de m’y remettre cette année. Lors du premiers parcours les plus légers ont pris de l’avance, le 2e était plus adapté au gabarits lourds, ce qui est mon cas. J’essaie d’être tout terrain ! Le lever de pierre c’est un effort de quelques secondes, le crossfit c’est un effort plus soutenu, pour l’instant je préfère le lever de pierre ! (rires) »